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Inondations en Espagne - "Il y a des corps qui ne seront jamais retrouvés. On le sait" : des membres de la penya usapiste de Valence retracent leurs d

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Jordi Mata et Santi Almenar, respectivement président et secrétaire de la penya Els Valencians et invités par le club de l'USAP lors du match face à Vannes en soutien au peuple valencien touché par des inondations...

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Alex13cat

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Inondations en Espagne - "Il y a des corps qui ne seront jamais retrouvés. On le sait" : des membres de la penya usapiste de Valence retracent leurs dernières heures dans le chaos​

Laura Causanillas02/11/2024 à 19:05
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
Jordi Mata et Santi Almenar, respectivement président et secrétaire de la penya Els Valencians et invités par le club de l'USAP lors du match face à Vannes en soutien au peuple valencien touché par des inondations meurtrières, ont posé des mots sur le traumatisme et l'horreur que traversent les leurs.

"Vous ne pouvez imaginer le désastre que c’est." Après l’effroi des dernières heures, les mots manquent à Jordi Mata, président de la penya de l’USAP, Els Valencians. Pourtant, les termes "peur", "panique", "douleur", "terreur", "zone de guerre" émaillent son discours à mesure qu’il retrace la catastrophe climatique qui décime un peu plus à chaque minute la population du sud-est de l’Espagne à Valence. Avec Santi Almenar, le secrétaire de ce club d'une trentaine de supporters, ils viennent de parcourir en voiture 550 kilomètres très précisément pour assister au match USAP-Vannes, à l’invitation du club. Une parenthèse au milieu du chaos. "Nous apprécions. Mais nous ne pouvons pas profiter à proprement parler, se justifie presque Jordi Mata peu avant le coup d’envoi. C’est très compliqué et en même temps, c’est très émouvant."

Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata

Chaîne de solidarité quand "les grandes surfaces sont envahies d’eau, dans le noir, les rayons sont vides"​

Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia.
Villes inondées, retrouvailles en larmes, voitures en châteaux de cartes, chaînes de solidarité, supermarchés vides sont des scènes du quotidien désormais dans le sud-est de l'Espagne du côté de Valencia. Jordi Mata
 

Quin desgaï

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Quel tristesse, quel horreur. Ça fait plusieurs jours que les images qui m'arrivent m'attriste. Comment est-ce possible que les autorités locales n'ai pas prévu ce qui allait arriver.
 

echazare

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Quel tristesse, quel horreur. Ça fait plusieurs jours que les images qui m'arrivent m'attriste. Comment est-ce possible que les autorités locales n'ai pas prévu ce qui allait arriver.
Après ça fait 35 ans que GIEC annonce que nous allons vivre de plus en plus d'évènements extrêmes de ce genre ça a pas l'air d’inquiéter les autorités et pas beaucoup plus la population en général
 

BN99

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Après ça fait 35 ans que GIEC annonce que nous allons vivre de plus en plus d'évènements extrêmes de ce genre ça a pas l'air d’inquiéter les autorités et pas beaucoup plus la population en général
Les zones inondables sont pourtant identifiées depuis plusieurs années. C'est surtout un problème d'urbanisation mal géré : ne reserver les rez de chaussée des immeubles qu'à des surfaces de stockage ou de parking mais pas à des lieux d'habitation .idem pour les maisons individuelles, voire des constructions sur pilotis, laissant l'eau circuler plus librement. Et bien sûr autant que possible aménager en peripherie des agglomérations des zones de collecte des eaux de débordement (prairies, bassines de rétention...)
 

echazare

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Les zones inondables sont pourtant identifiées depuis plusieurs années. C'est surtout un problème d'urbanisation mal géré : ne reserver les rez de chaussée des immeubles qu'à des surfaces de stockage ou de parking mais pas à des lieux d'habitation .idem pour les maisons individuelles, voire des constructions sur pilotis, laissant l'eau circuler plus librement. Et bien sûr autant que possible aménager en peripherie des agglomérations des zones de collecte des eaux de débordement (prairies, bassines de rétention...)
C'est vrai, mais recevoir des quantités d'eau aussi importante ne serait pas arrivée sans le changement climatique...
 

Quin desgaï

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Après ça fait 35 ans que GIEC annonce que nous allons vivre de plus en plus d'évènements extrêmes de ce genre ça a pas l'air d’inquiéter les autorités et pas beaucoup plus la population en général
Oui certes mais a un moment quand tu es maire d'une ville et que tu vois ce qui va t'arriver sur la gueule tu lance une alerte générale et personne dans la rue où en bagnole. A la vue des images et du nombres de victimes on dirait qu'ils ne s'y attendait pas. C'était pourtant clairement annoncé.
 
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