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PAPA NOUEL, JE VOUDRAIS PAS DES JOUETS CETTE ANNEE MAIS UN JUSTE UN BORDEREAU DE REMISE FISCALE
C'est rentable mais n'investise pas ... KESAKO.
Les péages d'autoroute vont augmenter à partir de février 2019, afin de financer quelque 700 millions de travaux, rapporte le « Journal du dimanche ». Par LePoint.fr
Publié le 11/11/2018 à 15:07 | Le Point.fr
Entre 2019 et 2021, chaque concessionnaire aura le droit d’appliquer une majoration comprise entre 0,146 % et 0,22 %
© Sebastien JARRY / MAXPPP / /MAXPPP
Après l'augmentation des prix à la pompe, les automobilistes et les transporteurs vont devoir à nouveau mettre la main au porte-monnaie. Dans son édition du 11 novembre, le Journal du dimancheexplique que les péages d'autoroutes vont coûter plus cher à partir de février prochain. Une hausse habituelle, mais qui sera plus forte cette année. En effet, entre 2019 et 2021, chaque concessionnaire aura le droit d'appliquer une majoration comprise entre 0,146 % et 0,22 %, en fonction des cas. À noter que les nouveaux tarifs prennent en compte l'inflation au niveau national et que l'État n'a pas encore arrêté ce chiffre.
Nids-de-poule, revêtement en mauvais état, ponts affaissés, l'objectif est de faire payer aux utilisateurs des autoroutes les quelque 700 milliards d'euros de travaux d'un plan d'investissement autoroutier. Le 7 novembre, l'État a publié au Journal officiel les derniers avenants aux contrats de concession déclinant ce dispositif.
Un projet qui renaît de ses cendres
APRR et Area sont d'abord concernés, tout comme ASF et Escota, qui appartiennent à Vinci et qui, avec son autre filiale Cofiroute, engageront « 381 millions d'euros de travaux, dont 150 financés, par les collectivités locales », selon un responsable du groupe cité par le JDD.
Lancé sous François Hollande, en janvier 2017, ce plan d'investissement venait s'ajouter à un précédent décidé en 2015. Le gouvernement souhaitait alors créer 5 000 emplois et améliorer le réseau routier au niveau local en mettant notamment en place des aires de covoiturage. Si une partie des investissements étaient pris en charge par les collectivités locales, le reste revenait aux automobilistes. À la mi-2017, le régulateur des autoroutes, l'Arafer, a finalement entièrement retoqué ce plan. Emmanuel Macron et ses ministres de l'Économie et des Transports ont donc dû en créer un nouveau.