santgaldric
USAPiste sérieux
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Elles en prennent un sacré coup dans la tronche, ses valeurs dans une supposée terre de rugby comme les PO.
Là nous sommes bien loin du rugby pro, nous sommes dans le rugby amateur.
Franchement la honte à ces piches de joueurs de mierda, qui par leur égoïsme, flinguent les bénévoles qui contre vents et marées continuent par leurs actions sur le terrain à offrir un semblant de fraternité et de lien social que seul l'universalité d'un sport peut offrir.
01-2020 :
L’inter saison n’a pas apporté de garanties, au contraire, le groupe a perdu quelques éléments, comme l’explique le président Christophe Warth dans l’Indépendant : “C’est la faute à un peu tout. Des mecs mutés professionnellement, d’autres qui ont tenté leur chance dans des clubs de niveaux plus élevés. Sur ce plan, nous l’avons vu, nous ne sommes pas les seuls touchés, regardez la Côte Vermeille (le club a déclaré forfait en septembre). Et surtout, une certaine difficulté à recruter. Nous n’avons pas de problèmes financiers, mais nous ne roulons pas sur l’or. Donc quand certains joueurs arrivent et disent, “ moi si on ne me donne rien, je ne joue pas “, c’est un peu dur à encaisser. Il y a des clubs qui se sont mis à payer des gars pour qu’ils viennent s’entraîner, donc forcément, les exigences augmentent. L’un d’entre eux m’a même dit, si vous ne payez pas, vous n’aurez personne.“
Un président dépité donc, comme tant d’autres, et qui rajoute : “Je ne sortirai jamais d’oseille pour qui que ce soit. Nous avons décidé de ne payer personne, car si le mec n’est pas capable de venir se peler ou prendre des marrons pour l’amour de ce sport, ce n’est pas la peine“. Des mots tranchés dans le vif d’un sujet qui fait débat depuis plusieurs saisons : l’argent, la perte de certaines valeurs ou le manque de motivation.“Chez nous, c’est à la bonne franquette, un repas d’après entraînement, un coup à boire le dimanche. C’est cet esprit rugby amateur qui fait que les joueurs qui sont présents se sentent bien chez nous“. Ah, ces fameuses valeurs, qui ont tendance à être écornées de temps en temps, comme un choc des mondes, où les anciens, plus ou moins âgés ne se retrouvent plus dans le comportement des plus jeunes.
Condamnés sportivement à la relégation, après 12 défaites et deux forfaits, le troisième, dimanche dernier, a donc été celui de trop. Mais Cabestany se préparait déjà à repartir en 1ère série, et si possible sur de nouvelles bases pour la saison prochaine, mais le président roussillonnais n’exclut aucun issue : “Nous savons d’ores et déjà que nous pouvons compter sur un noyau dur de 15 joueurs, plus d’autres qui souhaitent revenir au club. D’ailleurs, je voudrais remercier l’ensemble de ceux qui ont contribué à essayer de maintenir le cap dans cette saison galère : dirigeants, staff, et joueurs. Une nouvelle et bonne aventure nous attend l’année prochaine, et puis, au pire, même si nous ne repartons pas, il n’y aura pas mort d’homme“.
espérons tout de même pour le rugby catalan, et pour le rugby amateur en général, que Cabestany puisse s’aligner sur la ligne de départ en septembre prochain…
Là nous sommes bien loin du rugby pro, nous sommes dans le rugby amateur.
Franchement la honte à ces piches de joueurs de mierda, qui par leur égoïsme, flinguent les bénévoles qui contre vents et marées continuent par leurs actions sur le terrain à offrir un semblant de fraternité et de lien social que seul l'universalité d'un sport peut offrir.
01-2020 :
L’inter saison n’a pas apporté de garanties, au contraire, le groupe a perdu quelques éléments, comme l’explique le président Christophe Warth dans l’Indépendant : “C’est la faute à un peu tout. Des mecs mutés professionnellement, d’autres qui ont tenté leur chance dans des clubs de niveaux plus élevés. Sur ce plan, nous l’avons vu, nous ne sommes pas les seuls touchés, regardez la Côte Vermeille (le club a déclaré forfait en septembre). Et surtout, une certaine difficulté à recruter. Nous n’avons pas de problèmes financiers, mais nous ne roulons pas sur l’or. Donc quand certains joueurs arrivent et disent, “ moi si on ne me donne rien, je ne joue pas “, c’est un peu dur à encaisser. Il y a des clubs qui se sont mis à payer des gars pour qu’ils viennent s’entraîner, donc forcément, les exigences augmentent. L’un d’entre eux m’a même dit, si vous ne payez pas, vous n’aurez personne.“
Un président dépité donc, comme tant d’autres, et qui rajoute : “Je ne sortirai jamais d’oseille pour qui que ce soit. Nous avons décidé de ne payer personne, car si le mec n’est pas capable de venir se peler ou prendre des marrons pour l’amour de ce sport, ce n’est pas la peine“. Des mots tranchés dans le vif d’un sujet qui fait débat depuis plusieurs saisons : l’argent, la perte de certaines valeurs ou le manque de motivation.“Chez nous, c’est à la bonne franquette, un repas d’après entraînement, un coup à boire le dimanche. C’est cet esprit rugby amateur qui fait que les joueurs qui sont présents se sentent bien chez nous“. Ah, ces fameuses valeurs, qui ont tendance à être écornées de temps en temps, comme un choc des mondes, où les anciens, plus ou moins âgés ne se retrouvent plus dans le comportement des plus jeunes.
Condamnés sportivement à la relégation, après 12 défaites et deux forfaits, le troisième, dimanche dernier, a donc été celui de trop. Mais Cabestany se préparait déjà à repartir en 1ère série, et si possible sur de nouvelles bases pour la saison prochaine, mais le président roussillonnais n’exclut aucun issue : “Nous savons d’ores et déjà que nous pouvons compter sur un noyau dur de 15 joueurs, plus d’autres qui souhaitent revenir au club. D’ailleurs, je voudrais remercier l’ensemble de ceux qui ont contribué à essayer de maintenir le cap dans cette saison galère : dirigeants, staff, et joueurs. Une nouvelle et bonne aventure nous attend l’année prochaine, et puis, au pire, même si nous ne repartons pas, il n’y aura pas mort d’homme“.
espérons tout de même pour le rugby catalan, et pour le rugby amateur en général, que Cabestany puisse s’aligner sur la ligne de départ en septembre prochain…
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