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Ce que soulignent ces joueurs anglais c'est aussi :En 1977, une commotion, c'était un KO qui durait plus de 2 ou 3 minutes ! Le joueur qui bougeait un bras après 1 mn et un coup d'éponge magique finissait le match tranquillou. Combien de joueurs de ces années ont avoué s'être réveillés sous la douche ou dans le bus, bien qu'ayant terminé le match.
1977 et 2020 sont incomparables question violence des chocs, temps de jeu, préparation physique, vitesse, etc.
Il faut, bien sur, adapter les règles mais ce n'est pas avec des déclaration fracassantes ou en pointant du doigt tel ou tel entraineur ou staff médical.
Sauf erreur, il me semble que l'avis d'un médecin indépendant est requis quand le joueur n'a pas répondu correctement lors du protocole commotion : pas de reprise sans avis favorable.
- les commotions lors des entraînements qui apparemment ne font pas du tout l'objet des mêmes protocoles
- les propos de médecins qui disent que les commotions ne conduisent ni nécessairement à la perte de connaissance même très courte, ni à l'expression visible de symptômes.
Regarde hier soir le cas de Philippart : quand tu vois les images, tu vois bien qu'il est éteint sur le contact où sa tête cogne la hanche ou le genou du Dromois. Il reste au sol un bon moment. Les médecins viennent et le remettent sur pieds puis il reprend le jeu !!! Pour finalement sortir 5 minutes plus tard. Moi, je comprends pas comment l'arbitre ou le médecin indépendant sur le bord du terrain n'a pas exigé un protocole commotion.