santgaldric
USAPiste sérieux
L’argent est le nerf de la guerre, pour être compétitif ou tout simplement exister.
Avons-nous une marge de progression ?
Pour santgaldric : Oui, car ici il n’y a rien, ce n'est pas le Sertao non plus, faut pas dékonner. Mais il n'y a pas de concurrence dans les sports qui sont joués à haut niveau, mis à part les Dragons.
Alors où en est le projet USAP 2023 ?
Que fait le club, que font les politiques ? Quel chantier avec l’équipe municipale, la comcom, le département ou la région est en phase de finalisation ? Le centre de formation, la rénovation du stade ?
Nous accusons un retard énorme par rapport aux clubs de l’élite ou des clubs comme Grenoble, Oyonnax en Pro D2 au niveau des infrastructures.
AG est un stade vétuste, on est content pour une sono ou une pelouse digne de ce nom, des trucs de base finalement pour une ville comme Perpignan, c’est quand même dingue.
L’USAP compte sur les partenaires privés pour construire son budget, normal pour le court terme actuel.
Comme tous les sports, les médias ou la culture, elle fait face à un exercice périlleux tributaire qu’elle est de la santé économique de ces pourvoyeurs de fond.
Il est rassurant de savoir que les partenaires interrogés dans la presse spécialisée ne veulent pas abandonner les clubs sportifs qu’ils soutiennent, mais étant dans une période où l’économie est proche d’une période annoncée de récession, ils vissent.
Ils ne vont pas mettre en danger leur activité, sans être devin tout le monde sait qu’il y aura une réduction de l’enveloppe, sinon leur position sera vite intenable dans leur business en demandant des efforts à leurs salariés tout en maintenant un budget de partenariat identique à la saison passée.
Il me parait évident que ces partenaires ne manqueront pas de demander des compensations pour cette fin de saison qui ne leur a rien apporté.
Nos dirigeants devront et doivent composer avec eux contraints comme jamais.
Les clubs ont été sauvé sur cette fin de saison par la mise en place de l’activité partielle, ce qui leur a permis de vivre sous perfusion sonnante et trébuchante dans une période sans recette.
Comment est géré l’USAP ? De manière prudentielle ? Dépense-t-elle plus que ce qu’elle ne possède ? A-t-elle suffisamment d’argent de côté ? Je n’en sais rien.
Faire des économies est une évidence. Des leviers sont faciles à trouver, sur les primes de matchs, les déplacements, la location, les notes de frais.
Mais bon sang, où en sommes nous sur USAP 2023 ?
Avons-nous une marge de progression ?
Pour santgaldric : Oui, car ici il n’y a rien, ce n'est pas le Sertao non plus, faut pas dékonner. Mais il n'y a pas de concurrence dans les sports qui sont joués à haut niveau, mis à part les Dragons.
Alors où en est le projet USAP 2023 ?
Que fait le club, que font les politiques ? Quel chantier avec l’équipe municipale, la comcom, le département ou la région est en phase de finalisation ? Le centre de formation, la rénovation du stade ?
Nous accusons un retard énorme par rapport aux clubs de l’élite ou des clubs comme Grenoble, Oyonnax en Pro D2 au niveau des infrastructures.
AG est un stade vétuste, on est content pour une sono ou une pelouse digne de ce nom, des trucs de base finalement pour une ville comme Perpignan, c’est quand même dingue.
L’USAP compte sur les partenaires privés pour construire son budget, normal pour le court terme actuel.
Comme tous les sports, les médias ou la culture, elle fait face à un exercice périlleux tributaire qu’elle est de la santé économique de ces pourvoyeurs de fond.
Il est rassurant de savoir que les partenaires interrogés dans la presse spécialisée ne veulent pas abandonner les clubs sportifs qu’ils soutiennent, mais étant dans une période où l’économie est proche d’une période annoncée de récession, ils vissent.
Ils ne vont pas mettre en danger leur activité, sans être devin tout le monde sait qu’il y aura une réduction de l’enveloppe, sinon leur position sera vite intenable dans leur business en demandant des efforts à leurs salariés tout en maintenant un budget de partenariat identique à la saison passée.
Il me parait évident que ces partenaires ne manqueront pas de demander des compensations pour cette fin de saison qui ne leur a rien apporté.
Nos dirigeants devront et doivent composer avec eux contraints comme jamais.
Les clubs ont été sauvé sur cette fin de saison par la mise en place de l’activité partielle, ce qui leur a permis de vivre sous perfusion sonnante et trébuchante dans une période sans recette.
Comment est géré l’USAP ? De manière prudentielle ? Dépense-t-elle plus que ce qu’elle ne possède ? A-t-elle suffisamment d’argent de côté ? Je n’en sais rien.
Faire des économies est une évidence. Des leviers sont faciles à trouver, sur les primes de matchs, les déplacements, la location, les notes de frais.
Mais bon sang, où en sommes nous sur USAP 2023 ?
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