chandelle
USAPiste convaincu
USAP / Christian Lanta : «Il ne faut rien attendre des autres»
La défaite (20-18) d’Agen à Albi, qui offre le titre de champion à Oyonnax, est particulièrement défavorable à l’USAP, dans la mesure où « Oyo » n’a plus besoin d’aller gagner à Montauban, un des principaux adversaires des Catalans pour la qualification aux demi-finales d’accession au Top 14. En une phrase : les chances de Perpignan sont fortement compromises. Première réaction avec le directeur sportif Christian Lanta, joint ce vendredi dans la soirée.
En attendant le match Colomiers-Montauban (demain 14h15), les résultats de la 29e journée vous condamnent quasiment...
À partir du moment où ça ne t’appartient plus, il n’y a pas à être déçu. Il fallait se la gagner nous-mêmes... C’est comme ça, il ne faut rien attendre des autres. Bien sûr, il y a la déception globale sur la saison mais, en terme de performance, de progression d’équipe et d’état d’esprit, ce qui a été accompli est très positif pour la suite.
Qu’est-ce qui vous rend si confiant en l’avenir ?
Je le suis parce que j’attache beaucoup de valeur au travail accompli. Et, par expérience, je sais que ça finit toujours par payer un jour ou l’autre. Le staff et l’ensemble du club font un travail très sérieux. Je pense modestement qu’on a mis en place des bases solides pour la saison prochaine.
Que manque-t-il aux sang et or pour remonter dans l’élite ?
Ce groupe a un potentiel évident, mais en fait, il est très jeune. Même s’il y a quelques garçons d’expérience, il est en pleine évolution. Avec Patrick Arlettaz et Perry Freshwater (les entraîneurs), on tâche de le modeler, de le mettre sur de bons rails. Le travail de fond va finir par payer, j’en suis persuadé. On va repartir sur des bases très solides l’an prochain. J’ai envie d’y croire fortement.
Moralité de l’année : il vaut mieux prendre un bon départ...
Les politiques nous donnent un tel spectacle que je ne vais pas faire de politique, mais l’héritage était compliqué. Il a fallu redémarrer de très, très loin, car le groupe était déstructuré à tous points de vue. Aujourd’hui, les fondations sont mises en place pour vraiment réussir. Cette saison, on ne pouvait être que dans une certaine retenue et modestie en faisant profil bas, mais l’an prochain, ce sera différent. On est en droit d’avoir des ambitions. Ce qui est sûr, c’est qu’on n’avancera pas caché.
La défaite (20-18) d’Agen à Albi, qui offre le titre de champion à Oyonnax, est particulièrement défavorable à l’USAP, dans la mesure où « Oyo » n’a plus besoin d’aller gagner à Montauban, un des principaux adversaires des Catalans pour la qualification aux demi-finales d’accession au Top 14. En une phrase : les chances de Perpignan sont fortement compromises. Première réaction avec le directeur sportif Christian Lanta, joint ce vendredi dans la soirée.
En attendant le match Colomiers-Montauban (demain 14h15), les résultats de la 29e journée vous condamnent quasiment...
À partir du moment où ça ne t’appartient plus, il n’y a pas à être déçu. Il fallait se la gagner nous-mêmes... C’est comme ça, il ne faut rien attendre des autres. Bien sûr, il y a la déception globale sur la saison mais, en terme de performance, de progression d’équipe et d’état d’esprit, ce qui a été accompli est très positif pour la suite.
Qu’est-ce qui vous rend si confiant en l’avenir ?
Je le suis parce que j’attache beaucoup de valeur au travail accompli. Et, par expérience, je sais que ça finit toujours par payer un jour ou l’autre. Le staff et l’ensemble du club font un travail très sérieux. Je pense modestement qu’on a mis en place des bases solides pour la saison prochaine.
Que manque-t-il aux sang et or pour remonter dans l’élite ?
Ce groupe a un potentiel évident, mais en fait, il est très jeune. Même s’il y a quelques garçons d’expérience, il est en pleine évolution. Avec Patrick Arlettaz et Perry Freshwater (les entraîneurs), on tâche de le modeler, de le mettre sur de bons rails. Le travail de fond va finir par payer, j’en suis persuadé. On va repartir sur des bases très solides l’an prochain. J’ai envie d’y croire fortement.
Moralité de l’année : il vaut mieux prendre un bon départ...
Les politiques nous donnent un tel spectacle que je ne vais pas faire de politique, mais l’héritage était compliqué. Il a fallu redémarrer de très, très loin, car le groupe était déstructuré à tous points de vue. Aujourd’hui, les fondations sont mises en place pour vraiment réussir. Cette saison, on ne pouvait être que dans une certaine retenue et modestie en faisant profil bas, mais l’an prochain, ce sera différent. On est en droit d’avoir des ambitions. Ce qui est sûr, c’est qu’on n’avancera pas caché.