• Rentre dans la mêlée des discussions enflammées ! :) Inscris toi en 2 minutes, et même en 10 secondes grâce à ton compte Facebook ! Les supporters t'attendent pour partager des avis ! JE M'INSCRIS ›››

En Trouvant La Recette À L’extérieur, L’usap A Franchi Un Cap Cette Saison

Saintemarie, c'est pas le pseudo de Jean louis 66 sur Rugbyrama ?lol

trés marrant !! j' ai pas l habitude de me cacher sous des pseudos moi du moins à moitié contrairement à vous : océan faust etc..

mais je vois que nous ne sommes pas que 5 ou 6 nuls du forum à penser la même chose , posez vous la question ???
 
https://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2017-2018/en-trouvant-la-recette-a-lexterieur-lusap-a-franchi-un-cap-cette-saison_sto6506533/story.shtml

Voilà même que Rugbyrama semble puiser ces sources directement du forum avec les analyses détaillées et pertinentes de nos forumers (@tomusapbarça66 entre autre pour ne pas le nommer ;-) )

La solide victoire (17-24) de Perpignan au stade des Alpes, jeudi dernier contre Grenoble, ne doit rien au hasard. Pour leur quatrième saison en Pro D2, les Catalans ont pris la bonne habitude de s’exporter avec réussite. Avec déjà six succès hors de leurs bases, les Catalans prouvent une fois de plus avoir franchi un cap dans cet exercice 2017-2018. Celui qui pourrait, enfin, les reconduire vers le top 14

Poings enragés, cris libérateurs. La joie des Sang et Or au coup de sifflet final, jeudi dernier au stade des Alpes de Grenoble, préfigure comme une scène au sentiment de déjà-vu. Pour cause, depuis le début de la saison, l’Usap est parvenue à glaner six victoires et un match nul à l’extérieur. Une science du déplacement inédite pour un club catalan abonné au dépaysement jusqu’ici. Souvent malheureux hors de leurs bases, les Sang et Or ont fait de leur point noir un atout numéro un en vue de leur objectif majeur. Comme en témoigne sa deuxième place au classement, le club perpignanais est bien décidé à renouer avec le Top 14. Décryptage d’une révolution.

Six victoires, du jamais vu depuis… la saison du Brennus
Il fut un temps que les moins de dix ans ne peuvent pas connaître. Depuis sa descente à l’échelon inférieur, en 2014, Perpignan éprouve les plus grandes peines à faire valoir son statut de cador de la Pro D2. L’épouvantail catalan est rapidement devenu l’équipe à battre et à abattre. Et si se déplacer Aimé-Giral reste une épreuve redoutée par ses adversaires, les difficultés du club sang et or à régner hors de ses bases se sont tout aussi bien inscrites dans son ADN. Un douloureux leitmotiv mis en exergue depuis l’arrivée de l’Usap dans l’antichambre du rugby français.

2258019-47059170-2560-1440.jpg
Sione Piukala (Perpignan) vs Dax le 05/10/2017Icon Sport

En trois saisons, Perpignan n’a cessé d’accumuler les désillusions à l’extérieur. Méconnaissable et aux antipodes de son étiquette de grosse écurie, la formation roussillonnaise s’est à chaque fois tirée une balle dans le pied à cause d’une campagne très moyenne en déplacement. Ratant les phases finales lors des deux derniers exercices. "Il y avait deux équipes. Perpignan était catastrophique à l’extérieur, on ne savait plus jouer" résume Enzo Forletta, qui vit sa quatrième saison en Pro D2 et sous le maillot catalan.

Si le début de l’opus 2017-2018 laissait entrevoir un embryon de maturité dans les rangs usapistes, la suite des évènements l’a définitivement confirmé. En onze sorties, Perpignan ne s’est incliné qu’à quatre reprises. Meilleur ratio derrière le phénomène Montauban. Et une première surtout pour les Sang et Or depuis bien longtemps. Avant même le terme de la saison, l’Usap réalise déjà son meilleur exercice à l’extérieur en Pro D2 (voir ci-dessous). Il faut remonter à la saison 2008-2009, celle du Brennus, pour retrouver pareille suprématie des Catalans hors de leurs bases.

1517385289-capture-d-ecran-2018-01-29-a-15-00-28.png

Vainqueurs à Bayonne, Dax et Grenoble ce mois-ci, les joueurs du trio Lanta-Arlettaz-Freshwater ne se sont inclinés qu’une seule fois lors de leurs sept derniers déplacements (à Biarritz, 37-11, le 30 novembre 2017). Un contraste saisissant compte tenu du passif du groupe catalan.

Autre corde à son arc, Perpignan sait désormais voyager partout. Impériale chez les candidats au bas de tableau, l’Usap est également parvenue à dompter un concurrent direct sur sa pelouse, jeudi dernier à Grenoble. Une première depuis mai 2015 et un succès décisif à Agen lors de la dernière journée de la phase régulière. C’est désormais une certitude, malgré la perte d’éléments précieux en cours de saison, les Sang et Or sont armés pour rêver plus grand. "Une fois, ça peut être un coup de chance. J’attends de voir les autres matchs » tempère le pilier gauche, alors que Montauban et Mont-de-Marsan sont au programme de l’Usap sur ce dernier tiers du championnat.

Accélérer à la 60e, une mécanique bien rodée
En analysant les sept performances de l’Usap à l’extérieur cette saison, une donnée commune ressort de la quasi-totalité des rencontres : Perpignan sait tuer les matchs en accélérant à l’heure de jeu. Comme en témoigne laerenversement opéré à Grenoble jeudi dernier, près de 40% des points de l’Usap en déplacements sont inscrits entre la 60e minute et la fin de la rencontre. Près de deux tiers des points sont même marqués au cours de la seconde période.

1517385217-capture-d-ecran-2018-01-26-a-16-16-43.png

"Les années précédentes, l’équipe manquait de rythme et de gestion lors des fins de matchs. On paniquait et sortait de notre système de jeu. C’est ce qui a changé. Il y a davantage de gestion, de patience et de confiance. Le groupe est plus mûr" révèle Alan Brazo. "Nous avons tout simplement appris de nos erreurs" résume Enzo Forletta. Là où ils ne cessaient de s’enliser dans leurs doutes ces trois dernières saisons en effet, les coéquipiers de Lifeimi Mafi savent à présent, sans paniquer, faire le dos rond à l’extérieur. Avant de prendre le dessus en fin de match. Un schéma presque type, et répété avec minutie lors de leurs six voyages victorieux cette année (voir ci-dessous).

Avec un banc qui a souvent fait la différence, Perpignan a aussi prouvé que son manque de profondeur, pourtant pointé du doigt, ne figurait plus comme un handicap. À l’image de la rentrée décisive du jeune Romuald Seguy à Vannes, ou de la présence de certains seconds couteaux contre Grenoble, le staff sang et or ose la science du turnover. Une stratégie doublement payante dans un championnat souvent comparé à un marathon. "Il y a beaucoup de matchs où les remplaçants ont impulsé quelque chose sur les fins de matchs" confirme Alan Brazo.

"À Angoulême, Perpignan a été compétitif (30-30) alors que beaucoup de jeunes étaient présents. Tout le monde est impliqué dans le projet, de ceux qui jouent beaucoup à ceux qui ne jouent pas" poursuit le flanker. "Perpignan, ce n’est pas seulement les quinze titulaires" renchérit son compère de la première ligne.

1517385289-capture-d-ecran-2018-01-30-a-15-25-27.png

Merci pour la citation :D Il faut dire que l'auteur de l'article est un membre du forum ;) Mais lui en plus en tant que (très bon) commentateur Eurosport il a droit à des stats avancées :)
 
trés marrant !! j' ai pas l habitude de me cacher sous des pseudos moi du moins à moitié contrairement à vous : océan faust etc..

mais je vois que nous ne sommes pas que 5 ou 6 nuls du forum à penser la même chose , posez vous la question ???
Mais je m'en pose des questions !
Par exemple qui était titulaire en 10 pour nos 6 victoires à l'extérieur ? ben 2 fois Potgieter et 4 fois Selpo qui était aussi titulaire à Angoulême ou nous faisons match nul... lol
 
https://www.rugbyrama.fr/rugby/pro-d2/2017-2018/en-trouvant-la-recette-a-lexterieur-lusap-a-franchi-un-cap-cette-saison_sto6506533/story.shtml

Voilà même que Rugbyrama semble puiser ces sources directement du forum avec les analyses détaillées et pertinentes de nos forumers (@tomusapbarça66 entre autre pour ne pas le nommer ;-) )
Suite .
Ne plus chuter à domicile, la clé des demi-finales
Avec une saison d'ores et déjà réussie à l’extérieur, la qualification directe de Perpignan en demi-finale ne dépend plus que d’une chose : rester intouchable à Aimé-Giral. Une mission déjà bafouée à deux reprises cette saison. Giflés par Mont-de-Marsan (20-44), son principal concurrent direct pour la deuxième place, au mois d’octobre, l’Usap s’est faite cueillir par Béziers au lendemain des fêtes (22-23). Un nouvel accroc évitable qui pourrait coûter cher aux Perpignanais au moment de sortir les calculatrices, au soir de la 30e journée.

Malgré leurs huit victoires à Aimé-Giral, jusqu’ici toutes bonifiées, les Sang et Or présentent le moins bon bilan à domicile parmi les membres du top 6. "C’est déjà deux défaites de trop, deux erreurs de trop. Et déjà un échec pour moi" lance Enzo Forletta. Avant de recevoir Colomiers, dimanche, les Catalans mesurent la nécessité de rester maîtres en leur demeure d’ici à la fin de la phase régulière. "Le groupe s’était déjà donné comme objectif de ne pas perdre à Giral cette saison. Il n’y avait déjà plus le droit à l’erreur avant Béziers. Maintenant, encore moins. Ce serait dommage de gâcher ces belles victoires à l’extérieur par des non-matchs à domicile" conclut le flanker Alan Brazo.

2229519-46489210-2560-1440.jpg
Alan BrazoIcon Sport

Colomiers, bête noire de l’Usap justement. Battus au bout d’interminables arrêts de jeu au match aller, sur un essai de pénalité, les Catalans avaient bien failli briser la série d’invincibilité des Columérins contre l’Usap. Mais Perpignan n’a plus battu le club haut-garonnais depuis le 24 aout 2014, et son premier match de l’histoire en Pro D2. Depuis, les joueurs encore dirigés par Bernard Goutta ont terrassé Aimé-Giral l’an passé en l’emportant 26-22, après avoir été menés 22 à 6 ! Il y a deux ans, une pénalité sur la sirène de Christopher Hilsenbeck avait permis aux Columérins d’arracher le match nul en Catalogne.

En bref, Perpignan a trouvé le meilleur adversaire possible, dimanche, pour s’offrir une solide confirmation une semaine après son exploit grenoblois. Et gravir une marche supplémentaire, vers des phases finales qui fuient les Catalans depuis deux longues saisons désormais.
 
Mais je m'en pose des questions !
Par exemple qui était titulaire en 10 pour nos 6 victoires à l'extérieur ? ben 2 fois Potgieter et 4 fois Selpo qui était aussi titulaire à Angoulême ou nous faisons match nul... lol
Tu te poses des questions mais tu ne te poses pas la bonne question qui est : pourquoi Selponi est il ainsi pointé du doigt, pour ne pas dire critiqué?
 
Tu te poses des questions mais tu ne te poses pas la bonne question qui est : pourquoi Selponi est il ainsi pointé du doigt, pour ne pas dire critiqué?
J'ai mes réponses à tes questions, donc je n'ai aucune raison de me les poser.
Les supporters qui critiquent Selponi ne voient souvent que ses erreurs et cagades (et il en commet, c'est sur), mais ils ne voient pas combien son jeu est différent d'un Séguy.
Selponi joue très près de la défense, il crée beaucoup d'incertitude et de doutes pour les défenseurs et il crée des intervalles, pour lui ou ses centres. Séguy joue assez loin de la défense, ce qui lui laisse plus de temps pour décider quoi faire, mais laisse aussi du temps à la défense pour analyser la situation et s'adapter. Il est plus un passeur qu'un créateur, il donne aux centres des ballons propres mais face à une défense placée.
Selponi colle beaucoup plus au jeu souhaité par Arlettaz qui demande de la vitesse chez nous et du désordre dans la défense adverse. Il joue souvent juste , même s'il rate parfois un geste technique (passe ou coup de pied).
Ajoutons qu'il défend très bien et qu'il est souvent bien placé et au soutient et voilà pourquoi il est devenu le N° 1 quand Potgieter a du renoncer.

Il est donc assez logique qu'il soit titulaire et qu'il ait été de toutes nos victoires à l'extérieur.
 
J'ai mes réponses à tes questions, donc je n'ai aucune raison de me les poser.
Les supporters qui critiquent Selponi ne voient souvent que ses erreurs et cagades (et il en commet, c'est sur), mais ils ne voient pas combien son jeu est différent d'un Séguy.
Selponi joue très près de la défense, il crée beaucoup d'incertitude et de doutes pour les défenseurs et il crée des intervalles, pour lui ou ses centres. Séguy joue assez loin de la défense, ce qui lui laisse plus de temps pour décider quoi faire, mais laisse aussi du temps à la défense pour analyser la situation et s'adapter. Il est plus un passeur qu'un créateur, il donne aux centres des ballons propres mais face à une défense placée.
Selponi colle beaucoup plus au jeu souhaité par Arlettaz qui demande de la vitesse chez nous et du désordre dans la défense adverse. Il joue souvent juste , même s'il rate parfois un geste technique (passe ou coup de pied).
Ajoutons qu'il défend très bien et qu'il est souvent bien placé et au soutient et voilà pourquoi il est devenu le N° 1 quand Potgieter a du renoncer.

Il est donc assez logique qu'il soit titulaire et qu'il ait été de toutes nos victoires à l'extérieur.
Moi je ne me pose pas de questions. Je soulignais juste que ta première réponse à jeanlouis66 n'était pas, de mon point de vue, appropriée. Celle-ci l'est beaucoup plus, et je suis assez d'accord avec ça, sauf sur le "souvent juste". Merci en tout cas pour cette réponse bien plus à la hauteur que la précédente (là encore, ce n'est que mon avis).
 
Retour
Haut