Exact, mais il y a aussi les "Alwyn Jones".
- Serrer le sauteur (car 99% des mauls sont consécutifs à une phase statique, la touche) en se mettant entre lui et ses pousseurs au moment de sa retombée. Pourrir le ballon et obtenir mêlée. Là faut avoir l'artiste. Je suis persuadé qu'on pourrait l'avoir, mais il faut le travailler.
- Mettre les pattes sur la balle au moment de la transmission et faire tourner le maul. On enterre le ballon. Encore mêlée.
- Puis il y a la force pure. Faire ce qu'à fait le 3 d'Aurillac. Bien prendre le joueur qui est de dos sous les fesses, le soulever légèrement et pousser. Il nous a tué deux mauls comme ça, presue à lui tout seul. Après y a le fameux doigt dans le cul, c'est aussi perturbant pour un maul. On avait déjà évoqué le truc avec
@Eusebio Cafarelli