. En revanche, les critiques sur les réseaux sociaux ne trouvent pas grâce à ses yeux : "Je me fous et me contrefous de ce qui s’y dit".
Il n'a pas tort sur ce point. La plupart du temps, les mecs qui critiquent ne vont pas soutenir l'équipe à l'extérieur, ne vont pas à Aimé Giral, ne participent pas à la vie de l'USAP, ne serait-ce qu'en allant voir un match de temps à autre. Non, le mec loin d'Aimé Giral, bien calé derrière son clavier, il se sent pousser des couilles, et ce sentiment lui est tellement étranger qu'il en rajoute autant qu'il peut dans la critique.
...Et tant qu'à faire, il lui faut des boucs émissaires pour les charger de tous les malheurs du monde. Un groupe se "spécialise" contre Ecochard, un autre contre Carbou, un autre contre Farnoux, pour certains, c'est le président, pour d'autres les entraineurs. Ils ont un point commun, d'après eux, en éliminant leur tête de turc, tout ira mieux...
Les
réseaux sociaux devraient parfois s'appeler les
zéros sociaux... Il n'y a rien de social dans leur discours.