l’ouvreur néo-zélandais a donné son accord au Racing 92 pour une pige jusqu’à la fin de la saison.
Sitôt l’annonce de Pat Lambie de mettre un terme à sa carrière, l’idée avait germé chez les Ciel et Blanc. Faire revenir Dan Carter pour une pige de quatre mois. La star néo-zélandaise a quitté le club francilien l’été dernier, après trois saisons au Racing 92, pour rallier le Japon. Une fin de carrière en pente douce pour le monument (112 sélections chez les All Blacks) qui fêtera ses 37 ans le 5 mars. Deux saisons avec les Kobelco Steelers et un rôle d’ambassadeur de la Coupe du monde 2019. Une expérience aussitôt couronnée de succès puisque l’ouvreur vient de remporter le champion nippon en étant élu meilleur joueur du championnat.
Voilà pour le rêve. La réalité s’annonçait plus complexe. L’intéressé, qui a adorait son passage à Paris, n’était pas contre ce dernier défi, le Racing lui faisant miroiter la seule ligne qu’il manque à son palmarès XXL : la coupe d’Europe. Problème cependant, les Steelers ne l’entendaient pas de cette oreille. Le directeur général du club japonais, interrogé par l’Equipe, s’était catégorique : «nous ne comptons pas libérer Dan Carter de son contrat». Un contrat en or pour qu’il représente le club, la ville et l’archipel en vue du Mondial à venir.
Le Racing attend la lettre de sortie pour officialiser le retour au bercail de l’enfant-chéri
Mais voilà, il n’y a guère de résolutions qui résistent à un gros chèque. Comme RMC Sport le révèle, les dirigeants des Kobelco Steelers ne se sont pas montrés insensibles à l’offre de Jacky Lorenzetti. Et auraient donné leur accord, sachant que, Coupe du monde oblige, le championnat japonais ne reprendra qu’en janvier 2020 et que ses engagements marketing avec son club ne sont prévus que durant le Mondial. Comme, financièrement, Dan Carter n’a pas été oublié, l’accord serait en (très bonne) voie de conclusion. La star a dit oui et le Racing attend simplement sa lettre de sortie pour officialiser le retour au bercail de l’enfant-chéri.
Le retour du meilleur réalisateur de l’histoire du rugby mondial (1 598 points) ne serait donc qu’une question de jours. Amplement suffisant pour être opérationnel en vue du quart de finale de Champions Cup entre le Racing 92 et le Stade Toulousain, le dimanche 31 mars à la Paris La Défense Arena. Auparavant, Dan Carter aura pu retrouver ses marques lors de Grenoble-Racing (16-17 mars) et/ou plus sûrement pour la réception de Bordeaux-Bègles le week-end du 23-24 mars. Après trois saisons au Racing (et un bouclier de Brennus en 2016), ça ne devrait pas lui prendre beaucoup de temps puisqu’il connaît la grande majorité de ses anciens (et futurs) coéquipiers, avec lesquels il a été double finaliste de la Coupe d’Europe.
En attendant François Trinh-Duc
Un énorme coup médiatique et sportif pour le club de Jacky Lorenzetti. Qui, depuis le retrait de Pat Lambie, se retrouvait quelque peu dépourvu. L’Ecossais Finn Russel demeure l’ouvreur-vedette mais il est réquisitionné par le Tournoi. Derrière lui, les doublures sont le Fidjien Ben Volavola (à la manœuvre lors de l’exploit face au Xv de France en novembre) et l’ex-Bayonnais Raphaël Lagarde. Une fois sa pige effectuée, Dan Carter laissera la place à la future recrue francilienne, le Toulonnais François Trinh-Duc, qui ralliera le Plessis-Robinson l’été prochain pour deux saisons.
Sitôt l’annonce de Pat Lambie de mettre un terme à sa carrière, l’idée avait germé chez les Ciel et Blanc. Faire revenir Dan Carter pour une pige de quatre mois. La star néo-zélandaise a quitté le club francilien l’été dernier, après trois saisons au Racing 92, pour rallier le Japon. Une fin de carrière en pente douce pour le monument (112 sélections chez les All Blacks) qui fêtera ses 37 ans le 5 mars. Deux saisons avec les Kobelco Steelers et un rôle d’ambassadeur de la Coupe du monde 2019. Une expérience aussitôt couronnée de succès puisque l’ouvreur vient de remporter le champion nippon en étant élu meilleur joueur du championnat.
Voilà pour le rêve. La réalité s’annonçait plus complexe. L’intéressé, qui a adorait son passage à Paris, n’était pas contre ce dernier défi, le Racing lui faisant miroiter la seule ligne qu’il manque à son palmarès XXL : la coupe d’Europe. Problème cependant, les Steelers ne l’entendaient pas de cette oreille. Le directeur général du club japonais, interrogé par l’Equipe, s’était catégorique : «nous ne comptons pas libérer Dan Carter de son contrat». Un contrat en or pour qu’il représente le club, la ville et l’archipel en vue du Mondial à venir.
Le Racing attend la lettre de sortie pour officialiser le retour au bercail de l’enfant-chéri
Mais voilà, il n’y a guère de résolutions qui résistent à un gros chèque. Comme RMC Sport le révèle, les dirigeants des Kobelco Steelers ne se sont pas montrés insensibles à l’offre de Jacky Lorenzetti. Et auraient donné leur accord, sachant que, Coupe du monde oblige, le championnat japonais ne reprendra qu’en janvier 2020 et que ses engagements marketing avec son club ne sont prévus que durant le Mondial. Comme, financièrement, Dan Carter n’a pas été oublié, l’accord serait en (très bonne) voie de conclusion. La star a dit oui et le Racing attend simplement sa lettre de sortie pour officialiser le retour au bercail de l’enfant-chéri.
Le retour du meilleur réalisateur de l’histoire du rugby mondial (1 598 points) ne serait donc qu’une question de jours. Amplement suffisant pour être opérationnel en vue du quart de finale de Champions Cup entre le Racing 92 et le Stade Toulousain, le dimanche 31 mars à la Paris La Défense Arena. Auparavant, Dan Carter aura pu retrouver ses marques lors de Grenoble-Racing (16-17 mars) et/ou plus sûrement pour la réception de Bordeaux-Bègles le week-end du 23-24 mars. Après trois saisons au Racing (et un bouclier de Brennus en 2016), ça ne devrait pas lui prendre beaucoup de temps puisqu’il connaît la grande majorité de ses anciens (et futurs) coéquipiers, avec lesquels il a été double finaliste de la Coupe d’Europe.
En attendant François Trinh-Duc
Un énorme coup médiatique et sportif pour le club de Jacky Lorenzetti. Qui, depuis le retrait de Pat Lambie, se retrouvait quelque peu dépourvu. L’Ecossais Finn Russel demeure l’ouvreur-vedette mais il est réquisitionné par le Tournoi. Derrière lui, les doublures sont le Fidjien Ben Volavola (à la manœuvre lors de l’exploit face au Xv de France en novembre) et l’ex-Bayonnais Raphaël Lagarde. Une fois sa pige effectuée, Dan Carter laissera la place à la future recrue francilienne, le Toulonnais François Trinh-Duc, qui ralliera le Plessis-Robinson l’été prochain pour deux saisons.
