rien ne vaut quand meme les entraineurs des athletes russes dans les années 80 qui mettaient enceintes leurs pouliches pour quelles créaient naturellement un surplus d'hormones et d'EPO (que le corps crée naturellement a dose physiologique).. puis des que les JO ou championnats du monde se terminaient ils leurs faisaient avorter puis ils recommençaient... bilan explosion des victoires des russkofs et nette domination mondiale... puis y a les allemands et italiens dans les nineties etc... Le dopage a toujours existé sous différentes formes.. Virenque lui devait se lever a 4h du matin pour faire du home trainer a haut rendement , reveillé quil etait par son dopage qui emballait son coeur trop calme et pas assez fatigué pour la dose absorbée... Marco pantani est mort d'un arret cardiaque non naturel, armstrong cancer des bouliches..des exemples comme ça y en plein la besace.
a terme On se retrouvera un jour a ramasser un jeune qui aura voulu se faire sa place au soleil qui crèvera sur un terrain. Et comme on aura payer pour voir on sera content.. ou pas.
Virenque, c'était pas tout à fait ça, c'était l'époque EPO, avec l'EPO, il y a plus de globules rouges et le sang est moins fluide et davantage chargé en oxygène. En course c'est tout bénéf, à pulsations cardiaques équivalentes, la VMA est augmentée et ils pouvaient pédaler plus vite et plus longtemps.
Par contre au repos, et surtout la nuit, le rythme cardiaque descendait très bas (de l'ordre de 30 pulsations minutes) ce qui obligeait les coureurs à dormir avec un cardio-fréquencemètre qui les réveillait si le rythme cardiaque descendait trop bas. Ils leur fallait se lever et faire des efforts physiques pour accélérer les battements du cœur, souvent du vélo d'appartement (home trainer comme tu dis).
En vélo, il y a eu aussi l'époque "injection d'urine" : à l'arrivée, le joueur va se changer dans sa chambre et en profite pour s'injecter avec une sonde, un max d'urine "propre".
Il y a eu aussi des injections en intraveineuse d'eau salée, ce qui dilue le sang et donc le taux de produits dopants.
En rugby, je sais pas, le suivi longitudinal permet de détecter les grosses variations, mais bon... difficile sujet...
Dimanche à stade 2 Galthier à dit que le toubib de Montpellier à toute sa confiance et que les joueurs ne prennent rien d'interdit.
...Ce qui sous-entend qu'ils prennent des trucs autorisés, et Lartot à ajouté, "un joueur peut toujours prendre des trucs tout seul sans passer par le toubib du club"