Carança
USAPiste impliqué
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Je ne parle pas de la question du capitanat, secondaire, puisque son rôle se réduit de plus en plus à parler à l'arbitre, je parle des leaders de jeu qui, selon moi, font défaut aujourd'hui.
Il faut qu'un ou deux patrons émergent devant, Botha peut-être, quelqu'un qui parle, rameute la troupe, donne le tempo, montre l'exemple. Donne envie aux autres d'avancer.
Parmi nos perforateurs (Forletta, Lemalu, Lam, peut-être), aucun n'a l'aura d'un chef, sauf erreur.
Derrière, seul Acébès a le caractère suffisamment trempé pour pouvoir mobiliser.
Nos Tongiens, samoans, néo-z sont trop gentils, trop bien élevés. Ils sont durs au mal mais ce ne sont pas des "tueurs" ni des gueulards.
Peut-être faudrait-il que les joueurs n'attendent pas tout des coachs, qu'ils se prennent en mains, que deux ou trois assument leur responsabilité et tirent le groupe vers le haut.
Paddy peut tenir ce rôle, il doit devenir THE Boss et pas seulement un gentil animateur, comme l'est Tom.
Allez, sortez les crocs. Sonnez la révolte. Sortez du plan de jeu s'il le faut. Mais entrainez les autres derrière vous.
Si besoin, se rappeler des débuts très laborieux de Brunel et d'une visite à Jean Bouin, un soir de février...
Il faut qu'un ou deux patrons émergent devant, Botha peut-être, quelqu'un qui parle, rameute la troupe, donne le tempo, montre l'exemple. Donne envie aux autres d'avancer.
Parmi nos perforateurs (Forletta, Lemalu, Lam, peut-être), aucun n'a l'aura d'un chef, sauf erreur.
Derrière, seul Acébès a le caractère suffisamment trempé pour pouvoir mobiliser.
Nos Tongiens, samoans, néo-z sont trop gentils, trop bien élevés. Ils sont durs au mal mais ce ne sont pas des "tueurs" ni des gueulards.
Peut-être faudrait-il que les joueurs n'attendent pas tout des coachs, qu'ils se prennent en mains, que deux ou trois assument leur responsabilité et tirent le groupe vers le haut.
Paddy peut tenir ce rôle, il doit devenir THE Boss et pas seulement un gentil animateur, comme l'est Tom.
Allez, sortez les crocs. Sonnez la révolte. Sortez du plan de jeu s'il le faut. Mais entrainez les autres derrière vous.
Si besoin, se rappeler des débuts très laborieux de Brunel et d'une visite à Jean Bouin, un soir de février...