Analyse : Ami de la poésie,bonjour!

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Et voilà ça y est,on y est
Match phare par exellence
Agen qui vient nous défier
Et tester notre puissance

Il ne faudra pas s'enlever
Pour ce test grandeur nature
Les Agenais vont nous pousser
A notre point de rupture

Il faudra y mettre le cœur
Faire preuve de patience
Pour faire élever les clameurs
Juste après de brefs silences

L'équipe se doit d'y croire
Agen,une est une belle affiche
Pour ressortir des armoires
Les vieux souvenirs en friche

Le public croit en l'équipe
Elle ne peut pas se défiler
Et doit se sortir les tripes
Tout ce qui fait notre fierté

En étant tous au diapason
Et poussant dans le même sens
Nous serons tous à l'unissons
Poussés vers la performance

Espérons que l'ambiance y soit
Et que le public soit présent
Que le stade soit en émoi
Au rythme des chants catalan.

 

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Une fois n'est pas coutume , je suis tombé sur cette chanson , bien aidé par nos amis [MENTION=553]mikesierra[/MENTION] et [MENTION=1418]Maury[/MENTION]
Je ne comprends pas les paroles , mais comprends que l'amour avec un grand A , se cache derrière chaque mot , chaque ligne et l'on ne peut qu'être " emporté " par l'imagination , de cette belle mélodie .

[video=youtube;quS6pZNeIM8]http://www.youtube.com/watch?v=quS6pZNeIM8[/video]

Tant com me quedarà
Un alè de vida
Tant com me quedarà
Una gota de sang .
Jo te cantaré
Dolça terra ferida
Jo te cantaré
ambs el sanglots d'un amant .

Tant com me quedarà
un alè de vida
Tant com me quedarà
Un filaret de veu .
Jo te cantaré
Dolça patria ferida
Jo te cantaré
Malaguanyat país meu

M'es igual si ja mil poètes
M'és igual si ja mil pintors
Han contat tes amoretes
Han glorificat tos colors
Amorosos de Cotlliure Embadalits del Canigó
Alabant el plaer de viure
Sota el cel blau del Rosselló
Banyant l'ufanosa Albera
Dins l'ona calma d'Argelers
I fent ser l'aspra Corbera
Guardiana del Barcarès

Tant com me quedarà
Un alè de vida
Tant com me quedarà
Una gota de sang .
Jo te cantaré
Dolça terra ferida
Jo te cantaré
Ambs el sanglots d'un amant.

Tant com me quedarà
Un alè de vida
Tant com me quedarà
Un fileret de veu .
Jo te cantaré
Dolça patria ferida
Jo te cantaré
Malaguanyat país meu .

M'es igual si ja mil poètes
M'és igual si ja mil pintors
Han contat tes amoretes
Han glorificat tos colors
M'és igual si ja mil teles
S'han emprat del Castellet
I si les teves "esteles"
Ja han ballat dins d'un sonet
Si mil cops la tramuntana
Ha fet sarau tota una nit
Si s'ha pintat la sardana
Com un ball d'amor infinit

Tant com me quedarà
Un alè de vida
Tant com me quedarà
Una gota de sang.
Jo te cantaré
Dolça terra ferida
Jo te cantaré
ambs el sanglots d'un amant.

Tant com me quedarà
un alè de vida
Tant com me quedarà
Un fileret de veu
Jo te cantaré
Dolça patria ferida
Jo te cantaré
Malaguanyat país meu .



M'és igual si la Ginesta
Ja ha llorejat mil cançons
Si els esclats de nostra festa
Il.luminen els horitzons.
Si se sap que la bandera
Que jo tinc arrelada al cor
Sola, última i primera
Va ser feta de sang i or.
M'es igual si ja mil poètes
M'és igual si ja mil pintors
Han contat tes amoretes
Han glorificat tos colors

Tant com me quedarà
Un alè de vida
Tant com me quedarà
Un fileret de veu
Jo te cantaré
Dolça patria farida
Jo te cantaré
Malaguanyat país meu .

Tant com me quedarà
Un alè de vida
Tant com me quedarà
Un fileret de veu.

 

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Moi aussi j'ai connus une fée
Mais pas celle que vous croyez
Et elle avait de très beaux yeux
J'en ai rarement vus de mieux

Moi aussi j'ai connus une fée
En parler serait déplacé
C'était une confidence
Une marque de confiance

Moi aussi j'ai connus une fée
Qui j'avoue faisait de l'effet
Elle se mettait à écrire
J'imaginais son sourire

Moi aussi j'ai connus une fée
Ayant toujours une pensée
Et toujours un mot apaisant
Dans mes brefs moments de tourment

Moi aussi j'ai connus une fée
Et je pouvais me confesser
Elle me parlait avec justesse
Dans mes instants de faiblesse

Moi aussi j'ai connus une fée
Elle arrivait à me fasciner
Et à me mettre en émoi
C'était louable croyez moi

Moi aussi j'ai connus une fée
Je lui confiais mes secret
Lui parlais de mes émotions
Sans me poser trop de questions

Moi aussi j'ai connus une fée
Et cette fée,elle est passée
Ne me laissant en souvenir
Qu'une image et un sourire

 

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ouais , toujours est il qu'on devait avoir un pilier pendant la coupure et que finalement il n'y aura personne !

Monsieur Rivière vous avez voulu être le président ,
Assurez donc , agissez à présent .
Un , deux piliers , durs qui poussent en avant ,
Ce ne serait pas du luxe par ces temps .

Monsieur Rivière , je suis un vieux qui n'a que 42 ans ,
Un peu rouillé , mais j'ai toutes mes dents .
Je pourrais bien , dépanner , ce serait pour un temps ,
Deuxième ligne , je répondais présent .

Monsieur Rivière ,
N'attendez pas trop longtemps pour décider ,
Mars , avril , mai , trop tard pour remonter .
Juin , juillet , août nous avions espéré ,
Le reste de l'année nous allons galéré .

Monsieur Rivière , certains peaufinent l' équipe de curling ,
Quel beau programme vous nous préparez là ;
Les commentaires , belles phrases par ci ,c'est pas très clair par là ,
Aventurier prière de s'abstenir .

Monsieur Rivière , je sais moi-même parfois j'exagère ,
J'ai bourlingué 10 ans , quelques années de galère ,
J'aurais aimé , un autre cheminement , voire une autre carrière ,
Je me voyais , moi aussi haut dans ma tête .

Monsieur Rivière ,
N'attendez pas trop longtemps pour décider ,
Mars , avril , mai , trop tard pour remonter .
Juin , juillet , août nous avions espéré ,
Le reste de l'année nous allons galéré .

Monsieur Rivière assurément je vous considère honnête ,
Un brin fidèle impulsif , un tant soit peu intelligent ,
Respectueux , poli , la question à présent je pose ,
Vous êtes grand , mais y en a t-il dedans ?

Monsieur Rivière , auriez vous assez d'amis pour vous tenir compagnie ,
Dans cette famille , il faut rester uni .
Les supporteurs il vous faudra les conserver ,
Un petit effort serait apprécié .

Monsieur Rivière , nous écoutons FbRoussillon ,
Tous les lundis .
Monsieur Rivière , nous repartons ,
Tous les mardis .
Monsieur Rivière , un cierge allons bruler ,
Les mercredis .
Monsieur Rivière , nous osons espérer ,
Tous les jeudis .
Monsieur Rivière , nous commençons à flipper ,
Le vendredi .
Monsieur Rivière , nous crions sur le pré ,
Tous les samedis .
Et les dimanches parfois trop loin du paradis .

30 septembre 2014 .

 

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François nous promet ,
Oui mais voilà , il n'est pas là .
Voila , voilà ,
Nous on ne le croit pas .
On l' a attendu, attendu ,
Mais Postiglioni n'est jamais venu .

Des paroles toujours ,
Des histoires toujours ,
Des paroles toujours qui finissent mal ,
Des histoires qui finissent mal en général .

François aime l'Usap ,
Et l'Usap le lui rend si bien ,
Qu'à la fin ça ne donne plus rien .
Le public toute la semaine attendit ,
L'arrivée du fameux Postiglioni .

François dans ses discours enflamme ,
Pour le moment , drôles de messages .
L'espoir se meurt , même s'il assure ,
Vouloir faire signer un oiseau rare .
Sur le forum on s'engueulait ,
Dès le matin , sitôt levé .


Des paroles toujours ,
Des histoires toujours ,
Des paroles toujours qui finissent mal ,
Des histoires qui finissent mal en général .

 

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Amitié perdue.



Quand on à plus rien à dire
Qu'on se souvient des sourires
Du temps passé à rigoler
Quand tout cela c'est envolé

Il restera le souvenir
Mais j'ai pas les mots pour dire
Autant de moment partagés
Et tant de secret dévoilés

Mais ce qui restera toujours
Comme une amitié sans détour
Celle qu'on croyait sans faille
N'était rien qu'un feu de paille

On peut retourner d'où on vient
Et rebrousser notre chemin
Repartir sans ce retourner
Afin de ne rien regretter

A présent c'est définitif
Il n'y a plus de lien affectif
Là on se sent comme trahi
Quand on à perdu un(e) ami(e)

 

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Aux pieds de la statue de François Arago
Quelques amis discutent , parlent haut .
Tandis qu’impassibles , baillent les fiacres ,
Qui attendent leur tour pour quitter cette place .

Le siècle était né , les ennuis commençaient ,
Au loin on entendait gronder le son du canon ,
Aimé a peine né va très bientôt tombé .
Les dames se promenaient fières sous leurs ombrelles ,
Ne savant pas encore qu'elles deviendraient hommes ,
Veuves , orphelines , de cette boucherie sans nom .

Sur cette terre fière , les remparts somnolent ,
Attendant sagement les premiers coups de pioche .
Ils sont tombés , les uns après les autres ,
Comme ses enfants dans cette guerre drôle ,
Qui ne jouerons plus dans les fossés à l'ombre ,
Et dont les souvenirs rodent au dessus des tombes .

La promenade s'ouvrait , les grands arbres nés ,
Sur les terrains gagnés , on dansait la sardane .
Des avenues naissaient , des tramways passaient ,
Les dernières charrettes remontaient vers la gare ,
Les enfants jouant dans les rues devenaient chose rare ,
Attention ! voila les premières automobiles qui passent .

S'éloignent les ténèbres , se lève la lumière ,
S'éteignent aussi les derniers réverbères .
Au retour des beaux jours la ville se transforme ,
Vestiges disparus , cicatrices ouvertes ,
Reste le Castillet , cette prison austère ,
Pour dire à nos enfants , n'oubliez pas vous autres .

26 octobre 2014

 

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On est *con* à l' Usap ,
C'est la faute à Delmas ,
La tête au fond de l'eau ,
La faute au rigolo .

Le peuple cherche des poux ,
C'est la faute à Delpoux ,
Enveloppé et gros ,
C'est la faute à Tao .

Manque de caractère ,
C'est la faute à Rivière ,
Se blesse Becasseau ,
La faute à pas de pot.

Cent ans jetés par terre ,
La faute à pas sans faire ,
Grandeur et décadence ,
C'est la faute à pas de chance .


31 octobre 2014