Les propos de de la Fuente montre que peut être l'ambiance n'est pas si bonne que ça au sein de l'équipe
Ou tout simplement un évènement isolé avant le match, comme il peut s'en produire dans tous les groupes même ceux qui "vivent bien".
Ce qui pourrait (encore une fois théorique) expliquer les mines très renfermées qu'on a pu voir à l'entrée de nos joueurs, par rapport aux Montpelliérains qui se haranguaient dans le tunnel.
Désamorcer les bombes, des Arlettaz ou Acebes (quoi qu'en disent les rois) le faisaient très bien alors que le groupe aurait pu exploser 100 fois en particulier en 2018.
J'ai la faiblesse de croire qu'on est encore capables de se parler et que cet "esprit" perdure encore malgré les départs.