Surtout ne pas oublier Got à cette époque:263770:
Toutes les terreurs usapistes réunis sur ce cliché , Imbernon , ros , allegre et cie ...
On en avait pour son argent a cette époque
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Les catcheurs usapistes
- Auteur du sujet pif
- Date de début
Finalement nous aurions de quoi faire deux équipes compétitives .
Dans le même genre, il y avait aussi Laurent Arbo, une véritable teigne qui n'a pas hésité à rentrer dans le lard de Bourguignon (seconde latte de Narbonne) en demi-finale de Du Manoir en 1994.
La réaction du narbonnais ne se fit pas tarder sous les yeux de Majoral et Fourny ... Générale au court de laquelle Majoral, dans la mêlée, envoya deux ou trois prunes à l'arbitre de touche qui, du haut de son mètre soixante, cherchait à séparer tout ce beau monde.
Concernant Alwyn Joubert, je ne me rappelle pas de lui châtaigner pour envoyer. Par contre, il en a envoyé quelques uns sur le banc après ses plaquages à coté desquels les tampons de Hume ne sont que de délicates caresses.
En 10, je me rappelle d'un Dominique Appy traversant le terrain pour dézinguer un bitérois un peu trop "curieux".
Et que dire de Marc Lièvremont qui, fatigué de l'attitude de Nicol (demi de mêlée de l'ASM) en finale du Du Manoir 1994, l'a calmement retenu par le bras alors que le jeu s'était déplacé de 50 mètres et, après s'être calmement assuré que les arbitres étaient occupés ailleurs, lui a envoyé une paire de bouffes qui ont calmé le pauvre jaunard ...
Ah, ça, c'était une autre époque.
La réaction du narbonnais ne se fit pas tarder sous les yeux de Majoral et Fourny ... Générale au court de laquelle Majoral, dans la mêlée, envoya deux ou trois prunes à l'arbitre de touche qui, du haut de son mètre soixante, cherchait à séparer tout ce beau monde.
Concernant Alwyn Joubert, je ne me rappelle pas de lui châtaigner pour envoyer. Par contre, il en a envoyé quelques uns sur le banc après ses plaquages à coté desquels les tampons de Hume ne sont que de délicates caresses.
En 10, je me rappelle d'un Dominique Appy traversant le terrain pour dézinguer un bitérois un peu trop "curieux".
Et que dire de Marc Lièvremont qui, fatigué de l'attitude de Nicol (demi de mêlée de l'ASM) en finale du Du Manoir 1994, l'a calmement retenu par le bras alors que le jeu s'était déplacé de 50 mètres et, après s'être calmement assuré que les arbitres étaient occupés ailleurs, lui a envoyé une paire de bouffes qui ont calmé le pauvre jaunard ...
Ah, ça, c'était une autre époque.
Patrick Furet , il était pas mal aussi notre corse !!!!
Je m'en souviens de lui, Lançon les hostilités il connaissait ! :231183: :263770:
Ce n'était pas le plus rude en 2. Après lui, un certain docteur Michel (Koniek) a pratiqué pas mal d'anesthésies ... Ses interventions étaient propres ...
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