pouett
Passe du temps sur le forum
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Le dernier terroriste en fuite a été tué par la police espagnole. Les policiers français eux auraient tiré dans les jambes et une enquête aurait été faite "les policers étaient ils réellement en légitime défense"?
En France on manque de *******. Ajoutez à cela les collabos, et bien on n'est pas prêts de s'en sortir.
Voilà la différence entre la france est l'espagne...
Source LCI :
USAGE DES ARMES - L'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie par le parquet de Montargis après qu’un homme menaçant a été tué par des policiers samedi à Châlette-sur-Loing (Loiret). Au centre de l’enquête de la police des polices, la nouvelle loi sur l’usage des armes.
24 août 12:06La rédaction de LCI
Les policiers ont-ils ouvert le feu dans les conditions de la nouvelle loi les autorisant à le faire ? C’est à cette question que les enquêteurs de l'IGPN de Rennes devront répondre après que des agents de police ont tué samedi un homme souffrant de troubles psychiatriques qui tentait de s’enfuir à bord de son véhicule à Chalette-sur-Loing (Loiret). L’intervention des fonctionnaires a été filmée par des témoins et largement diffusée sur les réseaux sociaux. On y voit des policiers encerclant la voiture dans lequel l'homme s'est retranché et tentant de briser la fenêtre et le pare-brise à l'aide d'une matraque.
On entend également un policier demander un Taser - qu'ils n'ont pas - pour immobiliser le conducteur qui a démarré la voiture et tente de s'enfuir en faisant des manoeuvres avant-arrière. Le conducteur percute la voiture des agents qui a été stationnée juste derrière pour l'empêcher de fuir mais il finit par réussir à s'échapper. Les fonctionnaires tirent alors sur le véhicule en fuite. Une quinzaine de coups de feu se font entendre. La voiture criblée de balles s'immobilise un peu plus loin. L'homme décèdera peu après.
La loi L435-1 du 28 février 2017 relative à la sécurité publique
Selon des sources policières citées par l’AFP, l'homme, âgé de 47 ans, avait peu avant "exhibé un couteau devant un passant". Une équipe de trois policiers s'était alors rendue chez lui pour l'interpeller mais il s’était réfugié dans sa voiture. Il aurait de nouveau exhibé son couteau, menacé de tuer les fonctionnaires et "de placer des bombes dans la ville".
"Les vidéos ne donnent pas le contexte de l'intervention. Elles durent 2 à 3 minutes alors que les faits se sont déroulés sur plus de 30 minutes, a déclaré à l'AFP la substitute du procureur de Montargis, Laetitia Cohade. L'enjeu de l'enquête, c'est de déterminer s'il s'agit d'un des cas d'application de la nouvelle loi". "L'autopsie de la victime, qui aura lieu mercredi, sera déterminante", a-t-elle ajouté.
La loi L435-1 du 28 février 2017 relative à la sécurité publique a aligné le cadre de l'usage des armes par la police sur celui des militaires de la gendarmerie, a rappelé la magistrate. La police des polices qui a été saisie devra donc établir si les fonctionnaires ont tiré dans un des cas d'application de cette nouvelle loi. Ce texte permet ainsi, sous certaines conditions, de faire usage des armes notamment sur un fuyard : "Lorsque, immédiatement après deux sommations adressées à haute voix, ils ne peuvent contraindre à s'arrêter, autrement que par l'usage des armes, des personnes qui cherchent à échapper à leur garde ou à leurs investigations et qui sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui".
Les policiers peuvent également ouvrir le feu "lorsqu'ils ne peuvent immobiliser, autrement que par l'usage des armes, des véhicules (...) dont les conducteurs n'obtempèrent pas à l'ordre d'arrêt et dont les occupants sont susceptibles de perpétrer, dans leur fuite, des atteintes à leur vie ou à leur intégrité physique ou à celles d'autrui".
Troubles psychiatriques
Ils doivent néanmoins "faire usage de leurs armes en cas d'absolue nécessité et de manière strictement proportionnée", rappelle le texte. Si la famille de l’homme tué n’a pas souhaité s’exprimer, le maire de Chalette, Franck Demaumont, interrogé par l’AFP, a indiqué que la victime souffrait de troubles psychiatriques depuis la mort de son père il y a une trentaine d'années. Il vivait chez sa mère dans le quartier Kennedy, réputé sensible. Avec ses proches, il s'était rendu au Portugal, d'où la famille est originaire. Lui était revenu seul quelques jours auparavant. Selon le parquet, il n’avait jamais été condamné même si il "avait des antécédents dans les fichiers de la police et de la gendarmerie".
L'homme "n'était pas particulièrement violent, selon les témoignages de ses proches", a également précisé le parquet à l'AFP, contrairement à ce qu'avait affirmé au lendemain des faits une source policière qui avait même évoqué un "homicide volontaire". L’autopsie devait être pratiquée mercredi.
Là tu as la vidéo en question :
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Normalement les flics auraient dû l'abattre immédiatement mais bon en france faut excuser les délinquants est tout ceux qui font chier cela fait de l'argent pour les avocats...les victimes elles,qu'elles aillent se faire foutre !!!
Sinon pour l'origine encore un français,enfin un français par intérêt.