fed66
USAPiste impliqué
Désolé d'être le grincheux de service, mais aujourd'hui nous avons vu une équipe de l'USAP largement supérieure sur le papier, perdre un point de bonus possiblement essentiel sur une absence de gestion.
D'abord on est à la 78ème dans leur camp, balle en main, et on va encore envoyer du jeu ce qui conduit à la blessure de Millo, au lieu de tenter des petits tas contre une équipe de Narbonne lessivée.
Admettons que ce soit discutable, une fois qu'on est dans notre en-but avec un renvoi aux 22 à la 79ème et 20 secondes, comment peut-on accepter cette sautée de Selponi de 40 mètres pour aller chercher un Chateau isolé, qui lui même décide de jouer rapidement le renvoi aux 22 à 1 contre 3...
Enorme faute professionnelle, mais comment l'expliquer ?
Est-ce qu'on se croit supérieur aux autres au point de les narguer jusqu'à la fin, ou est-ce qu'on est en mode automatique sur le terrain (c'est quand même notre 10, censé être un peu stratège, qui envoie la balle à notre ancien capitaine, donc logiquement qui doit sentir un peu le jeu...) ?
Et je ne sais pas si le pire n'est pas la réaction d'Ecochard sur l'interview à la fin, qui dit que la perte du point de bonus est une bonne base pour continuer à travailler...
Quand on voit l'intelligence de jeu et le pragmatisme des anglo-saxons en Champions Cup, qui ne les empêche pas d'envoyer du jeu à côté pour autant, on se dit qu'on a encore beaucoup à apprendre.
Voilà c'est la fin de l'instant bilieux, mais j'avais besoin d'évacuer cette frustration.
D'abord on est à la 78ème dans leur camp, balle en main, et on va encore envoyer du jeu ce qui conduit à la blessure de Millo, au lieu de tenter des petits tas contre une équipe de Narbonne lessivée.
Admettons que ce soit discutable, une fois qu'on est dans notre en-but avec un renvoi aux 22 à la 79ème et 20 secondes, comment peut-on accepter cette sautée de Selponi de 40 mètres pour aller chercher un Chateau isolé, qui lui même décide de jouer rapidement le renvoi aux 22 à 1 contre 3...
Enorme faute professionnelle, mais comment l'expliquer ?
Est-ce qu'on se croit supérieur aux autres au point de les narguer jusqu'à la fin, ou est-ce qu'on est en mode automatique sur le terrain (c'est quand même notre 10, censé être un peu stratège, qui envoie la balle à notre ancien capitaine, donc logiquement qui doit sentir un peu le jeu...) ?
Et je ne sais pas si le pire n'est pas la réaction d'Ecochard sur l'interview à la fin, qui dit que la perte du point de bonus est une bonne base pour continuer à travailler...
Quand on voit l'intelligence de jeu et le pragmatisme des anglo-saxons en Champions Cup, qui ne les empêche pas d'envoyer du jeu à côté pour autant, on se dit qu'on a encore beaucoup à apprendre.
Voilà c'est la fin de l'instant bilieux, mais j'avais besoin d'évacuer cette frustration.