Monsieur le Président ,
Si vous lisez cette lettre ,
Vous vous direz peut-être ,
De quoi vous mêlez vous !
J'ai sorti les gros sous ,
Et vous me dites mou ,
Que faut -il que je fasse ?
Mettez vous à ma place .
Monsieur le président ,
Il ne faut plus vous taire ,
Le peuple s'exaspère ,
Déçu , ça se comprend .
C´est pas pour vous lâcher ,
Mais vous devez vous dire ,
Pris pour des imbéciles ,
Nous en avons assez .
L'équipe a un passé ,
La devise est fierté ,
L'orgueil lui se cultive ,
Au son de nos musiques .
Nos pères ont tant souffert ,
Pour que le club lui gagne ,
Du sang ils ont offert ,
Pour que le peuple chante .
Il y a de quoi pleuré ,
On a vole son âme ,
On a éteint sa flamme ,
Nous reste le passé .
Demain il serait bien ,
Que la raison l'emporte ,
Au diable les mots , qu'importe ,
Des actes , on attend bien .
Debout serrez les rangs ,
Sortez nous de la honte ,
De cette colère qui gronde ,
Sans perdre plus de temps .
Serez leur donc la vis ,
Poussez une colère ,
Oubliées vos largesses ,
Faites les donc souffrir .
Peut-on croire longtemps ,
Toutes vos belles paroles ,
Monsieur le président ?
Si vous vous décidez .
Prévenez vos ouailles ,
Qu'il va couler des larmes ,
Et fini de danser ,
Et fini de parler .
02 février 2015
Si vous lisez cette lettre ,
Vous vous direz peut-être ,
De quoi vous mêlez vous !
J'ai sorti les gros sous ,
Et vous me dites mou ,
Que faut -il que je fasse ?
Mettez vous à ma place .
Monsieur le président ,
Il ne faut plus vous taire ,
Le peuple s'exaspère ,
Déçu , ça se comprend .
C´est pas pour vous lâcher ,
Mais vous devez vous dire ,
Pris pour des imbéciles ,
Nous en avons assez .
L'équipe a un passé ,
La devise est fierté ,
L'orgueil lui se cultive ,
Au son de nos musiques .
Nos pères ont tant souffert ,
Pour que le club lui gagne ,
Du sang ils ont offert ,
Pour que le peuple chante .
Il y a de quoi pleuré ,
On a vole son âme ,
On a éteint sa flamme ,
Nous reste le passé .
Demain il serait bien ,
Que la raison l'emporte ,
Au diable les mots , qu'importe ,
Des actes , on attend bien .
Debout serrez les rangs ,
Sortez nous de la honte ,
De cette colère qui gronde ,
Sans perdre plus de temps .
Serez leur donc la vis ,
Poussez une colère ,
Oubliées vos largesses ,
Faites les donc souffrir .
Peut-on croire longtemps ,
Toutes vos belles paroles ,
Monsieur le président ?
Si vous vous décidez .
Prévenez vos ouailles ,
Qu'il va couler des larmes ,
Et fini de danser ,
Et fini de parler .
02 février 2015