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Un pilier quitte l'usap pour le MHR

Non je crois pas qu'en prod2 ça suffise non plus. Dans ce championnat, les mêlées fermées sont un secteur de jeu hyper important et avec walcker et 2 jeunes ça le fera pas. On va nous dire philipart est polyvalent mais tous les matchs qu'il a disputé, c'est à droite et non à gauche.
Y'a le pilier gauche de brive qui n'est pas conservé, voilà le type de joueur qu'il nous faut
j'ai du mal m'exprimer ,désolé,mais je parlais de nos deux demi de mélée.C'est la raison,pour laquelle j'aimerais voir ce que donne Rodor à la m&l&e,mais je crains que ce ne soit un voeu pieux
 
@Blutch et @coropaul je sais bien que c'est toujours un atout, je suis très content d'avoir une mêlée forte qui écrase les autres comme on a pu avoir en 2018 mais je faisais le constat que sur cette saison, nous et Grenoble avons été en grande souffrance sur la mêlée (encore plus Grenoble que nous) et ça n'a pas empêché de gagner le plus souvent.
 
On a pu voir cette saison que sur les 4 équipes qui dominaient, deux avaient des mêlées assez médiocres (USAP et Grenoble). Donc c'est mieux d'avoir une bonne mêlée mais pas indispensable non plus. Les matchs qu'on a perdus ça a été le plus souvent sur des touches catastrophiques ou en étant mauvais dans les rucks.
On peut aussi dire que si Colomiers était premier c'est en partie parce qu'ils avaient peut-être la meilleure mêlée de pro D2...
 
Sus aux pilars !!!!
Faust vous dirait que la mêlée c' est très complexe . Le rôle des piliers est primordial car c' est eux qui vont transmettre la poussée des 2 lignes et du huit , les 3 lignes aile calent et poussent leurs piliers vers l' intérieur .

Cela c' est l'idéal , mais ça demande beaucoup de cohésion , de force et de technique individuelle et collective bien ordonnée,pour obtenir une poussée efficace . Pour un pilier , je vois souvent,mettre en avant sa taille et ses kilos . Perso , par expérience pour avoir poussé derrière des 3 et des 1 , aux kilos , je préfère de loin ceux qui sont puissants des reins et des cuisses , qui savent bien placer leurs pieds pour transmettre la poussée du trio 4,5,8 .

Faut il encore que ce trio, fasse bien son boulot en poussant,soignant l' axe de poussée, la liaisons entre eux d'abord et avec la première ligne ensuite . Le huit, finalisant le tout en serrant ses 2 lignes à l'impact pour que sa poussée et celle de l' ensemble reste dans l'axe. Le talon reste le maître pour enclencher l' effort collectif.
Il m' arrive souvent comme beaucoup d' entre vous , de voir que, une ou deux de ces conditions ne sont pas remplies, soit un piliers se positionne mal, les 2 lignes ne sont pas bien liés, ou le 8 se contente de s'appuyer sur les deuxièmes lignes . La mêlée s'éventre , tourne , pour certains c' est la faute aux pilars !
Ils restent les bases du mêlée conquérante , jouissive pour tous , joueurs, entraîneur et du supporter . Pour ma part ,ma préférence ira toujours au pilier fort des reins et des cuisses calant bien sa mêlée , moyen dans déplacement et le jeu à celui brillant manieur de ballons , mais subissant les impacts . L' idéal étant un mix des deux , ils sont rares et chers .
 
Sus aux pilars !!!!
Faust vous dirait que la mêlée c' est très complexe . Le rôle des piliers est primordial car c' est eux qui vont transmettre la poussée des 2 lignes et du huit , les 3 lignes aile calent et poussent leurs piliers vers l' intérieur .

Cela c' est l'idéal , mais ça demande beaucoup de cohésion , de force et de technique individuelle et collective bien ordonnée,pour obtenir une poussée efficace . Pour un pilier , je vois souvent,mettre en avant sa taille et ses kilos . Perso , par expérience pour avoir poussé derrière des 3 et des 1 , aux kilos , je préfère de loin ceux qui sont puissants des reins et des cuisses , qui savent bien placer leurs pieds pour transmettre la poussée du trio 4,5,8 .

Faut il encore que ce trio, fasse bien son boulot en poussant,soignant l' axe de poussée, la liaisons entre eux d'abord et avec la première ligne ensuite . Le huit, finalisant le tout en serrant ses 2 lignes à l'impact pour que sa poussée et celle de l' ensemble reste dans l'axe. Le talon reste le maître pour enclencher l' effort collectif.
Il m' arrive souvent comme beaucoup d' entre vous , de voir que, une ou deux de ces conditions ne sont pas remplies, soit un piliers se positionne mal, les 2 lignes ne sont pas bien liés, ou le 8 se contente de s'appuyer sur les deuxièmes lignes . La mêlée s'éventre , tourne , pour certains c' est la faute aux pilars !
Ils restent les bases du mêlée conquérante , jouissive pour tous , joueurs, entraîneur et du supporter . Pour ma part ,ma préférence ira toujours au pilier fort des reins et des cuisses calant bien sa mêlée , moyen dans déplacement et le jeu à celui brillant manieur de ballons , mais subissant les impacts . L' idéal étant un mix des deux , ils sont rares et chers .
En théorie tu as parfaitement raison,sauf que de nos jours le fameux adage "no scrum,no win" en raison de l'évolution générale du rugby à vraiment du plomb dans l'aile
 
En théorie tu as parfaitement raison,sauf que de nos jours le fameux adage "no scrum,no win" en raison de l'évolution générale du rugby à vraiment du plomb dans l'aile

et ce d'autant plus que l'arbitrage de la mêlée, à l'instar de celui des phases de ruck permet d'expliquer tout et son contraire! :lunette:
 
et ce d'autant plus que l'arbitrage de la mêlée, à l'instar de celui des phases de ruck permet d'expliquer tout et son contraire! :lunette:
Oui et en mélée on se demande parfois a quoi sert de se décarcasser quand les arbitres ferment systématiquement les yeux sur des introductions quasi systématiques en 3 ième ligne
 
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