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Albi/usap

Acculés sur notre ligne d'en-but, je n'ai pas vu de placages agressifs qui font reculer l'adversaire. Nous attendons que ce dernier progresse et nous subissons.
Hier la Rochelle a tenu presque 10min sa ligne face à un Toulouse déchaîné en fin de match, la comparaison avec le match de l'USAP juste avant faisait peine à voir...
 
Hier la Rochelle a tenu presque 10min sa ligne face à un Toulouse déchaîné en fin de match, la comparaison avec le match de l'USAP juste avant faisait peine à voir...
Ce qui prouve Qu on a rien à faire en top 14 Et qu on a rien à faire NOn plus dans le top 5 de la pro D2, bref on est à notre place ..CQFD
 
Pour tous ceux qui pensais qu'aller à Albi était une formalité, le match d'hier a été un beau démenti, on peut Bien sur critiquer l'arbitre, tel ou tel joueur voire le ou les coachs , mais on peut aussi voir ce résultat d'une autre façon en accordant aux Albigeois le mérite qui leur revient, se mérite construit pour éviter une défaite qui condamnait sûrement le club à la relegation.C'est La Que cette equipe à puise ses forces pour nous faire déjouer et se battre jusqu'a la dernière seconde pour nous vaincre.
 
Même si mathématiquement tout est encore possible, je crois que les carottes sont cuites pour une éventuelle qualification.
A moins d'un miracle, mais par conviction personnelle je déteste toutes les bondieuseries et les religions, donc je n'y crois plus.
Mais rien ne m'empêchera de soutenir notre équipe jusqu'au terme de la saison.
Le soucis, c'est que dans l'histoire de l'USAP de ces quinze dernières années, exceptées la parenthèse Brunel, dès qu'il a fallu compter sur des victoires à l'extérieur pour se qualifier/maintenir que ce soit en Top 14, Coupe d'Europe ou D2, on a pratiquement toujours connu des désillusions.
Viser quatre victoires à domicile, j'y crois. Avec deux, même trois bonus ! Mais à l'extérieur... ne serait-ce qu'une seule victoire sur ces trois matchs, ça va être très compliqué... Encore si la dynamique était bonne mais le soucis c'est que match après match, les mêmes défauts apparaissent et on est incapable de les gommer.
 
Le soucis, c'est que dans l'histoire de l'USAP de ces quinze dernières années, exceptées la parenthèse Brunel, dès qu'il a fallu compter sur des victoires à l'extérieur pour se qualifier/maintenir que ce soit en Top 14, Coupe d'Europe ou D2, on a pratiquement toujours connu des désillusions.

Ah bon ? En coupe d'Europe d'accord, sauf en 2003. Et en Top16/14, Avec Saisset des victoires à l'extérieur décisives on en a eu (et aussi 2 en Hcup en phases finales), avec Boher aussi. Même avec Delpoux année 1 (Toulouse et Mont de Marsan).

En 1999/2000 on parvient aussi à se qualifier en partant du drop de Bellot à Narbonne, derrière on enquille 4 ou 5 succès d'affilée.

Le chat noir rôde quand même beaucoup plus depuis l'été 2013 que lors des 15 saisons précédentes. La constante, ce sont nos statistiques chez les promus, on y perd au moins une fois sur deux. Même champion en titre en 2009/2010, on est allé perdre à Albi (la fameuse mêlée de la fin ou Bonhoure demande à Mélé de jouer alors qu'on les enfonce).
 
Le soucis, c'est que dans l'histoire de l'USAP de ces quinze dernières années, exceptées la parenthèse Brunel, dès qu'il a fallu compter sur des victoires à l'extérieur pour se qualifier/maintenir que ce soit en Top 14, Coupe d'Europe ou D2, on a pratiquement toujours connu des désillusions.
Viser quatre victoires à domicile, j'y crois. Avec deux, même trois bonus ! Mais à l'extérieur... ne serait-ce qu'une seule victoire sur ces trois matchs, ça va être très compliqué... Encore si la dynamique était bonne mais le soucis c'est que match après match, les mêmes défauts apparaissent et on est incapable de les gommer.
Oui tu as raison Clément, toujours les mêmes carences :
- un jeu au pied de dégagement médiocre ce qui nous remet souvent la pression de l'adversaire dans notre camp,
- de graves lacunes sur le placement défensif, notamment près de notre ligne de but autour des rucks,
- une défense trop molle qui permet à l'adversaire d'avancer au lieu de le faire reculer,
- des erreurs tactiques : jouer large-large sous la pluie,
- ne pas savoir conserver un résultat.
Tout ceci démontre un manque criant de direction sur le terrain, mais je pense désormais que le staff a aussi sa part de responsabilité.
En effet, avant chaque rencontre, une analyse doit être réalisée sur les forces et faiblesses de l'adversaire, les conditions météos, les habitudes de l'arbitre de la rencontre, pour définir, in fine, la meilleure composition d'équipe et surtout une tactique de jeu. Force est de constater qu'hier, par exemple, ils ont eu tout faux jusqu'à la mi-temps.
Quant aux carences rédhibitoires, j'espère que le staff trouvera enfin les bonnes solutions pour les gommer.
Pour ma part j'ai quelques solutions :
- trouver les touches pour contester les lancés adverses et maintenir l'adversaire dans son camp par une défense agressive,
- placer un joueur de chaque côté et un en arrière des rucks,
- les jours de pluie, ne pas hésiter à jouer avec les avants en zone 0 ou créer des ballons portés,
- toujours les jours de pluie, faire des chandelles dans le camp de l'adversaire pour lui mettre la pression,
- lorsque le résultat est acquis à 10 minutes de la fin, resserrer le jeu sur les avants et ne pas s'exposer à des contres,
- en défense, ne pas attendre que l'adversaire se soit lancé et essayer de défendre à deux joueurs : un aux jambes et l'autre au buste pour empêcher l'adversaire de faire sa passe.
Tous ces points doivent faire partie de chaque séance d'entraînement car c'est avec la répétition que s'acquièrent les automatismes.
 
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