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Un ancien joueur de l’USAP mène une révolution chez les All Blacks : le sélectionneur néo-zélandais Scott Robertson veut pouvoir appeler des joueurs q

jeanpeux+

Titan du forum
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cette décision serait intéressante, car elle peut contribuer à un départ de joueurs néo zélandais notamment les joueurs les plus expérimentés qui n'ont pas besoin de jouer en super rugby pour savoir ce qu'est le très haut niveau.
côté sud af, la présence de joueurs dans le championnat japonais ou en europe, ne les a pas empêché d'être champions du monde 2 fois d'affilée. Mais c('étaient des joueurs d'expérience qui avaient déja connu le très haut niveau.

Probablement une formule à l'australienne, avec des joueurs expérimentés de plus de 30 ans et plus de X sélections qui peuvent être en sélections. La formule peut en plus favoriser l'émergence de plus de jeunes en super rugby....Donc stratégiquement ça peut être plus rentable au final.

Là aussi c'est symptomatique: mis à part le top 14 aucun pays ne possède assez d'équipes pros pour avoir un large pannel de joueurs à disposition pour le très haut niveau, du coup il semblerait qu'une formule commence à se développer: en plus de bloquer la présence de nombreux joueurs étrangers (ce que tous font et vont faire les anglais) ils vont également envoyer les joueurs plus âgés vers d'autres cieux, pour favoriser l'émergence de jeunes, tout en gardant à disposition les plus âgés qui ont connu le très haut niveau, pour l'quipe nationale.

Le risque aussi c est d appauvrir ton championnat national, sportivement ils ne pourront pas jouer contre les meilleurs de leur pays et déjà que les tribunes sonnent creux si tu enlèves les frères Barret et ioane les gens ne vont pas se battre pour aller au stade
 

DAMINOS 66

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Le risque aussi c est d appauvrir ton championnat national, sportivement ils ne pourront pas jouer contre les meilleurs de leur pays et déjà que les tribunes sonnent creux si tu enlèves les frères Barret et ioane les gens ne vont pas se battre pour aller au stade
tu as raison, mais je pourrai te dire, qu'au pire, c'est même pas grave!! : les provinces néo zelandaises charcutent les provinces australiennes tous les ans, et les australiens commencent en avoir marre de jouer les sparring partners des néo zed...ils avaient même envisagé de créer leur propre championnat national....ce qui aurait tué le rugby néo zed, si ça se faisait, car si les australiens peuvent créer un championnat professionnel chez eux, les néo zed n'en ont pas les moyens financiers....Donc si de bons joueurs néo zed s'en vont ça pourrait au pire rééquilibrer les choses (et le pire c'est que c'est même pas sûr!).

Et par ailleurs, il ne s'agirait que de quelques joueurs expérimentés qui seraient autorisés partir et être sélectionnés(autour d'une douzaine peut être, comme les sud af) donc ça peut faire émerger d'autres talents aussi.....ces joueurs mettent la pression sur la fédé et l'entraîneur néo zed pour avoir le droit de partir et être sélectionnable....arguant du fait que les sud af ont pu être champions du monde....et quoiqu'on en dise, le centre névralgique du rugby mondial s'est déplacé en europe avec l'arrivée des provinces sud africaines qui a fait la bascule.

Enfin je pense que les "océaniens" ont trouvé une bonne formule, en faisant un championnat continental qui sera plus perenne que l'ancien super 12, dont la légitimité ne reposait que sur le fait qu'ils avaient les meilleurs joueurs du monde....idée largement battue en brèche ces dernières années avec la montée en puissance des clubs et franchises européennes.

et je rajoute un dernier argument. Mounga, barrett et cane, entre la sélection et le départ à l'étranger, ils ont fait leur choix....et ils ne seront peut être pas les seuls à le faire....
 
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Le sélectionneur des All Blacks Scott Robertson s’est dit ce dimanche prêt à demander aux dirigeants de la fédération néo-zélandaise de rugby (NZR) de rendre les joueurs basés à l’étranger sélectionnables afin de...

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Se dit prêt à redemander..
Çà déjà été refusé une fois par la fédération fin 2023 .
 
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Le risque aussi c est d appauvrir ton championnat national, sportivement ils ne pourront pas jouer contre les meilleurs de leur pays et déjà que les tribunes sonnent creux si tu enlèves les frères Barret et ioane les gens ne vont pas se battre pour aller au stade
Exactement .

L'avis de Foster en mai 2023​

International - "Ça serait un désastre pour le rugby néo-zélandais" : Ian Foster s'oppose à la sélection de joueurs expatriés​


Par Ninon Giraud



  • Le contrat de Ian Foster à la tête de la sélection néo-zélandaise s'arrêtera après la Coupe du monde en France.

    Le contrat de Ian Foster à la tête de la sélection néo-zélandaise s'arrêtera après la Coupe du monde en France. Icon Sport - Sportsfile



Ce lundi, le sélectionneur des All Blacks Ian Foster a exprimé son désaccord quant à la sélection de joueurs évoluant à l'étranger. Des déclarations qui viennent après celle de Scott Robertson, favorable à ce sujet, et qui remplacera Foster après le Coupe du monde en France.

Les divisions commencent entre Foster et son successeur. Interrogé la semaine dernière sur les éventuels changements qu'il apporterait une fois à la tête des All Blacks, Scott Robertson a notamment évoqué les critères de sélections des joueurs expatriés. Attendu pour prendre la place de Ian Foster après le Mondial, Robertson s’est dit "prêt à discuter" : "On se doit d'avancer ! Ça serait faire un pas en arrière que de garder ces restrictions, et c'est là qu'on sera pris de court."
Dans une interview accordée à Newstalk, l'actuel sélectionneur des Blacks n'a pas caché sa contradiction avec le coach des Crusaders : "Si je regarde du point de vue des Blacks, un point de vue purement égoïste, ça a toujours eu un sens académique. Mais pour le rugby néo-zélandais dans son ensemble, je pense que ce serait un désastre, confie Foster, Nous avons une compétition de Super Rugby qui nourrit notre équipe depuis de très nombreuses années. Je ne pense pas qu'elle soit parfaite, mais c'est la voie du développement."


Un exode déjà en marche​

Toujours selon Foster, balayer les restrictions de sélection pour les joueurs expatriés mènerait à un "exode des meilleurs talents de notre pays." "À partir du moment où on l'autorise, on sait que la demande mondiale pour nos joueurs ne cessera de grandir, et je pense que notre championnat pourrait perdre ses meilleurs joueurs" conclut le sélectionneur néo-zélandais.
Pourtant, de nombreux internationaux ont déjà annoncé leur départ à l'étranger après le mondial. Dès la saison prochaine, Scott Robertson devra composer sans Richie Mo'unga (44 sélections), Brodie Retallick (98 sélections) et Beauden Barrett (109 sélections) qui rejoindront tous les trois des franchises japonaises pour plusieurs saisons. En France, le Stade français a déjà trouvé un accord d'une saison avec le demi de mêlée Brad Weber (17 sélections) tandis que son coéquipier Pita Gus Sowakula (2 sélections) rejoindra l'effectif de l'ASM Clermont Auvergne pour deux saisons.
 

Carto

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Il va falloir les faire changer d'avis .​

La Nouvelle-Zélande conserve sa règle d'inéligibilité pour les All Blacks à l'étranger​


Adrien Corée





Mark Robinson, le président de la Fédération néo-zélandaise. (A. Mounic/L'Équipe)


Mark Robinson, le président de la Fédération néo-zélandaise. (A. Mounic/L'Équipe)

La Fédération néo-zélandaise a réaffirmé sa politique d'inéligibilité des internationaux évoluant à l'étranger, alors que de nombreux All Blacks ont rejoint le Japon et la France après la Coupe du monde cet automne.​



Comme ses prédécesseurs, le nouveau coach des All Blacks, Scott Robertson, ne pourra pas sélectionner de joueurs évoluant à l'étranger. La Fédération néo-zélandaise de rugby (NZR) a réaffirmé sa politique d'inéligibilité pour les internationaux qui ne jouent pas dans une des franchises du pays.
L'objectif de cette règle est notamment de protéger les compétitions nationales, et éviter un exode massif des joueurs néo-zélandais vers des Championnats plus lucratifs. Mais, plusieurs voix se sont élevées récemment pour dénoncer cette politique, notamment après le départ de nombreux All Blacks au Japon ou en France après la Coupe du monde cet automne.
Désormais au Japon, le capitaine de la Nouvelle-Zélande ces dernières saisons, Sam Cane, a ainsi expliqué qu'il était favorable à ce que les Blacks évoluant à l'étranger puissent être sélectionnés. Robertson avait également émis ce souhait lors de sa nomination au poste de sélectionneur en avril. Mais, mercredi, le patron du NZR, Mark Robinson, a déclaré que le sujet n'avait même pas été abordé lors du dernier conseil d'administration de l'année. « Nous sommes très clairs sur notre règlement et nous pensons qu'il a joué un rôle essentiel dans le succès des All Blacks pendant longtemps, a-t-il déclaré. Mais nous reconnaissons également que le monde change et que de temps en temps, ces discussions doivent avoir lieu. Pour l'instant, nous sommes vraiment satisfaits de la situation. »
Ce débat sur l'inéligibilité des joueurs évoluant à l'étranger a déjà animé d'autres sélections par le passé. Auparavant, l'Afrique du Sud limitait la sélection aux joueurs « étrangers » comptant au moins 30 capes. Mais les Springboks ont abandonné cette politique en 2018, puis sont devenus champions du monde en 2019 et en 2023 avec des internationaux passés par les Championnats japonais et français notamment.
 
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