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Je pense que cela est très variable suivant la taille des parcelles et la topo du terrain. Suivant les domaines. Suivant le type d'agriculture (le gars qui a des hectares et des hectares autour de Perpignan, ça ne va pas être le même délire que celui qui fait du vin nature sur des petites parcelles).A ce propos,j'aimerais bien savoir comment cela se passe de nos jours.Tout ça a du forcément changer,mais je n'ai aucune idée de ce que sont devenues nos chères vendanges.Tu le sais?.Je discute,oh pas souvent,une fois par an,avec les vignerons de Tremoine quand ils viennent chaque année au salon des vins d'Orleans,mais nous n'avons jamais evoqué les vendanges
Pour en avoir parlé avec mes parents et grand parents, cela n'a pas grand chose à voir avec les vendanges qu'ils ont connues. Malgré ça, je garde globalement de bons souvenirs de mes vendanges !
Mais c'est vrai que ma dernière expérience fut peut-être celle de trop, essentiellement pour les raisons que @Cata'tonique évoquent au-dessus. Des vendanges interminables qui s'étalent sur un mois et demi mais où au final tu travailles 15 ou 20 jours. Tu travailles 1/3 jour sans jamais savoir si le lendemain tu bosses. Un jour c'est le raisin qui n'est pas mûr (en plusieurs années, je n'ai pratiquement jamais travaillé une après-midi), l'autre jour c'est la machine qui te remplace ou encore un jour il pleut trop pour travailler. Tu cueilles et tu t'en vas (là où mes premières expériences, connaissant les vignerons, je pouvais faire de grosses bouffes et faire un peu de boulot à la cave). De plus, c'est compliqué pour les étudiants d'être présents car généralement la rentrée a lieu à la mi septembre (autrefois j'ai cru comprendre que les rentrées à la fac étaient plus tardives), c'est-à-dire en pleines vendanges.
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