santgaldric
USAPiste sérieux
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Je ne suis pas un spécialiste du grand Béziers des années 70, trop jeune sans doute.
Par contre ce que je sais, cest que le rugby moderne vient de Béziers grâce aux gestes Barrière, n'est-ce pas Raoul ?
C'était le temps d'une époque glorieuse pour Béziers à des années lumières du projet pharaonique, qui se prépare.
Joseph Navarro un nom facile à retenir, pas certain que nous puissions en dire autant des futurs joueurs de ce club.
Je vous livre l'histoire de ce Pepito que je viens de découvrir et qui est assez émouvante.
Inauguration du square Joseph Navarro à Béziers, en présence des anciennes gloires de ce club en souvenir de ce Pepito, qui débarqua un jour à Sauclières transi et affamé, et que le concierge du stade recueillit après l'avoir trouvé endormi dans le vestiaire. Arrivé d'Espagne et passé gamin par le XIII à Lézignan, il n'avait nulle part ailleurs où aller.
Mort en 2011, à 65 ans, presque abandonné, miséreux et malade. Trois fois champion de France (1971, 1972, 1974), il demeure dans les mémoires comme celui qui offrit en 1975 sa place de titulaire en finale à Claude Casamitjana au motif qu'il avait déjà trois titres de champion de France, que ça lui suffisait amplement et qu'il fallait faire place aux jeunes.
Par contre ce que je sais, cest que le rugby moderne vient de Béziers grâce aux gestes Barrière, n'est-ce pas Raoul ?
C'était le temps d'une époque glorieuse pour Béziers à des années lumières du projet pharaonique, qui se prépare.
Joseph Navarro un nom facile à retenir, pas certain que nous puissions en dire autant des futurs joueurs de ce club.
Je vous livre l'histoire de ce Pepito que je viens de découvrir et qui est assez émouvante.
Inauguration du square Joseph Navarro à Béziers, en présence des anciennes gloires de ce club en souvenir de ce Pepito, qui débarqua un jour à Sauclières transi et affamé, et que le concierge du stade recueillit après l'avoir trouvé endormi dans le vestiaire. Arrivé d'Espagne et passé gamin par le XIII à Lézignan, il n'avait nulle part ailleurs où aller.
Mort en 2011, à 65 ans, presque abandonné, miséreux et malade. Trois fois champion de France (1971, 1972, 1974), il demeure dans les mémoires comme celui qui offrit en 1975 sa place de titulaire en finale à Claude Casamitjana au motif qu'il avait déjà trois titres de champion de France, que ça lui suffisait amplement et qu'il fallait faire place aux jeunes.