Mes amis, j'ai du m´en aller ,
Je n´ai pu que jeter mes dés ,
Car j'ai du subir aussi la curée ,
Quelle bêtises !
J´abandonne , trop dur le chemin ,
Toutes ces choses que j´aimais bien ,
J'ai pourtant beaucoup de chagrin ,
Que c'est triste !
Quelle bêtise ! Quelle bêtise ! oui je m’entête moi l'étranger ,
Quelle bêtise ! Quelle bêtise ! pour mon bien-être , oui je l'ai fais .
Tous ces sifflets malsains , toutes ces sirènes , ces pipeaux ,
M´ont chanté cent fois la chanson de oui trop c'est trop !
Que c'est triste !
Mes amis, je vous dis adieu ,
Devrais-je aussi pleurer un peu ,
Pardonnez-moi , mais dans mes yeux ,
Pas de larmes !
Je passerai voir de temps en temps ,
Vous dire...je ne sais pas quand ,
Après tout , mon honneur avant ,
Pas de fuite !
Quelle bêtise ! Quelle bêtise ! oui je m’entête moi l'étranger ,
Quelle bêtise ! Quelle bêtise ! pour mon bien-être , oui je l'ai fais .
Tous ces sifflets malsains , toutes ces sirènes , ces pipeaux ,
M´ont chanté cent fois la chanson de oui trop c'est trop !
Que c'est triste !
Quelle bêtise ! Quelle bêtise ! oui je m’entête moi l'étranger ,
Quelle bêtise ! Quelle bêtise ! pour mon bien-être , je le ferais .
10 avril 2014 .