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Top 14 : Jake Gordon, un polyvalent devant, un dernier gros coup… De quoi sera faite la fin du mercato de l’USAP ? - Lindependant.fr

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Forcément, à quelques semaines de la fin de la saison, les questions sur le recrutement pour le prochain exercice étaient inévitables. Franck Azéma, le manager de l’USAP, avoue que son recrutement est quasiment...

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matemale

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Forcément, à quelques semaines de la fin de la saison, les questions sur le recrutement pour le prochain exercice étaient inévitables. Franck Azéma, le manager de l’USAP, avoue que son recrutement est quasiment terminé. Mais ne s’interdit pas, en cas de qualification pour la grande Coupe d’Europe, de recruter un peu plus.

Six joueurs (Beria, Devaux, Brookes, Della Schiava, Aucagne, Buliruarua) ont déjà donné leur accord pour rejoindre l’USAP la saison prochaine. Le prochain, c’est le demi de mêlée australien Jake Gordon ?
Ça fait partie des garçons sur lesquels on avance, oui. Mais il n’y a rien de finalisé. En tout cas, c’est un poste où c’est important d’avoir de la qualité.
Quels sont les postes sur lesquels vous êtes encore en prospection ?

Au poste de deuxième ou troisième ligne, avec quelqu’un qui est capable d’apporter de l’équilibre dans nos complémentarités. Je ne veux pas qu’on fasse pour faire. Mais il faut être en éveil sur les opportunités qu’on pourrait avoir sur la fin de saison. Je pense qu’on a fait 90 % de notre recrutement. Mais on verra où on sera dans deux ou trois journées, quelle compétition européenne on va jouer… Tous ces éléments-là seront à prendre en compte aussi. Peut-être qu’il faudra faire un effort supplémentaire sur un ou deux joueurs. Mais pour l’instant je n’en sais rien, c’est trop tôt pour le dire.
A lire aussi : Top 14 - "Je ne pense pas être quelqu’un de rêveur" : fin de saison avec l’USAP, management, engagement personnel, les confidences de Franck Azéma
S’il est sélectionné, le talonneur Ignacio Ruiz sera absent une partie du début de saison. Y a-t-il une réflexion pour renforcer ce poste ?
Aujourd’hui, on a Seilala (Lam) qui est là, ainsi que Victor (Montgaillard) et Vakho (Jintcharadze). Ce sont des garçons qui sont spécialistes au poste. Et on a le petit Lotrian (Mathys, 20 ans) qui monte derrière aussi.

Le président François Rivière a accepté d’augmenter la masse salariale. Est-ce que c’était une condition, pour votre venue, d’avoir les moyens de vos ambitions ?

Oui, c’est ce qu’on s’est dit. En trois ans, voir comment on arrivait au plafond du salary cap. Ce n’est pas faire pour faire. Ce n’est pas parce que tu achètes des joueurs que tu vas gagner des titres. Mais il me semble que si on veut être compétitif sur le haut niveau, il faut avoir des standards et la capacité de batailler tous les week-ends. Si tu n’as pas de profondeur dans ton effectif, tu es obligé de faire des choix. Alors que le meilleur des choix pour un entraîneur, c’est d’avoir tout le monde sur le pont et de pouvoir compter sur eux. Au départ, ça a été une condition importante pour moi.

Entre les bons résultats et l’engouement autour du club, êtes-vous davantage sollicités par les agents et les joueurs eux-mêmes ?

Je ne vois pas ça comme ça. Depuis le début de saison, on travaille fort sur le recrutement. La plupart qui se sont engagés jusque-là ne savaient pas si on allait être en Pro D2 ou en Top 14. Et déjà, ça, ça me plaît. Parce que ça veut dire que ce sont des garçons qui sont vraiment intéressés par le projet. Je pense que le projet qui est proposé et l’ambition qu’on a sont suffisants pour attirer. Aussi, le meilleur vecteur, ce sont nos matches et le caractère qu’on délivre tous les week-ends. Concernant l’engouement, si ça peut nous aider à attirer un ou deux joueurs de plus, tant mieux. On verra dans les prochaines semaines.

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Aujourd’hui, est-ce plus facile de vendre le club qu’il y a un an ?

C’est trop tôt pour le dire. Nos objectifs ne sont pas encore acquis aujourd’hui. Il y a une bonne dynamique qui est encourageante et stimulante pour les gens, mais le mesurer aujourd’hui c’est encore un peu trop tôt. Mais sinon, oui, on nous propose pas mal de joueurs dont la gamme est un peu plus différente.

On a l’impression que dans la grille de recrutement, les qualités humaines sont l’un des aspects le plus important…

C’est la base ! Tu engages quelqu’un pour deux ou trois ans. Tu ne peux pas avoir de traîtres dans ton vestiaire. La règle est simple. Quand tu as quelqu’un qui est à contre-courant, c’est qu’il est contre toi et qu’il tire l’équipe vers le bas. C’est à nous, le staff, de ne pas se tromper sur l’homme, ses objectifs et son engagement pour le club. Après, bien sûr qu’on a envie d’avoir des joueurs de talent. Mais nos réflexions sont aussi de comment on va l’aider à se développer, à grandir et de le suivre à 200 %. Quand tu enfiles le maillot de l’USAP, c’est particulier et ça se respecte.

Vous pensez quoi des précédents recrutements?

C’était franchement dégeulasse et malhonnête de signer certains mecs. Après Francois m’a poussé à signer Jean-Pascal car il plaisait bien à sa femme. Donc j’écoute le patron.
 
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