Il devrait prendre 15 ans vu qu`il a fait usage d`un poing américain qui est considéré comme une arme blanche de 6 éme catégorie , l`impact du coup causant bien plus de dégats qu`un poing nu
Maintenant les avocats du joueur devrait insister sur la dangerosité de ce meurtrier , un type qui cogne sans motif peut récidiver a tout moment , tant qu`il sera enfermé ca représentera un danger en moins pour la société , faut pas qu`il sorte au bout de quelques années pour bonne conduite comme ca arrive souvent .
Selon l’examen médico-légal, l’ancien seconde ligne de l’USAP, Barend Britz, a succombé jeudi aux violences qui lui ont été infligées.
À savoir, un seul coup de poing à main nue
Les résultats sont tombés ce lundi soir à la suite de l’autopsie pratiquée sur le corps de Barend Britz, l’emblématique rugbyman de l’USAP des années 90 victime d’une agression jeudi soir devant son bar de la place République à Perpignan.
L’examen médico-légal atteste que son décès a été directement provoqué par les violences qui lui ont été infligées par le principal suspect, mis en examen pour « meurtre » et écroué. Et plus exactement par un unique coup de poing porté au bas du visage de l’ancien seconde ligne. Le crochet asséné avec une puissance extrême a alors entraîné la chute de la victime qui s’est effondrée au sol, causant un traumatisme crânien extrêmement important. « Ce choc a fini d’aggraver les violences », précise encore le procureur de la République de Perpignan, Jean-Jacques Fagni.
En outre le coup mortel aurait été donné à main nue. Si dans l’affolement, des témoins, dont certains également frappés par l’auteur des faits, avaient évoqué l’usage d’un poing américain, « rien ne confirme la présence d’une arme de ce type », ajoute le parquet. D’une part, les investigations, menées par les services de police du commissariat, n’ont pas permis de confirmer cette version. De plus, aucun objet du genre, ni aucun autre d’ailleurs, n’apparaîtrait après exploitation des bandes des caméras de vidéosurveillance qui ont filmé la scène, même si les images ne sont pas d’une précision absolue. Elles ont néanmoins permis d’exclure de manière indéniable la participation du couple qui accompagnait le mis en cause, a assisté aux faits et a été interpellé avant d’être laissé libre.