Hcupisant
Passe sa vie sur le forum
Déplacement coché depuis la sortie du calendrier (avant même !).
C'est avec une émotion certaine et une multitude de souvenirs dans la tête que nous foulerons à nouveau la pelouse de Pierre Rajon.
Avec le CSBJ, nous avons été, au tournant des années 1990 et 2000, des outsiders solides de la première division, à qui il manquait toujours un petit quelque chose en phase finale. Les berjalliens ont eu une chance de Brennus juste avant nous, en 1997. Ils remportent cette année-là le Challenge Européen.
En 2004, eux puis nous, se sont cassés les dents sur la vitrine de la pharmacie de Nick Mallett.
En 2006, le début de la mode des délocalisations, un affrontement réjouissant à Geoffroy Guichard, et un supporter du CSBJ battu qui vient proposer l’échange d’écharpes… Des écharpes, y’en a une palanquée chez moi, souvent achetées, parfois échangées. Mais une écharpe proposée par un supporter battu, cela ne m’est arrivé qu’une seule fois en France. Bien sûr, cela aurait pu se produire avec un bayonnais, un clermontois, un rochelais, un toulonnais… Mais cela s’est passé avec un supporter du CSBJ.
En 2009, nous parvenons au Graal au cours d’une saison où il est autorisé d’écrouler les mauls, alors que les résultats du CSBJ ont commencé à décliner. Mais ils se refont la cerise dans la petite coupe d’Europe, où ils parviennent en finale, stoppés par Lawes et Clancy.
En 2011 ils descendent, après avoir perdu des internationaux chaque saison, et des points sur tapis vert.
En 2014 nous descendons, après avoir perdu 2 internationaux par an depuis 3 ans, et un peu d’argent via des amendes.
Ce dimanche 22 février au crépuscule, ce sera l’hiver, cela sentira d’autant plus le vin chaud, il y aura de la fumée en suspension sur les mêlées, les poteaux des tribunes latérales nous boucheront encore un peu la vue sur une touche ou un plaquage.
J’ai hâte.
C'est avec une émotion certaine et une multitude de souvenirs dans la tête que nous foulerons à nouveau la pelouse de Pierre Rajon.
Avec le CSBJ, nous avons été, au tournant des années 1990 et 2000, des outsiders solides de la première division, à qui il manquait toujours un petit quelque chose en phase finale. Les berjalliens ont eu une chance de Brennus juste avant nous, en 1997. Ils remportent cette année-là le Challenge Européen.
En 2004, eux puis nous, se sont cassés les dents sur la vitrine de la pharmacie de Nick Mallett.
En 2006, le début de la mode des délocalisations, un affrontement réjouissant à Geoffroy Guichard, et un supporter du CSBJ battu qui vient proposer l’échange d’écharpes… Des écharpes, y’en a une palanquée chez moi, souvent achetées, parfois échangées. Mais une écharpe proposée par un supporter battu, cela ne m’est arrivé qu’une seule fois en France. Bien sûr, cela aurait pu se produire avec un bayonnais, un clermontois, un rochelais, un toulonnais… Mais cela s’est passé avec un supporter du CSBJ.
En 2009, nous parvenons au Graal au cours d’une saison où il est autorisé d’écrouler les mauls, alors que les résultats du CSBJ ont commencé à décliner. Mais ils se refont la cerise dans la petite coupe d’Europe, où ils parviennent en finale, stoppés par Lawes et Clancy.
En 2011 ils descendent, après avoir perdu des internationaux chaque saison, et des points sur tapis vert.
En 2014 nous descendons, après avoir perdu 2 internationaux par an depuis 3 ans, et un peu d’argent via des amendes.
Ce dimanche 22 février au crépuscule, ce sera l’hiver, cela sentira d’autant plus le vin chaud, il y aura de la fumée en suspension sur les mêlées, les poteaux des tribunes latérales nous boucheront encore un peu la vue sur une touche ou un plaquage.
J’ai hâte.