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Perpignan - Usap : Aimé-giral, Gazon Maudit - Lindependant.fr
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guerrior66
USAPiste sérieux
Même vannes va avoir un terrain synthétique de qualité franchement problème !!!!! Tu partages et tu économise les jardinier et basta
Dans un état déplorable, la pelouse du stade Aimé-Giral doit être remplacée. Mais ni la mairie, ni l’USAP ne veulent payer.
Mauvaise foi ? Provocation ? Aveuglement ? Jean-Marc Pujol, le maire de Perpignan, l’assure sans ciller : « Sincèrement, quand on regarde la pelouse d’Aimé-Giral, je ne vois pas ce qu’il y a à redire. J’invite à aller voir d’autres pelouses ailleurs. »La Ligue (LNR) l’a fait pour lui. Et elle a classé le gazon catalan en avant-dernière position des pelouses les plus mauvaises de Pro D2 et de Top 14 (28e sur 29, lire ci-dessous).
La belle affaire. Les pauvres jardiniers ont arrêté de s’autoflageller devant un tel fiasco, tant l’ancienneté des infrastructures de la « Cathédrale » rend rédhibitoire tout effort d’amélioration. Si bien qu’à chaque gros orage de saison, la tenue des rencontres à Perpignan est menacée. Dépourvue de système de drainage, saturée d’engrais, la pelouse de la discorde coûterait au bas mot 400 000 euros pour être remplacée.
Une somme que ni le maire, ni le président de l’USAP, François Rivière, ne veulent débourser. « Je ne vais pas aller demander aux Perpignanais de payer »
« Je refuse de payer ad vitam aeternam », rétorque François Rivière, au double motif que le stade appartient à la Ville et qu’il a déjà épongé quelques millions d’euros de déficits.
« Je fais mon boulot d’actionnaire. Je viens encore de rajouter presque deux millions d’euros pour une augmentation de capital (en juin). Mais je n’ai pas à éponger des charges qui ne m’incombent pas », clarifie le patron des sang et or. En attendant, la Ligue compte les points et pourrait sanctionner financièrement le club pour « négligence ». D’autant qu’en sus de la pelouse, il y a aussi l’éclairage et la sonorisation qui ne sont plus aux normes. L’enveloppe globale avoisinerait 1 million d’euros. Dans l’hypothèse d’une montée en Top 14, il faudra pourtant bien que quelqu’un s’y colle...
En toile de fond de cet épineux dossier, il faut aussi voir la guéguerre perpétuelle que se livrent l’USAP et les Dragons Catalans qui, à tour de rôle, font le siège de la mairie à coups de chantages et jalousies puériles. Avant la crise de 2008, il fut ainsi envisagé la construction d’un troisième stade (à l’anglaise) commun aux deux clubs. Un projet mort dans l’œuf - et à raison - au regard de la dimension de Perpignan (120 000 habitants).
Reste que Jean-Marc Pujol se sent pris en tenaille. D’où les tensions apparues ces derniers jours entre lui et les présidents Bernard Guasch et François Rivière. Pour ce dernier, le débat de fond est ailleurs : « J’affirme que l’USAP est une marque puissante universellement reconnue en France. Veut-on remonter en Top 14 et réussir ? Pour ça il faut des budgets. » Question subsidiaire : qui va payer ?
Classement : Aimé-Giral en queue de peloton .
La Ligue Nationale (LNR) effectue chaque saison un classement des plus belles pelouses de France. Et celle de l’USAP se classe en avant-dernière position des clubs de Top 14 et Pro D2. Trois axes d’évaluation conditionnent ce classement : aspect esthétique général, qualité de l’infrastructure et performance agronomique. Trois éléments qui conditionnent le confort et la sécurité des joueurs, la gestion des intempéries et l’esthétique des pelouses.
Autres sons de cloche à Carcassonne et Narbonne .
Mauvaise foi ? Provocation ? Aveuglement ? Jean-Marc Pujol, le maire de Perpignan, l’assure sans ciller : « Sincèrement, quand on regarde la pelouse d’Aimé-Giral, je ne vois pas ce qu’il y a à redire. J’invite à aller voir d’autres pelouses ailleurs. »La Ligue (LNR) l’a fait pour lui. Et elle a classé le gazon catalan en avant-dernière position des pelouses les plus mauvaises de Pro D2 et de Top 14 (28e sur 29, lire ci-dessous).
La belle affaire. Les pauvres jardiniers ont arrêté de s’autoflageller devant un tel fiasco, tant l’ancienneté des infrastructures de la « Cathédrale » rend rédhibitoire tout effort d’amélioration. Si bien qu’à chaque gros orage de saison, la tenue des rencontres à Perpignan est menacée. Dépourvue de système de drainage, saturée d’engrais, la pelouse de la discorde coûterait au bas mot 400 000 euros pour être remplacée.
Une somme que ni le maire, ni le président de l’USAP, François Rivière, ne veulent débourser. « Je ne vais pas aller demander aux Perpignanais de payer »
« Je refuse de payer ad vitam aeternam », rétorque François Rivière, au double motif que le stade appartient à la Ville et qu’il a déjà épongé quelques millions d’euros de déficits.
« Je fais mon boulot d’actionnaire. Je viens encore de rajouter presque deux millions d’euros pour une augmentation de capital (en juin). Mais je n’ai pas à éponger des charges qui ne m’incombent pas », clarifie le patron des sang et or. En attendant, la Ligue compte les points et pourrait sanctionner financièrement le club pour « négligence ». D’autant qu’en sus de la pelouse, il y a aussi l’éclairage et la sonorisation qui ne sont plus aux normes. L’enveloppe globale avoisinerait 1 million d’euros. Dans l’hypothèse d’une montée en Top 14, il faudra pourtant bien que quelqu’un s’y colle...
En toile de fond de cet épineux dossier, il faut aussi voir la guéguerre perpétuelle que se livrent l’USAP et les Dragons Catalans qui, à tour de rôle, font le siège de la mairie à coups de chantages et jalousies puériles. Avant la crise de 2008, il fut ainsi envisagé la construction d’un troisième stade (à l’anglaise) commun aux deux clubs. Un projet mort dans l’œuf - et à raison - au regard de la dimension de Perpignan (120 000 habitants).
Reste que Jean-Marc Pujol se sent pris en tenaille. D’où les tensions apparues ces derniers jours entre lui et les présidents Bernard Guasch et François Rivière. Pour ce dernier, le débat de fond est ailleurs : « J’affirme que l’USAP est une marque puissante universellement reconnue en France. Veut-on remonter en Top 14 et réussir ? Pour ça il faut des budgets. » Question subsidiaire : qui va payer ?
Classement : Aimé-Giral en queue de peloton .
La Ligue Nationale (LNR) effectue chaque saison un classement des plus belles pelouses de France. Et celle de l’USAP se classe en avant-dernière position des clubs de Top 14 et Pro D2. Trois axes d’évaluation conditionnent ce classement : aspect esthétique général, qualité de l’infrastructure et performance agronomique. Trois éléments qui conditionnent le confort et la sécurité des joueurs, la gestion des intempéries et l’esthétique des pelouses.
Autres sons de cloche à Carcassonne et Narbonne .
usapmesquemai
Passe du temps sur le forum
Le libéralisme fait des ravages partout jusque dans notre rugby, en décrétant que seuls les investissements privés ont un sens économique. On jugera de l'absurdité du catéchisme libéral quant on pense aux besoins ds les domaines de la santé et de l'éducation de la population. Bon tout ça, ils s'en foutent. Les riches peuvent se payer les meilleures cliniques et les meilleurs établissements (privés) scolaires. Les autres, c'est des charges.
Mais revenons à l'USAP. Qd t'habites plus à ds la région et que tu entends parler de Perpignan, de quoi parle-t-on ? Drogue, bouchons au Boulou, abricots, tomates, etc.. déversés devant la Préfecture, taux de chômage, tramontane , incendies, survie de EAS, etc. Bon j'arrête. Donc, la seule chose positive qui soit arrivée depuis 20 ans chez les catalans du Nord, d'ici ou de là-bas, c'est le Brennus de 2009. Les investissements de la Mairie, du Dpt ou de la région sur notre cluP n'ont pas été effectués en vain. Oui la Mairie et les organismes publics habilités à le faire doivent investir dans l'USAP pour redonner espoir à notre petit pays. Au lieu de ça, la région investi dans le MHRC qui est déjà pété de thunes plus que dans l'USAP qui se meurt à petit feu. Ça vous surprend ? Pas moi, l'argent va à l'argent, ravages du libéralisme
Mais revenons à l'USAP. Qd t'habites plus à ds la région et que tu entends parler de Perpignan, de quoi parle-t-on ? Drogue, bouchons au Boulou, abricots, tomates, etc.. déversés devant la Préfecture, taux de chômage, tramontane , incendies, survie de EAS, etc. Bon j'arrête. Donc, la seule chose positive qui soit arrivée depuis 20 ans chez les catalans du Nord, d'ici ou de là-bas, c'est le Brennus de 2009. Les investissements de la Mairie, du Dpt ou de la région sur notre cluP n'ont pas été effectués en vain. Oui la Mairie et les organismes publics habilités à le faire doivent investir dans l'USAP pour redonner espoir à notre petit pays. Au lieu de ça, la région investi dans le MHRC qui est déjà pété de thunes plus que dans l'USAP qui se meurt à petit feu. Ça vous surprend ? Pas moi, l'argent va à l'argent, ravages du libéralisme
Llibertat
Passe du temps sur le forum
Ce qui me parait absurde c'est d'avoir deux clubs de rugby de haut niveau qui jouent dans deux stades différents dans une ville ruinée d'à peine 120 000 habitants. Un seul stade suffirait et là, la mairie, les clubs et les partenaires investiraient pour rénover le stade (pelouse, éclairage, sono, animation,...). La guerre entre le 13 et le 15, c'est quand même un peu dépassé de nos jours. Il faut savoir innové et la jouer collectif en proposant des abonnements pour les deux clubs, des partenaires et investisseurs collectifs,...bref faut être malin et innover dans cette société ultralibérale !!!
Mais Montpellier est en Top 14 et nous en D2. La région investit logiquement plus pour eux. De même qu'elle n'a pas de raison de financer plus l'USAP que Béziers, Narbonne ou Carcassonne. Beh oui, après tout, Béziers qui est un club encore plus historique que l'USAP aurait donc droit à la plus grosse subvention ?
Ensuite que le bouclier soit la meilleure des choses qui soit arrivé au département, il faut arrêter deux secondes. Tout ne tourne pas autour du rugby dans la vie. C'est ma passion, mais ça reste un jeu hein !
On en parle ? Ouais sur les chaînes sportives, dans le Midol et l'Equipe.
Moi perso, je n'ai pas envie d'aller passer mes vacances à Oyonnax sous prétexte qu'ils ont gagné la D2.
Enfin, de toute façon, les subventions des collectivités territoriales sont vouées à disparaître. Un récent rapport du Sénat le préconisait et c'est inévitable. Les collectivités n'ont pas à payer les transferts, les salaires ou à reboucher les trous. D'ailleurs, la tendance est visible avec les stades dont les communes veulent se débarrasser.
MaxT
USAPiste sérieux
Ce qui me fait sourire c'est de lire " je ne vais quand même pas faire payer les perpignanais " , mais si on compte bien, 120 000 habitants, 400000 euros , ça fait 3.33 euros, quand on voit ce que l'on paye en impôt locaux , honnêtement je ne sais même pas si les gens sentirait une telle augmentation .. et encore je ne parle même pas du département .. parce que si on veut faire participer tout le pays catalans , puisqu'il me semble que l'USAP est le club de tout le peuple catalan .. cela reviendrait à 0,10 euros très certainement par tête ... bref tout ça pour dire que pour certains sujet on ponctionne et pour d'autre .. l'autruche ...
Perso je n'ai jamais mis mes fesses sur un vélo BIP , le plus gros Flop de l'histoire récente de la ville, mais ça on ne nous a pas spécialement demandé avant si on était intéressé donc ces discours politiciens je m'en balance tiens..
Perso je n'ai jamais mis mes fesses sur un vélo BIP , le plus gros Flop de l'histoire récente de la ville, mais ça on ne nous a pas spécialement demandé avant si on était intéressé donc ces discours politiciens je m'en balance tiens..
Le Bip a pleinement rempli son objectif... Il a permis à Alduy le fils d'être réélu en grattant quelques voies écolo.
Si l'objectif avait été d'en faire un mode de déplacement crédible, il y aurait aujourd'hui quelques km de voies cyclables, et pas 4 pots de peinture balancés au hasard.