fed66
USAPiste impliqué
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Le problème, c'est que si l'économie des rugbys "celtes" (gallois, écossais, irlandais et italiens par extension) n'est pas favorisée financièrement par rapport à l'économie française et anglaise, on va progressivement se retrouver avec des clubs celtes de niveau très inférieur aux clubs français surarmés (qui recruteront de plus en plus de gallois, irlandais et écossais), et aux anglais qui vont peut-être reprendre du poil de la bête avec leur nouveau contrat de droits télé.
Puisque le rugby devient inexorablement un sport très professionnel, c'est-à-dire où les clubs les plus riches gagnent le plus souvent, on risque d'arriver à un grand déséquilibre entre les clubs riches et les clubs celtes qui devront compter sur une succession de générations dorées de jeunes pour espérer être au niveau, et sur des arbitres "compréhensifs".
A choisir, je préfère que la répartition financière soit un peu en faveur des nations à plus faible potentiel économique, pour qu'on ait un semblant de répartition des forces en présence.
Les clubs gallois sont de moins en moins forts, ils se font complètement piller, et s'en sortent par un vivier de jeunes joueurs exceptionnel (d'où la force de leur équipe nationale), les écossais sont à la traîne hormis un exploit de temps en temps, quant aux italiens, ils sont de moins en moins performants.
Puisque le rugby devient inexorablement un sport très professionnel, c'est-à-dire où les clubs les plus riches gagnent le plus souvent, on risque d'arriver à un grand déséquilibre entre les clubs riches et les clubs celtes qui devront compter sur une succession de générations dorées de jeunes pour espérer être au niveau, et sur des arbitres "compréhensifs".
A choisir, je préfère que la répartition financière soit un peu en faveur des nations à plus faible potentiel économique, pour qu'on ait un semblant de répartition des forces en présence.
Les clubs gallois sont de moins en moins forts, ils se font complètement piller, et s'en sortent par un vivier de jeunes joueurs exceptionnel (d'où la force de leur équipe nationale), les écossais sont à la traîne hormis un exploit de temps en temps, quant aux italiens, ils sont de moins en moins performants.