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Biarritz / usap

Grosse, très grosse déception...Moi qui en général suis plutôt optimiste là faut avoué que je commence à ne plus l'être...Je crois bien que la saison s'est terminé hier...à moins d'un miracle je ne vois pas comment on pourrait accéder au demi finale !!!
Concernant le match, l'entame est plutôt pas mal. Solide en défense, joueur en attaque (peut être trop en ce début de match) et opportuniste et chanceux sur le premier essai; ce qui nous permet de prendre le score. Notre mélée se tenait voire même contrariée celle du BO. Tout semblé être là pour mettre la pression sur cette équipe jeune du BO.
L'énigme du match, et ceux du début à la fin, c'est le gaucher du BO qui m'a semblé complètement pris et dépassé par Chéron puis Ion. Le gars sortait la tête, poussé vers le haut sans vraiment être sanctionné...
Puis viens l'épisode des cartons...alors là faut avouer qu'il y a de quoi achever un groupe déjà fragilisé...Pourquoi lors de la deuxième minute de jeu le 8 biarrot n'est pas exclu sur la plaquage haut et dangereux sur Artru et Kulemin lui prend directement le jaune alors qu'il accompagne le biarrot dans sa chute sans le blesser ni intention de faire mal !!! Pourquoi sur la première mélée qui recule l'arbitre sort Chéron, il recule certes mais la faute n'est pas flagrante et ne mérite pas le carton !!!
Voilà comment flinguer un match que l'usap semblait maitriser, tout comme à Colomiers... Alors certes, si on analyse le match, on fait plein de petites fautes qui à ce niveau doivent être corrigés (en avant, passe pas toujours précise, jeu au pied faible, mauvais choix tactiques,...) qui viennent se rajouter à cette impression (réelle ou pas) de se faire enfler par l'arbitre mais je crois que les joueurs ne jouent pas relâchés, sont sans cesse sous pression, ont peur de mal faire et parfois le moral se délitent face à tant d'adversité (réelle ou pas) ressenti sur le terrain... Les mecs, après l'épisode des cartons, n'arrivent pas à se rebeller. On les sent abattus, crispés et cela annihile leur rugby...
Bref, un gros travail s'impose pour régler tout ça. Un travail pas simplement rugbystique car nos joueurs ne sont pas des pipes. Il s'agit de régler un problème de confiance, de force mentale et psychologique et forcé de constater que les coaches n'y arrivent pas depuis plusieurs mois...Aucun progrès et je dirais même que le mal commence à gangréner le groupe dans son ensemble...
Faut vite recruter un manager (Milhas ou un autre), certainement ne pas renouveler les entraineurs pour essayer de repartir sur une nouvelle saison... Dans cette situation, il me parait clair que Gélez et Benetton ne peuvent pas être des bâtisseurs pour une reconquête du haut de tableau la saison prochaine...Les joueurs ont clairement besoin de changement pour progresser et mieux se sentir entre eux, dans leur rugby et dans leur tête....
 
Dans cette situation, il me parait clair que Gélez et Benetton ne peuvent pas être des bâtisseurs pour une reconquête du haut de tableau la saison prochaine...Les joueurs ont clairement besoin de changement pour progresser et mieux se sentir entre eux, dans leur rugby et dans leur tête....

Combien de fois va-t-on encore changer.

- Dernière saison de Brunel : demi-finale de Hcup, mais 4 défaites à domicile. Brunel s'en va, officiellement, fatigué par l'exigence d'un poste de club, officieusement, ayant senti que son message ne passait plus très bien dans un vestiaire où les écarts de salaire post-2009 commencent à se faire sentir douloureusement

- Arrivée de Delmas tout seul : au bout de 5 journées, 4 victoires et 1 seule défaite, avec en prime fin de la malédiction à Aguilera. Puis patatras, défaite contre Agen que l'entraîneur "prend pour lui". Derrière, succession de défaite, fronde en prime-time à Newport, limogeage de Delmas. Fin de saison en dents de scie, l'équipe retrouve ses valeurs sur quelques matchs clefs pour se maintenir.

- Arrivée de Delpoux, pas tout seul : première saison en dents de scie mais maintien assuré très tôt, 7ème en fin de saison. Deuxième saison : jusqu’à la réception de Bordeaux- Bègles incluse, l’équipe est dans les 6, et peut rentrer dans les 2 en cas de victoire à Oyonnax : défaite piteuse (caillassage du bus et doigts d’honneur partout dans le stade inclus). Série de défaites. Cette fois, on ne donne pas raison au vestiaire, mais on n’écoute pas non plus les anciens lanceurs d’alerte (Marty, Pérez). Relégation pour 3 points-average et un essai de Bousquet qui passe entre des piquets brivistes.

- Arrivée de Hyardet dans un vestiaire en lambeaux. Performances à l’extérieur médiocres voire minables (Carcassonne), facilité très grande à domicile. Au seuil du printemps, série intéressante, victoires à Béziers puis à Massy. Mystérieux stage à Gérone qui fait exploser le groupe mais aussi le couple Rivière / Hyardet. Elimination en demi-finale qui ne semble regrettée par personne. Départ de Hyardet (c’est moi qui pars dit-il. Rivière dit non, c’est moi qui le fais partir, il n’est pas l’homme de la phase 2. Y’avait une phase 2 ?)

- Arrivée de personne, Patat / Gelez se gèrent tout seuls. Débuts convaincants, après Bourgoin, 1 seule défaite. Puis patatras, résultats de Charybde en Scylla jusqu’au fleuve Egassiairal dans lequel l’équipe se noie. Patat emporté par les eaux. Arrivée de Benetton qui continue son petit tour des anciennes gloires du Languedoc-Roussillon. Un mieux immédiat contre Aurillac, puis contre le LOU. A l’extérieur, un point miraculeux à Béziers, et à nouveau des tôles. Nouveauté, des joueurs écartés provisoirement (Marty) ou plus longuement (Pérez).

Bref, 3 situations identiques de bon départ (Delmas 2011 / Delpoux 2013, Patat/Gelez 2015) avant 3 écroulements. Le seul à avoir amélioré les performances en cours d’exercice : Hyardet.

Bilan : président, tu prends pas un bon manager avec 1 recrue de poids par ligne, tu peux remplacer ton plan USAP Pro 2020 par Association Amateur USAP 2017. Histoire de sauver financièrement le club une deuxième fois, bien entendu…
 
Je n'ai pas vu le match ...comme tous ,je suis abattu et déçu ... résultat : nouvelle défaite à 0 point et l'écart qui grandit encore sur la 3 ème place (je considère désormais que les 2 premières nous sont désormais inaccessibles ) !

Les discours d'avant match sont à chaque sortie démentis par les résultats ...l'inquiétude sera à nouveau grande pour la réception de CARCASSONNE et tous nos matches à la maison vont être risqués puisque nos matches à l'extérieur ne nous ont pas permis d'acquérir la moindre CONFIANCE depuis la victoire à RAJON ...il y a 4 mois !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

J'ai peur également que la moindre nouvelle défaite à GIRAL ,toujours possible (CARCASSONNE/BEZIERS/NARBONNE/BAYONNE/ALBI ), ne nous fiche tout en l'air !!!!!!!!!!!!
 
Match médiocre qu`on pouvait malgré tout gagner , vu que le BO était bien terne également
Mais quelque soit le résultat , le constat est le méme , on est pas prét pour la montée !
Désormais comme on ne peut espérer grand chose , ce serait bien de tester certains espoirs , style Séguy , Rodor et autres Walcker entre autres .
 
Combien de fois va-t-on encore changer.

- Dernière saison de Brunel : demi-finale de Hcup, mais 4 défaites à domicile. Brunel s'en va, officiellement, fatigué par l'exigence d'un poste de club, officieusement, ayant senti que son message ne passait plus très bien dans un vestiaire où les écarts de salaire post-2009 commencent à se faire sentir douloureusement

- Arrivée de Delmas tout seul : au bout de 5 journées, 4 victoires et 1 seule défaite, avec en prime fin de la malédiction à Aguilera. Puis patatras, défaite contre Agen que l'entraîneur "prend pour lui". Derrière, succession de défaite, fronde en prime-time à Newport, limogeage de Delmas. Fin de saison en dents de scie, l'équipe retrouve ses valeurs sur quelques matchs clefs pour se maintenir.

- Arrivée de Delpoux, pas tout seul : première saison en dents de scie mais maintien assuré très tôt, 7ème en fin de saison. Deuxième saison : jusqu’à la réception de Bordeaux- Bègles incluse, l’équipe est dans les 6, et peut rentrer dans les 2 en cas de victoire à Oyonnax : défaite piteuse (caillassage du bus et doigts d’honneur partout dans le stade inclus). Série de défaites. Cette fois, on ne donne pas raison au vestiaire, mais on n’écoute pas non plus les anciens lanceurs d’alerte (Marty, Pérez). Relégation pour 3 points-average et un essai de Bousquet qui passe entre des piquets brivistes.

- Arrivée de Hyardet dans un vestiaire en lambeaux. Performances à l’extérieur médiocres voire minables (Carcassonne), facilité très grande à domicile. Au seuil du printemps, série intéressante, victoires à Béziers puis à Massy. Mystérieux stage à Gérone qui fait exploser le groupe mais aussi le couple Rivière / Hyardet. Elimination en demi-finale qui ne semble regrettée par personne. Départ de Hyardet (c’est moi qui pars dit-il. Rivière dit non, c’est moi qui le fais partir, il n’est pas l’homme de la phase 2. Y’avait une phase 2 ?)

- Arrivée de personne, Patat / Gelez se gèrent tout seuls. Débuts convaincants, après Bourgoin, 1 seule défaite. Puis patatras, résultats de Charybde en Scylla jusqu’au fleuve Egassiairal dans lequel l’équipe se noie. Patat emporté par les eaux. Arrivée de Benetton qui continue son petit tour des anciennes gloires du Languedoc-Roussillon. Un mieux immédiat contre Aurillac, puis contre le LOU. A l’extérieur, un point miraculeux à Béziers, et à nouveau des tôles. Nouveauté, des joueurs écartés provisoirement (Marty) ou plus longuement (Pérez).

Bref, 3 situations identiques de bon départ (Delmas 2011 / Delpoux 2013, Patat/Gelez 2015) avant 3 écroulements. Le seul à avoir amélioré les performances en cours d’exercice : Hyardet.

Bilan : président, tu prends pas un bon manager avec 1 recrue de poids par ligne, tu peux remplacer ton plan USAP Pro 2020 par Association Amateur USAP 2017. Histoire de sauver financièrement le club une deuxième fois, bien entendu…
Résumé précis et fidèle!
J'ajoute juste une précision concernant le départ de Hyardet:quand Rivière lui a annoncé le recrutement il lui a répondu!" ce n'est pas un manager qu'il vous faut, mais un magicien" ! Fin de l'épisode.
 
Comment redonner de la confiance à un groupe qui se sait observe sans la moindre indulgence par le corps arbitral? Les nombreuses fautes de main et de placement sont la conséquence d'une fébrilité née de la peur de mal faire et d'être systématiquement pris par la patrouille.En fait les seuls bénéficiaires sont les heureux adversaires de l'usap qui peuvent jouer à la limite de la règle sachant que l'arbitre attentif aux jeux des nôtres en oublient de regarder l'adversaire
 
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