On retrouve quelques constantes dans ces reportages :
- Quelle que soit la génération l'émotion, est présente, les yeux brillent.
- Tous disent combien ils étaient habités au moment de jouer, habités par le sentiment de représenter un peuple, leurs proches...
- Tous font référence, chacun avec leurs mots, a ce qui les transcendaient, à un moment ou l'autre des matchs et ou TOUS les joueurs à l'unisson décident de tout donner, ensemble. Qu'on appelle çà le quart d'heure catalan, la sanquette, les racines, on ne lâche rien...
- Tous parlent d’aventure humaine et du lien très fort qui les unissaient.
...Et aucun ne fait de l'argent le moteur qui leur a permis de gagner ce titre, comme si, tout bien pesé, l'argent n'avait aucune importance !
- et spéciale dédicace à Paulo, grand admirateur de l'ASM, ces mots d'André Sanac "c'est sur on n'étaient pas faits comme des auvergnats... Les Desgeorges chaussaient du 48 et pesaient 120 kg au point d'esquinter le terrain quand ils jouaient...nous, on ne mesure pas 2 m, on ne pèse pas 110 kg, mais ce qu'on à ici (dans le cœur), ça ne se mesure pas non plus et ça on peut l'avoir et IL FAUT L'AVOIR ! c'était notre leitmotif
Et comment interpréter les paroles de Thomas Lievremont "Quand j'ai vu Nicolas Mas lever ce bouclier, je me suis dit, le salaud, il a de la chance" et les larmes qui lui montaient aux yeux en disant cela ? Comme si ne pas avoir levé le planxot avec l'USAP l'avait marqué plus que les titres conquis avec les basques.
Voilà l'USAP que j'aimerais retrouver : une équipe soudée, de joueurs qui savent qu'ils ne portent pas le maillot de leur club, mais le drapeau d'un peuple !
- Quelle que soit la génération l'émotion, est présente, les yeux brillent.
- Tous disent combien ils étaient habités au moment de jouer, habités par le sentiment de représenter un peuple, leurs proches...
- Tous font référence, chacun avec leurs mots, a ce qui les transcendaient, à un moment ou l'autre des matchs et ou TOUS les joueurs à l'unisson décident de tout donner, ensemble. Qu'on appelle çà le quart d'heure catalan, la sanquette, les racines, on ne lâche rien...
- Tous parlent d’aventure humaine et du lien très fort qui les unissaient.
...Et aucun ne fait de l'argent le moteur qui leur a permis de gagner ce titre, comme si, tout bien pesé, l'argent n'avait aucune importance !
- et spéciale dédicace à Paulo, grand admirateur de l'ASM, ces mots d'André Sanac "c'est sur on n'étaient pas faits comme des auvergnats... Les Desgeorges chaussaient du 48 et pesaient 120 kg au point d'esquinter le terrain quand ils jouaient...nous, on ne mesure pas 2 m, on ne pèse pas 110 kg, mais ce qu'on à ici (dans le cœur), ça ne se mesure pas non plus et ça on peut l'avoir et IL FAUT L'AVOIR ! c'était notre leitmotif
Et comment interpréter les paroles de Thomas Lievremont "Quand j'ai vu Nicolas Mas lever ce bouclier, je me suis dit, le salaud, il a de la chance" et les larmes qui lui montaient aux yeux en disant cela ? Comme si ne pas avoir levé le planxot avec l'USAP l'avait marqué plus que les titres conquis avec les basques.
Voilà l'USAP que j'aimerais retrouver : une équipe soudée, de joueurs qui savent qu'ils ne portent pas le maillot de leur club, mais le drapeau d'un peuple !