Dommage l'absence de Botha contre l'USAP. Nos 2 jeunes seconde ligne auraient eu l'occasion de se confronter à ce qui se fait de mieux à ce poste.
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Le Topic du RCT
- Auteur du sujet TanaUmaga
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- recrutement
Dommage l'absence de Botha contre l'USAP. Nos 2 jeunes seconde ligne auraient eu l'occasion de se confronter à ce qui se fait de mieux à ce poste.
Hayman a prolongé deux ans
Ce lundi, le club de Toulon a officialisé la prolongation de contrat du pilier droit international néo-zélandais, Carl Hayman (33 ans, 45 sélections), jusqu'en 2015. Le All-Black évoluera donc avec le club varois lors des deux prochaines années. Arrivé en 2010, il a disputé 75 matchs officiels avec le RCT.
Ce lundi, le club de Toulon a officialisé la prolongation de contrat du pilier droit international néo-zélandais, Carl Hayman (33 ans, 45 sélections), jusqu'en 2015. Le All-Black évoluera donc avec le club varois lors des deux prochaines années. Arrivé en 2010, il a disputé 75 matchs officiels avec le RCT.
Mourad Boudjellal essaie de ne pas s'emballer
Mourad Boudjellal, quelle est votre réaction après cette très large victoire du RCT ?
C’est totalement utopique. On a battu Sale 62-0. C’est un joli score. On aurait mis un essai transformé de plus, symboliquement, ça aurait été joli aussi. Mais Sale était déjà éliminé et cette équipe est venue faire son match mais elle a été débordée. Ils n’avaient pas l’envie de la qualification comme nous on pouvait l’avoir. C’était quand même un match tendu pour nous. C’était un match où l’on avait inventé la défaite à quatre points car tout le monde parlait de bonus offensif.
C’est une bonne opération sur le plan comptable…
On en avait besoin. Montpellier revient très fort dans la poule. On a deux objectifs : être devant Montpellier et être premier devant au moins deux autres équipes. Il nous fallait engranger cinq points. Ce qu’on n’avait pas prévu, ce sont les neuf essais qui nous ont aideront bien sûr le plan du goal-average. A 23 points, ça devrait passer pour être dans les quatre meilleurs premiers. Il faudra essayer de battre Cardiff à Mayol et de prendre au moins le bonus défensif à Montpellier. Ce succès restera dans les souvenirs des belles soirées de H Cup à Toulon. On n’en a pas beaucoup connu. Il y avait celle du Munster. C’est la deuxième qu’on connaît avec un tel enthousiasme.
Vous êtes en train de réaliser votre rêve…
Le rêve de départ, c’était de monter en Top 14. Ça c’est fait. Maintenant, le rêve d’adulte dans le rugby, c’est de gagner quelque chose, que ce soit la H Cup ou le Top 14, avec une préférence pour le Top 14 bien sûr. Pour tout vous dire, je ne sais même pas quand est la finale de H Cup… J’essaie de ne pas m’emballer. J’ai vu Clermont gagner au Leinster samedi. Je ne peux pas dire qu’on soit devant Clermont. Ils sont énormes. Toulouse a perdu mais, en général, pendant six, sept mois, ça balbutie car ils ont des blessés et des mecs en équipe de France. Mais, en général, vers le mois d’avril, ils se retrouvent tous au complet et ça devient très compliqué de les jouer. Moi je vous annonce que, cette année, Montpellier peut être champion de France. On ne peut pas dire qu’on est sur-favori de ce Top 14.
Quel est votre favori en Coupe d’Europe ?
Le favori incontestable est l’Ulster. Depuis hier (samedi), ça serait difficile de ne pas placer Clermont comme favori de la H Cup. Quand on va gagner au Leinster face aux doubles champions d’Europe, on endosse le statut de favori.
Quel est votre sentiment sur cette saison de H Cup ?
La seule chose qui m’embête un peu, c’est que, je ne sais pas vous, mais, j’ai l’impression que la Coupe d’Europe, elle est très française. Je n’ai rien contre les équipes françaises mais j’aime bien rencontrer des équipes anglaises ou irlandaises en Coupe d’Europe et j’ai le sentiment qu’il y aura quatre ou cinq équipes tricolores qui se qualifieront. J’espère ne pas me tromper.
Comment expliquez-vous cette évolution ?
On nous a expliqué en début de saison que les clubs français depuis quelques saisons en H Cup, c’était des trompettes. Je crois qu’on a démontré que ça n’est pas vrai (sourire). On a parlé de la prédominance des clubs irlandais mais on montre aujourd’hui que le Top 14 est là et bien présent et que c’est le championnat qui domine l’Europe et certainement celui qui domine le Monde. Mais pour le savoir, il faudrait organiser une Coupe du monde des clubs.
Mourad Boudjellal, quelle est votre réaction après cette très large victoire du RCT ?
C’est totalement utopique. On a battu Sale 62-0. C’est un joli score. On aurait mis un essai transformé de plus, symboliquement, ça aurait été joli aussi. Mais Sale était déjà éliminé et cette équipe est venue faire son match mais elle a été débordée. Ils n’avaient pas l’envie de la qualification comme nous on pouvait l’avoir. C’était quand même un match tendu pour nous. C’était un match où l’on avait inventé la défaite à quatre points car tout le monde parlait de bonus offensif.
C’est une bonne opération sur le plan comptable…
On en avait besoin. Montpellier revient très fort dans la poule. On a deux objectifs : être devant Montpellier et être premier devant au moins deux autres équipes. Il nous fallait engranger cinq points. Ce qu’on n’avait pas prévu, ce sont les neuf essais qui nous ont aideront bien sûr le plan du goal-average. A 23 points, ça devrait passer pour être dans les quatre meilleurs premiers. Il faudra essayer de battre Cardiff à Mayol et de prendre au moins le bonus défensif à Montpellier. Ce succès restera dans les souvenirs des belles soirées de H Cup à Toulon. On n’en a pas beaucoup connu. Il y avait celle du Munster. C’est la deuxième qu’on connaît avec un tel enthousiasme.
Vous êtes en train de réaliser votre rêve…
Le rêve de départ, c’était de monter en Top 14. Ça c’est fait. Maintenant, le rêve d’adulte dans le rugby, c’est de gagner quelque chose, que ce soit la H Cup ou le Top 14, avec une préférence pour le Top 14 bien sûr. Pour tout vous dire, je ne sais même pas quand est la finale de H Cup… J’essaie de ne pas m’emballer. J’ai vu Clermont gagner au Leinster samedi. Je ne peux pas dire qu’on soit devant Clermont. Ils sont énormes. Toulouse a perdu mais, en général, pendant six, sept mois, ça balbutie car ils ont des blessés et des mecs en équipe de France. Mais, en général, vers le mois d’avril, ils se retrouvent tous au complet et ça devient très compliqué de les jouer. Moi je vous annonce que, cette année, Montpellier peut être champion de France. On ne peut pas dire qu’on est sur-favori de ce Top 14.
Quel est votre favori en Coupe d’Europe ?
Le favori incontestable est l’Ulster. Depuis hier (samedi), ça serait difficile de ne pas placer Clermont comme favori de la H Cup. Quand on va gagner au Leinster face aux doubles champions d’Europe, on endosse le statut de favori.
Quel est votre sentiment sur cette saison de H Cup ?
La seule chose qui m’embête un peu, c’est que, je ne sais pas vous, mais, j’ai l’impression que la Coupe d’Europe, elle est très française. Je n’ai rien contre les équipes françaises mais j’aime bien rencontrer des équipes anglaises ou irlandaises en Coupe d’Europe et j’ai le sentiment qu’il y aura quatre ou cinq équipes tricolores qui se qualifieront. J’espère ne pas me tromper.
Comment expliquez-vous cette évolution ?
On nous a expliqué en début de saison que les clubs français depuis quelques saisons en H Cup, c’était des trompettes. Je crois qu’on a démontré que ça n’est pas vrai (sourire). On a parlé de la prédominance des clubs irlandais mais on montre aujourd’hui que le Top 14 est là et bien présent et que c’est le championnat qui domine l’Europe et certainement celui qui domine le Monde. Mais pour le savoir, il faudrait organiser une Coupe du monde des clubs.
Ca y est Mourad a trouvé son challenge. Le Brennus c'est queue dalle ! Il lui faut un titre de champion du Monde des clubs pour le RCT !
Gethin Jenkins devrait rester jusqu'à la fin de son contrat
Gethin Jenkins va-t-il rester toulonnais la saison prochaine ? Au cœur des rumeurs depuis plusieurs mois, le pilier international (32 ans, 89 sélections) est actuellement barré à droite par le Néo-zélandais Carl Hayman et à gauche par l’Anglais Andrew Sheridan, deux monstres de l'exercice. En manque de temps de jeu, les médias évoquent de plus en plus un retour anticipé vers son ancien club des Cardiff Blues. Un départ qui n’est pourtant pas d’actualité, si l’on en croit le RCT.
Alors que Carl Hayman (33 ans, 45 sélections) vient de prolonger son contrat de deux ans avec le club de la Rade, récompensant ainsi ses grosses performances depuis quelques mois, l’avenir de son alter-égo gallois est lui plus incertain. Annoncé partant avec insistance à l’issue de la saison, un an avant le terme de son contrat (qui court jusqu’en 2014), Gethin Jenkins pourrait finalement relever le défi jusqu’au bout. C’est en tout cas ce qu’affirme Tom Whitford, assistant manager du RCT, dans les colonnes d’ESPN Scrum : « Nous sommes très content de Gethin. Il joue bien et d’après ce que je sais il est très heureux également. Il a débuté le match contre Sale et a livré une bonne performance. Je pense que ça prend toujours un peu de temps pour s’adapter au championnat français. Il n’y a aucune raison pour qu’il nous quitte à l’issue de la saison. Il est sous contrat jusqu’en 2014 et sera avec nous l’année prochaine. Ce n’est pas seulement pour lui que l’adaptation est compliquée. Il y a deux ans, Carl Hayman a mis plusieurs mois avant de bien comprendre le Top 14 et c’est le même processus pour Gethin. ».
Alors même que l’on annonce l'arrivée de Martin Castrogiovanni du côté de la Rade la saison prochaine, le départ de l’international gallois n’est pourtant pas d’actualité et le club compte bien s’appuyer sur son pilier polyvalent pour atteindre ses objectifs de titres. Il est vrai que Carl Hayman avait lui aussi connu une période délicate avant de redevenir la terreur des mêlées fermés qui avait fait toute sa réputation. A Gethin Jenkins de suivre son exemple.
Gethin Jenkins va-t-il rester toulonnais la saison prochaine ? Au cœur des rumeurs depuis plusieurs mois, le pilier international (32 ans, 89 sélections) est actuellement barré à droite par le Néo-zélandais Carl Hayman et à gauche par l’Anglais Andrew Sheridan, deux monstres de l'exercice. En manque de temps de jeu, les médias évoquent de plus en plus un retour anticipé vers son ancien club des Cardiff Blues. Un départ qui n’est pourtant pas d’actualité, si l’on en croit le RCT.
Alors que Carl Hayman (33 ans, 45 sélections) vient de prolonger son contrat de deux ans avec le club de la Rade, récompensant ainsi ses grosses performances depuis quelques mois, l’avenir de son alter-égo gallois est lui plus incertain. Annoncé partant avec insistance à l’issue de la saison, un an avant le terme de son contrat (qui court jusqu’en 2014), Gethin Jenkins pourrait finalement relever le défi jusqu’au bout. C’est en tout cas ce qu’affirme Tom Whitford, assistant manager du RCT, dans les colonnes d’ESPN Scrum : « Nous sommes très content de Gethin. Il joue bien et d’après ce que je sais il est très heureux également. Il a débuté le match contre Sale et a livré une bonne performance. Je pense que ça prend toujours un peu de temps pour s’adapter au championnat français. Il n’y a aucune raison pour qu’il nous quitte à l’issue de la saison. Il est sous contrat jusqu’en 2014 et sera avec nous l’année prochaine. Ce n’est pas seulement pour lui que l’adaptation est compliquée. Il y a deux ans, Carl Hayman a mis plusieurs mois avant de bien comprendre le Top 14 et c’est le même processus pour Gethin. ».
Alors même que l’on annonce l'arrivée de Martin Castrogiovanni du côté de la Rade la saison prochaine, le départ de l’international gallois n’est pourtant pas d’actualité et le club compte bien s’appuyer sur son pilier polyvalent pour atteindre ses objectifs de titres. Il est vrai que Carl Hayman avait lui aussi connu une période délicate avant de redevenir la terreur des mêlées fermés qui avait fait toute sa réputation. A Gethin Jenkins de suivre son exemple.
Toulon piste Castrogiovanni et Vakataka
Décidément, Toulon se montre actuellement très actif sur le marché des transferts, pistant désormais un pilier et un centre. Le RCT étudierait le cas du pilier italien, Martin Castrogiovanni, comme le rapporte La Provence. Une information dévoilée par Midi Olympique ce lundi et qui précise que l'international (31 ans ; 91 sélections) sera libre de tout contrat à la fin de la saison.
Après avoir obtenu un accord avec les talonneurs Benjamin Noirot (32 ans, 1 sélections) et John Smit (34 ans ; 111 sélections), Toulon se pencherait également sur le dossier menant au centre fidjien du Racing, Virimi Vakatawa (20 ans), comme le révèle La Provence.
Décidément, Toulon se montre actuellement très actif sur le marché des transferts, pistant désormais un pilier et un centre. Le RCT étudierait le cas du pilier italien, Martin Castrogiovanni, comme le rapporte La Provence. Une information dévoilée par Midi Olympique ce lundi et qui précise que l'international (31 ans ; 91 sélections) sera libre de tout contrat à la fin de la saison.
Après avoir obtenu un accord avec les talonneurs Benjamin Noirot (32 ans, 1 sélections) et John Smit (34 ans ; 111 sélections), Toulon se pencherait également sur le dossier menant au centre fidjien du Racing, Virimi Vakatawa (20 ans), comme le révèle La Provence.
Palisson: "Depuis un mois, le temps est plus long"
Après trois mois d'absence, l'ailier ou arrière international de Toulon, Alexis Palisson, est à nouveau opérationnel. Alors qu'il semble encore un peu juste pour être aligné dès samedi à Agen et qu'il pourrait patienter jusqu'à la réception de Perpignan dans dix jours, le joueur se confie sur son retour à la compétition.
Comment vous sentez-vous ?
Alexis PALISSON : Je me suis bien remis de ma blessure au dos même s’il y a eu cette petite entorse à la cheville lors de la reprise de la course. Le staff a voulu me laisser plus de temps pour récupérer. Contre Perpignan la semaine prochaine, ce sera la date anniversaire : cela fera trois mois que j’ai été touché. C’est le temps qu’il aura fallu pour que l’os soit parfaitement rétabli.
Avez-vous mal vécu votre longue indisponibilité ?
A.P. : Pas les deux premiers mois. Il y a eu ma prolongation à Toulon et j’ai acheté une maison à La Valette. J’ai donc eu l’esprit occupé et moins pensé à la blessure. La négociation du contrat m’a permis de savoir ce que j’allais faire lors des prochaines saisons. Mais depuis un mois, le temps était devenu plus long. Là, j’ai eu un peu plus de mal à encaisser et à réaliser. J’ai suivi l’équipe mais on se sent un peu en-dehors du groupe. J’avais hâte de retrouver les terrains, de partager ces moments avec mes partenaires, ces instants où tu pénètres sur la pelouse. Et si je ne ressens pas trop la pression en jouant, je suis beaucoup plus stressé quand j’assiste aux matchs avec un regard extérieur.
Comment jugez-vous les récentes performances de Toulon ?
A.P. : Elles ont été impressionnantes. On savait que Toulon possédait un effectif riche mais on ne pensait pas que la sauce prendrait si vite. Ce qu’il se passe dans ce groupe, sur et en-dehors du terrain, est exceptionnel. Mais sa principale force, c’est de parvenir à se remettre toujours en question, même après un gros succès. On voit que le RCT n’est pas à l’abri. On connaît des blessures, comme la dernière en date de Bakkies Botha, mais cette équipe parvient à rebondir à chaque fois.
Votre effectif paraît plus dense. Est-ce qu’il manquait ?
A.P. : C’est vrai, il est complet et nous sommes donc compétitifs sur les deux tableaux. Mais la saison va se jouer sur quelques matchs à la fin. Il faut se faciliter la tâche avant mais ce sont ces matchs-là qu’il faudra gagner pour franchir un cap supplémentaire. L’an passé, nous avons perdu en finale... Le cap suivant, on le connaît. On a échoué si près qu’on veut le passer.
Vous étiez forfait pour la tournée automnale des Bleus. Avez-vous peur d’avoir raté le bon wagon ?
A.P. : J’ai été déçu de ne pas participer à la fête mais je me suis régalé devant ma télé. Quand je ne suis pas sur le terrain, je suis le premier supporter des Bleus et j’étais heureux des victoires. Après, j’ai bien sûr le Tournoi ou la tournée d’été dans un coin de la tête. Quand on y goûte, on a envie d’en reprendre.
Après trois mois d'absence, l'ailier ou arrière international de Toulon, Alexis Palisson, est à nouveau opérationnel. Alors qu'il semble encore un peu juste pour être aligné dès samedi à Agen et qu'il pourrait patienter jusqu'à la réception de Perpignan dans dix jours, le joueur se confie sur son retour à la compétition.
Comment vous sentez-vous ?
Alexis PALISSON : Je me suis bien remis de ma blessure au dos même s’il y a eu cette petite entorse à la cheville lors de la reprise de la course. Le staff a voulu me laisser plus de temps pour récupérer. Contre Perpignan la semaine prochaine, ce sera la date anniversaire : cela fera trois mois que j’ai été touché. C’est le temps qu’il aura fallu pour que l’os soit parfaitement rétabli.
Avez-vous mal vécu votre longue indisponibilité ?
A.P. : Pas les deux premiers mois. Il y a eu ma prolongation à Toulon et j’ai acheté une maison à La Valette. J’ai donc eu l’esprit occupé et moins pensé à la blessure. La négociation du contrat m’a permis de savoir ce que j’allais faire lors des prochaines saisons. Mais depuis un mois, le temps était devenu plus long. Là, j’ai eu un peu plus de mal à encaisser et à réaliser. J’ai suivi l’équipe mais on se sent un peu en-dehors du groupe. J’avais hâte de retrouver les terrains, de partager ces moments avec mes partenaires, ces instants où tu pénètres sur la pelouse. Et si je ne ressens pas trop la pression en jouant, je suis beaucoup plus stressé quand j’assiste aux matchs avec un regard extérieur.
Comment jugez-vous les récentes performances de Toulon ?
A.P. : Elles ont été impressionnantes. On savait que Toulon possédait un effectif riche mais on ne pensait pas que la sauce prendrait si vite. Ce qu’il se passe dans ce groupe, sur et en-dehors du terrain, est exceptionnel. Mais sa principale force, c’est de parvenir à se remettre toujours en question, même après un gros succès. On voit que le RCT n’est pas à l’abri. On connaît des blessures, comme la dernière en date de Bakkies Botha, mais cette équipe parvient à rebondir à chaque fois.
Votre effectif paraît plus dense. Est-ce qu’il manquait ?
A.P. : C’est vrai, il est complet et nous sommes donc compétitifs sur les deux tableaux. Mais la saison va se jouer sur quelques matchs à la fin. Il faut se faciliter la tâche avant mais ce sont ces matchs-là qu’il faudra gagner pour franchir un cap supplémentaire. L’an passé, nous avons perdu en finale... Le cap suivant, on le connaît. On a échoué si près qu’on veut le passer.
Vous étiez forfait pour la tournée automnale des Bleus. Avez-vous peur d’avoir raté le bon wagon ?
A.P. : J’ai été déçu de ne pas participer à la fête mais je me suis régalé devant ma télé. Quand je ne suis pas sur le terrain, je suis le premier supporter des Bleus et j’étais heureux des victoires. Après, j’ai bien sûr le Tournoi ou la tournée d’été dans un coin de la tête. Quand on y goûte, on a envie d’en reprendre.
en grattant un peu sur des sites numismates j'ai trouvé cela pour les Toulonnais
www.tresordupatrimoine.fr/1210218-50-euro-or-rugby-club-toulonnais-be-france-2012.
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