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La section amateur du BO s'est comportée en professionnelle : renvoyer Serge Blanco et son projet de fusion dans leurs 22 mètres.
Petit conseil à Bertrand G. : signer à Dax.
Va savoir...
Peut être qu'il n'avait "pas attendu de connaitre le projet du BO pour signer au BO"...
Pour le vote de la section amateur du BO, elle illustre l'écart grandissant entre les décideurs (cf les 20 sur 21 qui avaient voté pour il y a 3 semaines) et la base.
Ils n'ont rien vu venir.
Les amateurs bayonnais doivent eux aussi maintenir leur vote ce vendredi pour rejeter la fusion et en profiter pour lancer un appel.
5000 abonnés donnent 50 euros chacun, ça fait la moitié du million à trouver.
Mérin démissionne et la mairie de Bayonne mettra l'autre moitié.
Avec ça l'Aviron repart en Pro D2.
Pour le BO, avec le départ de Blanco on va mesurer dans les semaines et les mois à venir sur quoi repose ce club... A suivre.
Moi j'ai entendu dire comme toi qu'il manquait 1 millions d'€.
Mais si 5000 abonnés donnent chacun 50 € (ceux qui est déjà énorme) cela ne fait pas la moitié du million mais le quart seulement. En effet 5000 x 50 = 250.000 €. Et si la mairie met l'autre moitié soit 250.000 €, il en manque encore...la moitié pour faire le million !!!
J'espère que le comptable de l'Aviron est meilleur que toi sinon...:6775:
Le monde du rugby professionnel est schizophrène. Un club de rugby de l'élite est une société de divertissement, il doit vendre du rêve à des blaireaux ( rigoler pas, c'est nous les blaireaux) pour que des gentils mécènes investissent leur argent (9 fois sur 10 en pure perte financière) investissement qui a pour but réel d'améliorer leur communication de blaireaux de la finance grâce aux valeurs positives véhiculées par le rugby( c'te blague!)
Pour maintenir un club basque dans l'élite et donc continuer à avoir une audience médiatique haute et positive, il faut fusionner les deux clubs, agréger les compétences et souhaiter que les blaireaux de mécènes ne verront pas que les valeurs de terroirs du rugby n'existent plus.
Malheureusement, les blaireaux qui font le terroir ne comprennent pas les impératifs financiers d'un club de l'élite et exigent que l'esprit de clocher demeurent.
Bien sûr, les blaireaux du terroir veulent toujours plus de piliers droits, toujours plus de star à paillette et bien évidemment toujours autant des valeurs de rugby de clocher qui fleurent bon le terroiret les anabolisants
schizophrène j'vous dis.
Il faut croire que Biarritz, ce n'est pas que Blanco et compagnie. Il y reste donc des supporters, des amoureux de leur club qui préfèrent le voir vivant en ProD2 (ou fédérale....) que le voir disparaître, absorbé dans une fusion.