GARN
USAPiste impliqué
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Comprendre que le coeur , du problème s'évente
Mais toi le supporter , qui attend sous la tente
Tu n'en sauras jamais , de la mauvaise entente
Qui règne entre les murs , justes ouverts d'une fente ...
Tu crois à l'ovalie , mais...tous ses faux rebonds
Sont derrières tes regards , qui ne voient pas le fond
Autant te dire mec , qu'on te prend pour les matchs
Qui feront la recette , grâce à tes attaches .
Quand joueur est blessé , tu ne sauras jamais
Si c'est parce qu'il est cuit , ou bien encore sonné
Les choix en sont si gris , que seule l'infirmerie
Prétendra le soigner , sans que tu aies tout compris
IL n'est qu'une réserve , où parfois le sérieux
N'oublie pas qu'ils nous servent , ce qu'ils peuvent de mieux
Ils essaient de choisir , tant que faire ce pieu
Enfoncé invisible , qui maintient l'homme pieux
Qui prie en ovalie , je crois à ta puissance
De nous réunir Tous , Sans le gourou qui lance
Des sorts acrimonieux , alourdis d'une danse
Aux billets achetés , même si l'indécence
Reste ouverte aux espoirs , que change les habitudes
Faire comme l'illusion , arbitrant l'aptitude
Celle qui doit accepter , que l'homme sans amplitude
Marche sur les sommets , faits d'inexactitudes
Attitude humaine , tu prends peu aux virages
Pourtant ce sont aussi , ceux qui écrivent tes pages
Celles où la blancheur fond , comme l'amour les tient
Autant que pour toujours , ils seront paroissiens
Même l'âge , accroche au temps , ses églises muettes
Comme un stade s'éteint , quand l'ombre est silhouette
Gardant l'âme en ce lieu , comme un fantôme qui guette
Si pour le prochain match , On aura la conquête !
Mais toi le supporter , qui attend sous la tente
Tu n'en sauras jamais , de la mauvaise entente
Qui règne entre les murs , justes ouverts d'une fente ...
Tu crois à l'ovalie , mais...tous ses faux rebonds
Sont derrières tes regards , qui ne voient pas le fond
Autant te dire mec , qu'on te prend pour les matchs
Qui feront la recette , grâce à tes attaches .
Quand joueur est blessé , tu ne sauras jamais
Si c'est parce qu'il est cuit , ou bien encore sonné
Les choix en sont si gris , que seule l'infirmerie
Prétendra le soigner , sans que tu aies tout compris
IL n'est qu'une réserve , où parfois le sérieux
N'oublie pas qu'ils nous servent , ce qu'ils peuvent de mieux
Ils essaient de choisir , tant que faire ce pieu
Enfoncé invisible , qui maintient l'homme pieux
Qui prie en ovalie , je crois à ta puissance
De nous réunir Tous , Sans le gourou qui lance
Des sorts acrimonieux , alourdis d'une danse
Aux billets achetés , même si l'indécence
Reste ouverte aux espoirs , que change les habitudes
Faire comme l'illusion , arbitrant l'aptitude
Celle qui doit accepter , que l'homme sans amplitude
Marche sur les sommets , faits d'inexactitudes
Attitude humaine , tu prends peu aux virages
Pourtant ce sont aussi , ceux qui écrivent tes pages
Celles où la blancheur fond , comme l'amour les tient
Autant que pour toujours , ils seront paroissiens
Même l'âge , accroche au temps , ses églises muettes
Comme un stade s'éteint , quand l'ombre est silhouette
Gardant l'âme en ce lieu , comme un fantôme qui guette
Si pour le prochain match , On aura la conquête !
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