https://twitter.com/cnews/status/1241990421552795649
on a des amateurs excellents ... en attendant il y a eu des elections municipales, avec motif, ALLEZ VOTER C'EST IMPORTANT et 5 maires morts pas la suite.
il y a eu quand même 60 % d'imbéciles qui sont allés voter et 40 %, pas tous, qui on mieux réfléchis que le gouvernement.
Mais bon on gère, on gère ... comme le général Gamelin et ils y en a qui sont content.
De toute façon il y a personne pour piloter de façon visionnaire.
Mon cher OUSAP,si ton post veut signifier que la gestion française de cette crise est un fiasco,j'y souscris totalement.Par contre ,non je ne suis pas d'accord quand tu dis que qu'il n'y .a personne pour piloter de façon visionnaire.Bien sur que çi...IL y a Macron et son équipe qui gére selon leur vision ,leur ideologie.Contrairement à ce que les mots pourraient laisser penser,Macron n'a pas encore accomplit son chemin de Damas,la conversion n'est pas pour demain sauf si elle lui est imposée.En réalité lui continue a penser pour demain et pour son avenir et l'avenir de son ideologie.L'idéal serait que rien ne changeat et tout sera fait pour que rien ne change.ou à la marge.En attendant oui on gére,les penuries que "leur vision"ont contribué à entretenir à défaut de les avoir créees,on gère l'opinion et on peut compter pour cela sur des médias "convaincus",on gère les peurs,ça c'est fondamental.Non la gestion est à la fois ideologique ou visionnaire,et pragmatique ,mais surtout pour que la vision ou l'ideologie puisse se perpétrer.Quand aux autres,les opposants,ils bénéficient du doute,du double doute,celui de ne pas étre aux affaires et celui de ne pas avoir été réellement associés à la gestion de la crise,toujours par ideologie,comme a su le faire Merckel,dont par ailleurs on peut penser ce que l'on veut,en Allemagne.Résultat en dehors des différences de situation sanitaires elle a ,tandis qu'elle était en grande difficulté politique,su tenir compte des suggestions de ses oppositions et des patrons de landers et obtenir un consensus national et populaire,avec plus de 80 pour cent de la population dérrière elle.Un outil indispensable que nous n'avons pas su créer
et qui ne repose chez nous que sur la peur