N'empêche , Guillemin m'a procuré un gros instants de joie , le 6 juin 2009 au SDF.
Lors de la remise du planchot , il était sur la pelouse, au bas de ma tribune, en train regarder exprimer notre joie avec un air si triste que ma joie en fut centuplé. Ce sont des images que je n'oublierai jamais . Comme ces tribunes auvergnates abasourdies au coup de sifflet final et, à la remise du planxot, ces mêmes tribunes vides , jonchées de drapeaux jaune et bleu , froissés , piétinés, abandonnés.... Du champagne aux cochons , je l'ai dit et je le maintiens .