S'abonner Mis à jour le 18/04/2018 19:26 2 commentaires Partager Perpignan, Rugby à XV, USAP
Pro D2
USAP : "C’est du grand n’importe quoi", s'insurge Xavier Péméja (Nevers)
À 11 jours de la demi-finale à Aimé-Giral contre Mont-de-Marsan ou Béziers (dimanche 29 avril), l'entraîneur de Nevers, Xavier Péméja, donne son ressenti sur les phases finales et l'USAP.
L’USAP est-elle favorite pour monter en Top 14 ?
Sincèrement, je ne sais pas car c’est très ouvert. Mais déjà, ils auraient dû monter en Top 14 vu qu’ils ont fini premier. Cette nouvelle formule, c’est du grand n’importe quoi. Ce championnat de Pro D2, long comme il est, où le leader qui a enchaîné les victoires, voit sa montée compromise, je trouve ça lamentable. C’est foutre ce championnat en difficulté.
Pourquoi ?
Imaginons que ce soit le sixième qui monte, ce serait catastrophique. Je ne comprends pas que l’on ait pu faire ça. En plus, coïncidence, l’USAP recevra en demi-finale les deux équipes qui les ont battus chez eux cette saison. Les gars ont fait le maximum pour finir premier, être capable d’aller gagner à Montauban (22-20), Grenoble (24-17), etc. Et à la sortie, perdre contre le sixième, ce serait foutre un club en difficulté.
Quel est votre pronostic ?
C’est compliqué car aucune équipe possède tous les points forts. Un match peut se jouer sur des mêlées, sur des touches, sur la défense ou l’attaque. Il va y avoir beaucoup de choses à prendre en compte. On s’aperçoit qu’il y a une grosse proximité entre le premier et le second, et ensuite derrière entre le troisième, quatrième, cinquième et sixième. C’est quand même assez tendu. Ensuite, l’USAP est un « petit » premier car elle n’a pas atteint la barre des 100 points. Ça prouve que c’est très difficile à pronostiquer aujourd’hui. Grenoble revient en forme, Montauban a une force énorme, sa défense, qui peut faire déjouer une équipe comme Perpignan.
Pro D2
USAP : "C’est du grand n’importe quoi", s'insurge Xavier Péméja (Nevers)
À 11 jours de la demi-finale à Aimé-Giral contre Mont-de-Marsan ou Béziers (dimanche 29 avril), l'entraîneur de Nevers, Xavier Péméja, donne son ressenti sur les phases finales et l'USAP.
L’USAP est-elle favorite pour monter en Top 14 ?
Sincèrement, je ne sais pas car c’est très ouvert. Mais déjà, ils auraient dû monter en Top 14 vu qu’ils ont fini premier. Cette nouvelle formule, c’est du grand n’importe quoi. Ce championnat de Pro D2, long comme il est, où le leader qui a enchaîné les victoires, voit sa montée compromise, je trouve ça lamentable. C’est foutre ce championnat en difficulté.
Pourquoi ?
Imaginons que ce soit le sixième qui monte, ce serait catastrophique. Je ne comprends pas que l’on ait pu faire ça. En plus, coïncidence, l’USAP recevra en demi-finale les deux équipes qui les ont battus chez eux cette saison. Les gars ont fait le maximum pour finir premier, être capable d’aller gagner à Montauban (22-20), Grenoble (24-17), etc. Et à la sortie, perdre contre le sixième, ce serait foutre un club en difficulté.
Quel est votre pronostic ?
C’est compliqué car aucune équipe possède tous les points forts. Un match peut se jouer sur des mêlées, sur des touches, sur la défense ou l’attaque. Il va y avoir beaucoup de choses à prendre en compte. On s’aperçoit qu’il y a une grosse proximité entre le premier et le second, et ensuite derrière entre le troisième, quatrième, cinquième et sixième. C’est quand même assez tendu. Ensuite, l’USAP est un « petit » premier car elle n’a pas atteint la barre des 100 points. Ça prouve que c’est très difficile à pronostiquer aujourd’hui. Grenoble revient en forme, Montauban a une force énorme, sa défense, qui peut faire déjouer une équipe comme Perpignan.