gavaitx
USAPiste bavard
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Entretien de V. Moreaux à Le Quotidien du Sport
Le 2ème ligne du Racing 92 Victor Moreaux débarque à 28 ans dans le club catalan avec l’envie de se stabiliser.
Comment s’est faite votre arrivée à l’USAP ?
Très simplement. J’étais en fin de contrat avec le Racing 92. J’ai eu beaucoup de mal avec l’adaptation. Je voulais revenir dans le Sud. L’opportunité de Perpignan s’est présentée. On s’est vite mis d’accord. Pour moi, en Pro D2 ou en Top 14, cela revenait au même. J’ai toujours trouvé Perpignan intéressant. J’ai eu Patrick (Arlettaz) en visio. Je leur ai dit qu’ils n’avaient pas à s’inquiéter, que je ne mettais pas de clause. Je suis venu pour le club, le cadre de vie et le bien-être dont j’ai besoin.
Qu’attendez-vous de cette expérience catalane concrètement ?
Il s’agit de maintenir le club dans l’élite. Je préfère franchement me retrouver dans une équipe qui a un objectif chaque saison à relever, le maintien ou la remontée !
« Je serais quand même venu en Pro D2 »
Au regard du recrutement, pensez-vous que Perpignan puisse jouer autre chose que le maintien ?
Sur le long terme, l’ambition est de pérenniser le club en Top 14. Mais aucun club n’est capable de le faire en un an. Un joueur du calibre de McIntyre va en faire venir d’autres. Perpignan a fait un recrutement cohérent et correct. Une petite marche va être gravie. C’est comme cela que des clubs de Pro D2 s’ancrent dans l’élite. La Rochelle en est un très bel exemple. Ensuite, si un club a des résultats, les partenaires suivent. Le rugby est aussi un spectacle. Si on régale les gens, ils rendent la pareille. Il y a eu des moments compliqués en fin de saison pour l’USAP, mais les supporteurs c’était un truc de fou !
Vous êtes venu jouer à Aimé-Giral. Trouvez-vous que ce public est vraiment le 16ème homme pour l’USAP ?
C’est ce qui m’a manqué depuis mon départ de Castres (en 2020, Ndlr). Le public du CO est très honnête (sic). Quand les résultats sont là, ils sont très gentils. Quand c’est le contraire, il faut alors savoir encaisser les réactions négatives. Perpignan a pu montrer que dans les gros matches ils étaient là. Mais sans les supporteurs, peut-être que cela n’aurait pas été la même musique…
Pour un joueur comme vous qui avait été champion de France en 2018, ce nouveau combat dans ce club de Perpignan est de quelle nature ?
C’est tout nouveau. Comme un début. J’arrive ici avec ma petite amie qui est enceinte. Elle doit donner naissance pour fin juillet. Je cherche de la stabilité. Avoir également une situation familiale saine est primordiale pour moi. Je veux obtenir des résultats sportifs, mais sans me prendre la tête dans un club énorme. Quand il n’y a pas de stars dans un club, ils sont obligés de pratiquer un certain système : le meilleur joueur du week-end joue. Je me fais l’idée de Perpignan comme celle d’un club juste et travailleur. Mon équilibre va être parfait ici.
Le 2ème ligne du Racing 92 Victor Moreaux débarque à 28 ans dans le club catalan avec l’envie de se stabiliser.
Comment s’est faite votre arrivée à l’USAP ?
Très simplement. J’étais en fin de contrat avec le Racing 92. J’ai eu beaucoup de mal avec l’adaptation. Je voulais revenir dans le Sud. L’opportunité de Perpignan s’est présentée. On s’est vite mis d’accord. Pour moi, en Pro D2 ou en Top 14, cela revenait au même. J’ai toujours trouvé Perpignan intéressant. J’ai eu Patrick (Arlettaz) en visio. Je leur ai dit qu’ils n’avaient pas à s’inquiéter, que je ne mettais pas de clause. Je suis venu pour le club, le cadre de vie et le bien-être dont j’ai besoin.
Qu’attendez-vous de cette expérience catalane concrètement ?
Il s’agit de maintenir le club dans l’élite. Je préfère franchement me retrouver dans une équipe qui a un objectif chaque saison à relever, le maintien ou la remontée !
« Je serais quand même venu en Pro D2 »
Au regard du recrutement, pensez-vous que Perpignan puisse jouer autre chose que le maintien ?
Sur le long terme, l’ambition est de pérenniser le club en Top 14. Mais aucun club n’est capable de le faire en un an. Un joueur du calibre de McIntyre va en faire venir d’autres. Perpignan a fait un recrutement cohérent et correct. Une petite marche va être gravie. C’est comme cela que des clubs de Pro D2 s’ancrent dans l’élite. La Rochelle en est un très bel exemple. Ensuite, si un club a des résultats, les partenaires suivent. Le rugby est aussi un spectacle. Si on régale les gens, ils rendent la pareille. Il y a eu des moments compliqués en fin de saison pour l’USAP, mais les supporteurs c’était un truc de fou !
Vous êtes venu jouer à Aimé-Giral. Trouvez-vous que ce public est vraiment le 16ème homme pour l’USAP ?
C’est ce qui m’a manqué depuis mon départ de Castres (en 2020, Ndlr). Le public du CO est très honnête (sic). Quand les résultats sont là, ils sont très gentils. Quand c’est le contraire, il faut alors savoir encaisser les réactions négatives. Perpignan a pu montrer que dans les gros matches ils étaient là. Mais sans les supporteurs, peut-être que cela n’aurait pas été la même musique…
Pour un joueur comme vous qui avait été champion de France en 2018, ce nouveau combat dans ce club de Perpignan est de quelle nature ?
C’est tout nouveau. Comme un début. J’arrive ici avec ma petite amie qui est enceinte. Elle doit donner naissance pour fin juillet. Je cherche de la stabilité. Avoir également une situation familiale saine est primordiale pour moi. Je veux obtenir des résultats sportifs, mais sans me prendre la tête dans un club énorme. Quand il n’y a pas de stars dans un club, ils sont obligés de pratiquer un certain système : le meilleur joueur du week-end joue. Je me fais l’idée de Perpignan comme celle d’un club juste et travailleur. Mon équilibre va être parfait ici.