jfm66
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Les amis,
Voici la suite de l’itw.
Dans ce nouveau volet de l'interview du président de l'USAP, François Rivière, accordée à L'Indépendant, un focus est réalisé sur les infrastructures dans lesquelles évoluent les joueurs, le staff et les équipes administratives.
Convaincre et trouver des moyens le plus rapidement possible. Le président de l'USAP, François Rivière, défend ces idées car "à Perpignan, il est temps de réfléchir à la performance de haut niveau et à l'élite du sport en général." "J'ai toujours donné mon accord pour foisonner les moyens", insiste-t-il en pensant notamment à des mises en commun avec les Espoirs, les féminines de l'USAP, et les clubs d'autres disciplines. Car, pour ce qui le concerne, "si on n'a pas les moyens de haut niveau, on n'aura pas l'équipe pour se battre en Top 14." C'est pourquoi, il confesse : "Ma raison d'être c'est de moderniser et d'investir dans des structures de haut niveau pour ce territoire."
A lire aussi : Top 14 - François Rivière, président de l'USAP, sur les finances du club : "2 à 3 gros sponsors recherchés"
Sauf qu'en parallèle, la municipalité de Perpignan a rouvert le débat lors de son conseil municipal le 4 novembre dernier de réunir en un seul et même stade l'USAP et les Dragons Catalans. Avec le stade Aimé-Giral en partage : "La mairie et les collectivités territoriales savent que j'ai toujours été très attentif à leurs arguments, rappelle François Rivière. J'ai dit, depuis longtemps, que les Dragons doivent avoir quelques matches dans l'année où ils sont plus de 10 000. On a un stade Aimé-Giral de 14 500 personnes, autant le leur mettre à disposition." Mais le stade commun : "C'est un sujet sur lequel il ne m'appartient pas de trancher.
"Discussion" et "réflexion" du côté de la mairie
Sur les sujets concernant les infrastructures liées aux clubs de sport de Perpignan, les présidents des clubs ne sont pas les seuls décisionnaires en la matière. La mairie y est partie prenante bien évidemment. Ainsi, pour voir évoluer le centre d'entraînement de l'USAP, la municipalité a fort à faire. A ce jour, et vu les dires du président de l'USAP, les modulaires seront-ils pour la Coupe du monde de rugby à XV 2023 ? Selon François Rivière, "la mairie de Perpignan consulterait plusieurs marchés." De plus, "elle ajouterait avec l'aide de collectivités territoriales des modules de réception sur le site même pour l'accueil des médias." A un endroit aussi, "où la Ville réfléchit à faire un centre de formation en dur, et où trois à quatre ans supplémentaires seraient nécessaires pour construire les salles de classe, de réception, d'hôtellerie. Des terrains on en a mais la difficulté, c'est le temps et les contraintes urbanistiques."
Contactée par L'Indépendant, la mairie assure que la situation du Parc des sports "est en cours de discussion et de réflexion." Aucun commentaire de plus n'a été livré "pour le moment."
Voici la suite de l’itw.
Dans ce nouveau volet de l'interview du président de l'USAP, François Rivière, accordée à L'Indépendant, un focus est réalisé sur les infrastructures dans lesquelles évoluent les joueurs, le staff et les équipes administratives.
Convaincre et trouver des moyens le plus rapidement possible. Le président de l'USAP, François Rivière, défend ces idées car "à Perpignan, il est temps de réfléchir à la performance de haut niveau et à l'élite du sport en général." "J'ai toujours donné mon accord pour foisonner les moyens", insiste-t-il en pensant notamment à des mises en commun avec les Espoirs, les féminines de l'USAP, et les clubs d'autres disciplines. Car, pour ce qui le concerne, "si on n'a pas les moyens de haut niveau, on n'aura pas l'équipe pour se battre en Top 14." C'est pourquoi, il confesse : "Ma raison d'être c'est de moderniser et d'investir dans des structures de haut niveau pour ce territoire."
A lire aussi : Top 14 - François Rivière, président de l'USAP, sur les finances du club : "2 à 3 gros sponsors recherchés"
- À Aimé-Giral : vers plus de places hospitalités
Sauf qu'en parallèle, la municipalité de Perpignan a rouvert le débat lors de son conseil municipal le 4 novembre dernier de réunir en un seul et même stade l'USAP et les Dragons Catalans. Avec le stade Aimé-Giral en partage : "La mairie et les collectivités territoriales savent que j'ai toujours été très attentif à leurs arguments, rappelle François Rivière. J'ai dit, depuis longtemps, que les Dragons doivent avoir quelques matches dans l'année où ils sont plus de 10 000. On a un stade Aimé-Giral de 14 500 personnes, autant le leur mettre à disposition." Mais le stade commun : "C'est un sujet sur lequel il ne m'appartient pas de trancher.
- Au Parc des sports : la Coupe du monde 2023 comme rampe de lancement
"Discussion" et "réflexion" du côté de la mairie
Sur les sujets concernant les infrastructures liées aux clubs de sport de Perpignan, les présidents des clubs ne sont pas les seuls décisionnaires en la matière. La mairie y est partie prenante bien évidemment. Ainsi, pour voir évoluer le centre d'entraînement de l'USAP, la municipalité a fort à faire. A ce jour, et vu les dires du président de l'USAP, les modulaires seront-ils pour la Coupe du monde de rugby à XV 2023 ? Selon François Rivière, "la mairie de Perpignan consulterait plusieurs marchés." De plus, "elle ajouterait avec l'aide de collectivités territoriales des modules de réception sur le site même pour l'accueil des médias." A un endroit aussi, "où la Ville réfléchit à faire un centre de formation en dur, et où trois à quatre ans supplémentaires seraient nécessaires pour construire les salles de classe, de réception, d'hôtellerie. Des terrains on en a mais la difficulté, c'est le temps et les contraintes urbanistiques."
Contactée par L'Indépendant, la mairie assure que la situation du Parc des sports "est en cours de discussion et de réflexion." Aucun commentaire de plus n'a été livré "pour le moment."