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Chiffres Coronavirus Perpignan et Pyrénées Orientales

Ça c'est probable mais je crois qu'il n'y aura plus de reconfinement général.
Pour info, on a une belle accélération sur les réanimations. On est au même niveau qu'au moment du déconfinement. On augmente de 15 à 20% les chiffres d'une semaine à l'autre. Pas de quoi fouetter un chat pour l'instant. Pour l'instant...
 
Un petit cas d'école pour vous faire sourire sur l'aspect pratique du désormais célèbre triptyque : tester, tracer, isoler.
Je gère plusieurs espaces de coworking ou se croisent 200 personnes, fort heureusement pas de location à l'heure ou à la journée.
Lundi, une de nos coworkeuses (d'un espace où se croise une petite cinquantaine de personnes, hors clients/fournisseurs conviés en salles de réunions) se sent fatiguée dans l'après-midi. Elle avait déjeuné avec 7 ou 8 autres coworkers dans une de nos salles prévues à cet effet. Mardi 1er septembre, elle reste chez elle car malade, le toubib lui dit que cela peut être le covid, elle doit se faire tester, ce qu'elle fait le lendemain. On lui annonce que les résultats seront dispo vendredi 4 à 20h en ligne. Puis vendredi, bug, il faut revenir samedi sur le site. Pour qu'on lui dise finalement que les résultats auront jusqu'à une semaine de retard. Malgré les précautions prises, toutes relatives car on ne sait pas si elle est positive, je ne vous raconte pas le cluster potentiel que cela a créé... Obtenir des résultats plus d'1 jour ou 2 après avoir été testé est parfaitement inutile à mon sens.
 
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Le seul point qui rassure, c'est que ça ne ressemble pas à un tsunami comme la première fois.
Oui on aura probablement pas une telle exponentielle mais ce qui m'inquiète ceux sont les conséquences sur les mesures sanitaires et donc l'économie....
Un petit cas d'école pour vous faire sourire sur l'aspect pratique du désormais célèbre triptyque : tester, tracer, isoler.
Je gère plusieurs espaces de coworking ou se croisent 200 personnes, fort heureusement pas de location à l'heure ou à la journée.
Lundi, une de nos coworkeuses (d'un espace où se croise une petite cinquantaine de personnes, hors clients/fournisseurs conviés en salles de réunions) se sent fatiguée dans l'après-midi. Elle avait déjeuné avec 7 ou 8 autres coworkers dans une de nos salles prévues à cet effet. Mardi 1er septembre, elle reste chez elle car malade, le toubib lui dit que cela peut être le covid, elle doit se faire tester, ce qu'elle fait le lendemain. On lui annonce que les résultats seront dispo vendredi 4 à 20h en ligne. Puis vendredi, bug, il faut revenir samedi sur le site. Pour qu'on lui dise finalement que les résultats auront jusqu'à une semaine de retard. Malgré les précautions prises, toutes relatives car on ne sait pas si elle est positive, je ne vous raconte pas le cluster potentiel que cela a créé... Obtenir des résultats plus d'1 jour ou 2 après avoir été testé est parfaitement inutile à mon sens.
c'est lamentable de prendre autant de temps, en suisse on doit se confiner avant les résultats....
 
Pour ceux qui ont encore des doutes sur la forme de la courbe du virus, voici les premiers effets visibles de la montée en puissance de la maladie redémarrée en souterrain début juillet.

Dans lefigaro.fr

«Nous avons vu une augmentation des contaminations chez les jeunes cet été et, depuis la mi-août, cela se traduit par une augmentation des cas graves à l’hôpital», analyse le Pr Lionel Velly, anesthésiste-réanimateur en charge de l’une des deux unités Covid à l’hôpital de la Timone à Marseille. Le 4 août, le département ne comptait «que» 10 malades en réanimation. Idem le 18 août. Lundi, ils étaient près de 70, selon le médecin, dont une petite vingtaine à Marseille. Ce qui fait des Bouches-du-Rhône le département qui compte le plus de malades du Covid en réanimation. Au total, la France compte actuellement 480 malades en soins intensifs dimanche, d’après les derniers chiffres de Santé publique France.

Certes, la situation est encore bien éloignée de celle qu’ont connue les hôpitaux du département au printemps dernier (270 malades en réanimation mi-avril). Mais la tendance actuelle, à savoir que le nombre de cas graves a été multiplié par 7 en un mois, n’est pas rassurante. «Nous tenons à alerter sur cette montée des admissions en réanimation qui, malheureusement, est exponentielle, souligne le Pr Velly. Cette fois, la vague ne part pas de la région Grand Est mais du Sud-Est, et en particulier de Marseille.»


L’été a été un peu surchargé car nous avons dû récupérer le retard d’activité. D’ailleurs, notre taux de remplissage est encore important, témoigne le Pr Marc Leone, chef du service d’anesthésie réanimation à l’hôpital nord de Marseille, qui pointe de surcroît une pénurie de médecins et d’infirmiers dans sa spécialité. La situation est tendue. Si cela continue de progresser de cette manière, s’il n’y a pas de prise de conscience collective concernant les mesures barrières, nous pourrions être en grande difficulté dans quelques semaines.»


Depuis 1 semaine, on en est à +40% de nouvelles hospitalisations et +54% en réa. C'est encore des +40% ou des +50% de pas grand chose, mais quand même...
 
Pour ceux qui ont encore des doutes sur la forme de la courbe du virus, voici les premiers effets visibles de la montée en puissance de la maladie redémarrée en souterrain début juillet.

Dans lefigaro.fr

«Nous avons vu une augmentation des contaminations chez les jeunes cet été et, depuis la mi-août, cela se traduit par une augmentation des cas graves à l’hôpital», analyse le Pr Lionel Velly, anesthésiste-réanimateur en charge de l’une des deux unités Covid à l’hôpital de la Timone à Marseille. Le 4 août, le département ne comptait «que» 10 malades en réanimation. Idem le 18 août. Lundi, ils étaient près de 70, selon le médecin, dont une petite vingtaine à Marseille. Ce qui fait des Bouches-du-Rhône le département qui compte le plus de malades du Covid en réanimation. Au total, la France compte actuellement 480 malades en soins intensifs dimanche, d’après les derniers chiffres de Santé publique France.

Certes, la situation est encore bien éloignée de celle qu’ont connue les hôpitaux du département au printemps dernier (270 malades en réanimation mi-avril). Mais la tendance actuelle, à savoir que le nombre de cas graves a été multiplié par 7 en un mois, n’est pas rassurante. «Nous tenons à alerter sur cette montée des admissions en réanimation qui, malheureusement, est exponentielle, souligne le Pr Velly. Cette fois, la vague ne part pas de la région Grand Est mais du Sud-Est, et en particulier de Marseille.»


L’été a été un peu surchargé car nous avons dû récupérer le retard d’activité. D’ailleurs, notre taux de remplissage est encore important, témoigne le Pr Marc Leone, chef du service d’anesthésie réanimation à l’hôpital nord de Marseille, qui pointe de surcroît une pénurie de médecins et d’infirmiers dans sa spécialité. La situation est tendue. Si cela continue de progresser de cette manière, s’il n’y a pas de prise de conscience collective concernant les mesures barrières, nous pourrions être en grande difficulté dans quelques semaines.»


Depuis 1 semaine, on en est à +40% de nouvelles hospitalisations et +54% en réa. C'est encore des +40% ou des +50% de pas grand chose, mais quand même...
Panoramix va avoir du pain sur la planche
 
Il va vous sortir une entourloupe qui va vous en faire perdre votre latin !!!
Je vous aurez bien fait un résumé mais il me semble que vous êtes abonnés à sa chaîne YouTube , non ?:D
 
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