:XC'était pour Clermont , pour chambrer gentiment nos amis Auvergnats , éternels seconds :231183:
-
Rentre dans la mêlée des discussions enflammées ! :) Inscris toi en 2 minutes, et même en 10 secondes grâce à ton compte Facebook ! Les supporters t'attendent pour partager des avis ! JE M'INSCRIS ›››
Analyse : Ami de la poésie,bonjour!
- Auteur du sujet latulipe13
- Date de début
-
- Tags
- usap
:XC'était pour Clermont , pour chambrer gentiment nos amis Auvergnats , éternels seconds :231183:
Aux Blacks !
Ils sont bien sur leurs terres ,
Leurs cathédrales en fleurs ,
Et leurs hymnes sacrés .
Traversé les frontières ,
Jusqu'au grand rêve doré ,
Dans l' amour, sans un cri ,
Ils ont forgé leurs armures guerrières ,
Les yeux mouillés d'envie ,
Les regards tendues vers le ciel .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
Venir faire tomber sur leur terre les blacks .
Un peu plus près des étoiles ,
Pour s' inscrire dans le temps ,
Pour être un peu plus tranquilles qu'avant .
Au pied de leurs cimetières *,
Ils ont posé leurs ballons de papier ,
Refermé leurs vestiaires ,
Sur les regards , désolé .
Eux qui préfèrent mourir ,
En soldats et en combattants ,
A l'ombre du souvenir ,
Des équipes qui ont défiées le temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
faut oublier les brûlures du temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Revenir du fin fond du temps ,
A présent un peu moins tranquilles qu'avant ..
Ils parlent à demi-mots ,
A leurs destins ils se fient alors ,
Et dans leur espace mi-clos ,
La victoire , ce seul mot résonne encor .
La victoire , pas la guerre ,
Un ange , noir , s'est posé sur la mer ,
Le noir de leur unité ,
De tout ce peuple qui les avait porter .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
faut oublier les brûlures du temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Revenir du fin fond du temps ,
A présent un peu moins tranquilles qu'avant .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
faut oublier les brûlures du temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Revenir du fin fond du temps ,
A présent un peu moins tranquilles qu'avant .
*cimetières en références aux équipes qui enterrent leurs rêves de victoires
Ils sont bien sur leurs terres ,
Leurs cathédrales en fleurs ,
Et leurs hymnes sacrés .
Traversé les frontières ,
Jusqu'au grand rêve doré ,
Dans l' amour, sans un cri ,
Ils ont forgé leurs armures guerrières ,
Les yeux mouillés d'envie ,
Les regards tendues vers le ciel .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
Venir faire tomber sur leur terre les blacks .
Un peu plus près des étoiles ,
Pour s' inscrire dans le temps ,
Pour être un peu plus tranquilles qu'avant .
Au pied de leurs cimetières *,
Ils ont posé leurs ballons de papier ,
Refermé leurs vestiaires ,
Sur les regards , désolé .
Eux qui préfèrent mourir ,
En soldats et en combattants ,
A l'ombre du souvenir ,
Des équipes qui ont défiées le temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
faut oublier les brûlures du temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Revenir du fin fond du temps ,
A présent un peu moins tranquilles qu'avant ..
Ils parlent à demi-mots ,
A leurs destins ils se fient alors ,
Et dans leur espace mi-clos ,
La victoire , ce seul mot résonne encor .
La victoire , pas la guerre ,
Un ange , noir , s'est posé sur la mer ,
Le noir de leur unité ,
De tout ce peuple qui les avait porter .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
faut oublier les brûlures du temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Revenir du fin fond du temps ,
A présent un peu moins tranquilles qu'avant .
Un peu plus près des étoiles ,
Au pays du grand nuage blanc ,
faut oublier les brûlures du temps .
Un peu plus près des étoiles ,
Revenir du fin fond du temps ,
A présent un peu moins tranquilles qu'avant .
*cimetières en références aux équipes qui enterrent leurs rêves de victoires
Un ange était . ( hommage )2008/2013
On ne la trouvait pas jolie, Marie ,
Elle vivait dans un monde gris Marie ,
Un monde tout à fait fermé ,
Dont elle ne trouvait plus les clés ,
Pour ouvrir son petit paradis.
Elle croyait qu'on était égaux Marie ,
Au pays de Voltaire et d'Hugo Marie ,
Mais maintenant comme c'est étrange ,
Il n'y aurait plus que des pages blanches ,
Elle est parti rejoindre les anges .
Elle aimait tant l' amour Marie ,
Elle rêvait de fraternité Marie ,
Jour après jour avec discernement ,
Ils lui ont indiqué très clairement ,
Qu'on ne pardonne rien entre adolescents .
Elle a encaissé mille ragots Marie ,
Elle a avalé les sales mots Marie ,
Elle criait pour vider ses rancœurs ,
Son téléphone hurle de douleur ,
Et l'accompagne dans son malheur.
Et quand on l'appelait " La ouf " Marie ,
Elle ne se laissait plus prendre au piège Marie ,
Elle trouvait ça très amusant ,
Même s'il fallait serrer les dents ,
Ils auraient été trop contents.
On ne faisait que la railler Marie ,
Qui était prêt à l'écouter Marie ?
Mais la belle-communauté lui dit nous ,
Ne sommes pas méchants pour deux sous ,
Mais on aime bien se moquer chez nous.
Elle a essayé de l'écrire Marie ,
C'est sa façon de se révolter Marie ,
Elle aurait pas cru sans le voir ,
Que la douleur du désespoir ,
Ne s'apaise que dans le noir.
Mais dans un instant de dépit Marie ,
Elle a parler à ses démons Marie ,
Qui lui ont dit viens petite sœur ,
Viens nous rejoindre , n'aie pas peur ,
La où tu seras , il n'y a plus de pleurs .
Et c'est pour conjurer sa peur Marie ,
Qu'elle a rejoint le paradis Marie ,
Au nez de tous ces petits gugus ,
Qui méritent un grand coup de pieds au cul .
Interdits les gars de me porter des fleurs .
Mais dans ton combat quotidien Marie ,
Tu ne seras pas partie pour rien Marie ,
Ils reconnaitrons bien un jour ,
Que sans l'espoir il n'y a pas d'amour ,
Et sans l'amour on n'est plus rien.
On ne la trouvait pas jolie, Marie ,
Elle vivait dans un monde gris Marie ,
Un monde tout à fait fermé ,
Dont elle ne trouvait plus les clés ,
Pour ouvrir son petit paradis ,
On ne la trouvait pas jolie, Marie ,
Elle vivait dans un monde gris Marie ,
Un monde tout à fait fermé ,
Dont elle ne trouvait plus les clés ,
Pour ouvrir son petit paradis.
Elle croyait qu'on était égaux Marie ,
Au pays de Voltaire et d'Hugo Marie ,
Mais maintenant comme c'est étrange ,
Il n'y aurait plus que des pages blanches ,
Elle est parti rejoindre les anges .
Elle aimait tant l' amour Marie ,
Elle rêvait de fraternité Marie ,
Jour après jour avec discernement ,
Ils lui ont indiqué très clairement ,
Qu'on ne pardonne rien entre adolescents .
Elle a encaissé mille ragots Marie ,
Elle a avalé les sales mots Marie ,
Elle criait pour vider ses rancœurs ,
Son téléphone hurle de douleur ,
Et l'accompagne dans son malheur.
Et quand on l'appelait " La ouf " Marie ,
Elle ne se laissait plus prendre au piège Marie ,
Elle trouvait ça très amusant ,
Même s'il fallait serrer les dents ,
Ils auraient été trop contents.
On ne faisait que la railler Marie ,
Qui était prêt à l'écouter Marie ?
Mais la belle-communauté lui dit nous ,
Ne sommes pas méchants pour deux sous ,
Mais on aime bien se moquer chez nous.
Elle a essayé de l'écrire Marie ,
C'est sa façon de se révolter Marie ,
Elle aurait pas cru sans le voir ,
Que la douleur du désespoir ,
Ne s'apaise que dans le noir.
Mais dans un instant de dépit Marie ,
Elle a parler à ses démons Marie ,
Qui lui ont dit viens petite sœur ,
Viens nous rejoindre , n'aie pas peur ,
La où tu seras , il n'y a plus de pleurs .
Et c'est pour conjurer sa peur Marie ,
Qu'elle a rejoint le paradis Marie ,
Au nez de tous ces petits gugus ,
Qui méritent un grand coup de pieds au cul .
Interdits les gars de me porter des fleurs .
Mais dans ton combat quotidien Marie ,
Tu ne seras pas partie pour rien Marie ,
Ils reconnaitrons bien un jour ,
Que sans l'espoir il n'y a pas d'amour ,
Et sans l'amour on n'est plus rien.
On ne la trouvait pas jolie, Marie ,
Elle vivait dans un monde gris Marie ,
Un monde tout à fait fermé ,
Dont elle ne trouvait plus les clés ,
Pour ouvrir son petit paradis ,
Juju au paradis .
Quand Juju plante ses cannes ,
Sur le pré qui le réclame ,
Des tribunes montent les chants ,
Qui souligne son élan .
Quand Juju soudain démarre ,
De crochets en contre -pieds ,
Sa course tourbillonnante ,
Nous fait lever sur nos pieds .
Juju tu es notre idole ,
Nous comptons sur tes guiboles ,
Pour remporter le trophée ,
Une fois tu l'as déjà fait .
Sûr que déjà tout un peuple ,
Rêve de te voir marquer ,
Sûr que déjà tout ce peuple ,
Vendredi va te porter .
Bienvenu chez les artistes ,
Toi de la tribu des Usapistes ,
Bienvenu parmi les braves ,
Qui demain devront combattre .
Quand Juju plante ses cannes ,
Sur le pré qui le réclame ,
Des tribunes montent les chants ,
Qui souligne son élan .
Quand Juju soudain démarre ,
De crochets en contre -pieds ,
Sa course tourbillonnante ,
Nous fait lever sur nos pieds .
Juju tu es notre idole ,
Nous comptons sur tes guiboles ,
Pour remporter le trophée ,
Une fois tu l'as déjà fait .
Sûr que déjà tout un peuple ,
Rêve de te voir marquer ,
Sûr que déjà tout ce peuple ,
Vendredi va te porter .
Bienvenu chez les artistes ,
Toi de la tribu des Usapistes ,
Bienvenu parmi les braves ,
Qui demain devront combattre .
C'est à travers de sottes phrases
Que ces juges en citation ,
Écrivaient de savants articles ,
Sans souci du qu'en-dira-t-on .
Tous ces censeurs , ce prononcèrent ,
Citant même un délit précis ,
Que , rigoureusement ça dérape ,
Bien entendu , comme toujours ici .
halte ! injustice !...
Tout à coup, l'ont mise bien bonne ,
Où cela fait vraiment très mal ,
La raison ? à tout dire pourquoi ? ( je suppose
Qu'on avait du le défendre mal ).
Le Paul , en partant fou de rage
S'écrit " Tous , aujourd'hui , je vous emm... ! "
Il parlait à son entourage ,
Vous avez deviné, j'espère !
Halte ! injustice !...
Le patron de la stratégie ,
Criait , éperdu: "Non de non !
C'est assommant ,
Car en principe ,
J'ai jamais connu ça c'est k on !"
Dès que l'inquisition en siégeant ,
Sut que le Paul partait , certain ,
Au lieu de lui laisser sa chance
Elle fit feu c'est pas malin !
Halte ! injustice !...
Ceux là même qui, naguère ,
Le suivaient , d'un œil décidé,
Esquivèrent , prouvant qu'ils n'avaient guère ,
De la suite dans les idées .
D'autant plus vaines étaient les craintes ,
Que le verdict est , de passion ,
Supérieur aux normes dans l'astreinte ,
Bien des règles vous le diront !
Halte ! injustice !...
Tout le monde se précipite ,
Mais personne ne dis en sus ,
Sauf à paraitre peu crédible ,
De ce verdict qu'il n'est pas juste .
Voyez donc , que tous se dérobent ,
Et la sentence s'effectuera ,
Sans forcement qu'elle soit bien noble ,
Cette atteinte, c'est un attentat !
Halte ! injustice ! ...
"Ah! soupirait le populaire ,
Qu'on puisse
Encore nous entuber ,
Ce n'est pas extraordinaire ,
C'est, pour tout dire, démesuré ! "
Les autres pensaient, impassibles ,
" On nous prend vraiment pour des k ons ...",
C'est forcement pas très risible ,
La suite leur prouvera que non!
Halte ! injustice !...
Supposez que l'un de vous puisse être ,
Comme le Paul , obligé de ,
Prouver , au peuple que les problèmes ,
N’étaient pas au fond si nombreux .
Qu'une alternative pareille ,
Un de ces quatre jours, m'échoie ,
C'est, j'en suis convaincu, peut-être ,
Que la dérision se cache là !
Halte ! injustice !...
Mais, par malheur, si la justice ,
Aux jeux du bon sens vaut son prix ,
On sait qu'en revanche elle ne brille ,
Ni par le doute , ni dans l'esprit.
Lors, au lieu d'opter pour la sagesse ,
Comme aurait fait n'importe qui ,
Ils l'entendirent d'une autre oreille ,
Et dirent que le Paul a fuit !
Halte ! injustice !...
La suite n'est pas délectable ,
Malheureusement, je ne peux ,
Pas la connaitre , et c'est regrettable ,
Ça nous attriste tous un peu .
Car de juger, cet homme , problème ,
Chacun le voudrait à son tour ,
Comme toujours et pour le mettre ,
Totalement au fond du trou.
Halte ! injustice !...
Que ces juges en citation ,
Écrivaient de savants articles ,
Sans souci du qu'en-dira-t-on .
Tous ces censeurs , ce prononcèrent ,
Citant même un délit précis ,
Que , rigoureusement ça dérape ,
Bien entendu , comme toujours ici .
halte ! injustice !...
Tout à coup, l'ont mise bien bonne ,
Où cela fait vraiment très mal ,
La raison ? à tout dire pourquoi ? ( je suppose
Qu'on avait du le défendre mal ).
Le Paul , en partant fou de rage
S'écrit " Tous , aujourd'hui , je vous emm... ! "
Il parlait à son entourage ,
Vous avez deviné, j'espère !
Halte ! injustice !...
Le patron de la stratégie ,
Criait , éperdu: "Non de non !
C'est assommant ,
Car en principe ,
J'ai jamais connu ça c'est k on !"
Dès que l'inquisition en siégeant ,
Sut que le Paul partait , certain ,
Au lieu de lui laisser sa chance
Elle fit feu c'est pas malin !
Halte ! injustice !...
Ceux là même qui, naguère ,
Le suivaient , d'un œil décidé,
Esquivèrent , prouvant qu'ils n'avaient guère ,
De la suite dans les idées .
D'autant plus vaines étaient les craintes ,
Que le verdict est , de passion ,
Supérieur aux normes dans l'astreinte ,
Bien des règles vous le diront !
Halte ! injustice !...
Tout le monde se précipite ,
Mais personne ne dis en sus ,
Sauf à paraitre peu crédible ,
De ce verdict qu'il n'est pas juste .
Voyez donc , que tous se dérobent ,
Et la sentence s'effectuera ,
Sans forcement qu'elle soit bien noble ,
Cette atteinte, c'est un attentat !
Halte ! injustice ! ...
"Ah! soupirait le populaire ,
Qu'on puisse
Encore nous entuber ,
Ce n'est pas extraordinaire ,
C'est, pour tout dire, démesuré ! "
Les autres pensaient, impassibles ,
" On nous prend vraiment pour des k ons ...",
C'est forcement pas très risible ,
La suite leur prouvera que non!
Halte ! injustice !...
Supposez que l'un de vous puisse être ,
Comme le Paul , obligé de ,
Prouver , au peuple que les problèmes ,
N’étaient pas au fond si nombreux .
Qu'une alternative pareille ,
Un de ces quatre jours, m'échoie ,
C'est, j'en suis convaincu, peut-être ,
Que la dérision se cache là !
Halte ! injustice !...
Mais, par malheur, si la justice ,
Aux jeux du bon sens vaut son prix ,
On sait qu'en revanche elle ne brille ,
Ni par le doute , ni dans l'esprit.
Lors, au lieu d'opter pour la sagesse ,
Comme aurait fait n'importe qui ,
Ils l'entendirent d'une autre oreille ,
Et dirent que le Paul a fuit !
Halte ! injustice !...
La suite n'est pas délectable ,
Malheureusement, je ne peux ,
Pas la connaitre , et c'est regrettable ,
Ça nous attriste tous un peu .
Car de juger, cet homme , problème ,
Chacun le voudrait à son tour ,
Comme toujours et pour le mettre ,
Totalement au fond du trou.
Halte ! injustice !...
Allez ! hop ! un peu de nostalgie .
Quand il y avait un peu moins d'argent dans le top14 , que nous " faisions " les demies , mais cela ....c'était avant !:231183::231183:
Nous monsieur on est en demie ,
Toulouse Clermont ou Paris .
Nous monsieur on est plein d'envie ,
Et pour nos adversaires tant pis.
Nous on s'apprête à faire la fête ,
Dans le vélodrome de l' O M ,
Que se fut dur mais c'est acquis.....
Ce temps béni de nos demies .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
Y a pas d' argent , pas de stars , à l'évidence
Comme on dit , mais la victoire, ça nous va ,
Nous on pense .
On pense encore à toi, bout de bois ,
Dis-nous est ce que tu crois que ça viendra ?
Pour nous monsieur, se régaler ,
Boire , chanter , prendre son pied ,
Quitte à mourir pour ce plaisir ...
Quel temps béni que ces demies .
Autrefois à Toulouse deux fois,
nous avions su toucher le bois ,
A Béziers ,Bordeaux et Paris... *
Ils l'avaient soulevé aussi .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
Y a pas d' argent pas de stars à l'évidence
Comme on dit , mais la victoire ça nous va ,
Nous on pense .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois que ça viendra ?
Nous monsieur on va jouer comme des bêtes,
Au vélodrome de Marseille ,
Où au stadium de Bordeaux ,
On vendra chèrement notre peau.
Entre Clermont ou bien Toulouse ,
A choisir celui que notre cœur épouse,
On s'en moque et l'on sourit ...
Que temps béni que ces demies .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
Y a pas d' argent pas de stars à l'évidence
Comme on dit mais la victoire ça nous va ,
Nous on pense,
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
*Narbonne en 1925 aussi , mais trop long pour la rythme .
Quand il y avait un peu moins d'argent dans le top14 , que nous " faisions " les demies , mais cela ....c'était avant !:231183::231183:
Nous monsieur on est en demie ,
Toulouse Clermont ou Paris .
Nous monsieur on est plein d'envie ,
Et pour nos adversaires tant pis.
Nous on s'apprête à faire la fête ,
Dans le vélodrome de l' O M ,
Que se fut dur mais c'est acquis.....
Ce temps béni de nos demies .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
Y a pas d' argent , pas de stars , à l'évidence
Comme on dit , mais la victoire, ça nous va ,
Nous on pense .
On pense encore à toi, bout de bois ,
Dis-nous est ce que tu crois que ça viendra ?
Pour nous monsieur, se régaler ,
Boire , chanter , prendre son pied ,
Quitte à mourir pour ce plaisir ...
Quel temps béni que ces demies .
Autrefois à Toulouse deux fois,
nous avions su toucher le bois ,
A Béziers ,Bordeaux et Paris... *
Ils l'avaient soulevé aussi .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
Y a pas d' argent pas de stars à l'évidence
Comme on dit , mais la victoire ça nous va ,
Nous on pense .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois que ça viendra ?
Nous monsieur on va jouer comme des bêtes,
Au vélodrome de Marseille ,
Où au stadium de Bordeaux ,
On vendra chèrement notre peau.
Entre Clermont ou bien Toulouse ,
A choisir celui que notre cœur épouse,
On s'en moque et l'on sourit ...
Que temps béni que ces demies .
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
Y a pas d' argent pas de stars à l'évidence
Comme on dit mais la victoire ça nous va ,
Nous on pense,
On pense encore à toi, bout de bois.
Dis-nous est ce que tu crois qu'on t'aura ?
*Narbonne en 1925 aussi , mais trop long pour la rythme .
Cela me rappelle , la chanson de départ pour le collège que j'avais écrit pour ma fille .
Bonnes vacances à tous et à toutes .
Attends , attends , attends ,
Attends , attends , attends ,
Attention au départ ,
Direction le collège ,
Larguez les cartables ,
1,2,3,4,
Pour deux mois ,
Oubliés les maths ,
Le français , l'E.P.S ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Je sais chanter moi , je sais compter ,
Et s'il fallait voler , j'essaierais , j'apprendrais .
Moi je peux jouer ou vous étonner ,
Si tel est votre désir , je peux tout essayer .
Pour la 6ième , on fait les beaux ,
On est les pros du bavardage ,
Moi je connais des tours , moi je joue les costauds ,
Chanter les peines et puis les rires .
Attends , attends , attends ,
Attends , attends , attends ,
Attention au départ ,
Direction le collège ,
Larguez les cartables ,
1,2,3,4,
Pour deux mois ,
Oubliés les maths ,
Le français , l'E.P.S ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Moi je peux lire , vous attendrir ,
Je pourrais peut-être aussi vous faire sourire .
Moi je sais danser , écrire et parler ,
A votre bon plaisir , dans tous les sens bouger.
Nous étions 2 , puis 10 , puis 28 ,
Nous serons bientôt des centaines ,
Élèves studieux en rangs sur deux files ,
A fond la 6ème et le collège .
Attends , attends , attends ,
Attends , attends , attends ,
Attention au départ ,
Direction le collège ,
Larguez les cartables ,
1,2,3,4,
Pour deux mois ,
Oubliés les maths ,
Le français , l'E.P.S ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4 .
Au revoir !
Au revoir , Adieu Madame C.....,
L'anglais et la musique ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Au revoir !
Au revoir , Adieu Madame C.....,
L'anglais et la musique ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Bonnes vacances à tous et à toutes .
Attends , attends , attends ,
Attends , attends , attends ,
Attention au départ ,
Direction le collège ,
Larguez les cartables ,
1,2,3,4,
Pour deux mois ,
Oubliés les maths ,
Le français , l'E.P.S ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Je sais chanter moi , je sais compter ,
Et s'il fallait voler , j'essaierais , j'apprendrais .
Moi je peux jouer ou vous étonner ,
Si tel est votre désir , je peux tout essayer .
Pour la 6ième , on fait les beaux ,
On est les pros du bavardage ,
Moi je connais des tours , moi je joue les costauds ,
Chanter les peines et puis les rires .
Attends , attends , attends ,
Attends , attends , attends ,
Attention au départ ,
Direction le collège ,
Larguez les cartables ,
1,2,3,4,
Pour deux mois ,
Oubliés les maths ,
Le français , l'E.P.S ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Moi je peux lire , vous attendrir ,
Je pourrais peut-être aussi vous faire sourire .
Moi je sais danser , écrire et parler ,
A votre bon plaisir , dans tous les sens bouger.
Nous étions 2 , puis 10 , puis 28 ,
Nous serons bientôt des centaines ,
Élèves studieux en rangs sur deux files ,
A fond la 6ème et le collège .
Attends , attends , attends ,
Attends , attends , attends ,
Attention au départ ,
Direction le collège ,
Larguez les cartables ,
1,2,3,4,
Pour deux mois ,
Oubliés les maths ,
Le français , l'E.P.S ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4 .
Au revoir !
Au revoir , Adieu Madame C.....,
L'anglais et la musique ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
Au revoir !
Au revoir , Adieu Madame C.....,
L'anglais et la musique ,
Suivez les étendards ,
1,2,3,4,
Au revoir !
-
33 187
Sujets
-
777 834
Messages
-
3 783
Membres
-
Dernier membre
