Les investisseurs veulent sans doute aller plus loin ! Pour eux, l'idéal c'est une ligue fermée à 10, voire 12 clubs, bien dotés financièrement et garnis de stars étrangères pour faire rêver les gamins et fantasmer les gogos. A la rigueur, pour sauver les apparences d'une compétition sportive, ils seraient prêts à concéder à une relégation en fin de saison, mais avec des conditions difficiles pour le "povret" qui prétendrait accéder à "l'élite" ...
L'EDF dans tout cela, ils n'en ont rien à battre. Le problème pour eux, c'est le risque de voir le public se lasser de ce rugby "hors-sol" et se détourner de leur cirque professionnel.