il avait la position à clermont de delmas à l'usap
sinon moi je me rappelle encore de ce quart de finale contre castres ou on avait vu un rugby pratiqué comme actuellement avec 10 ans d'avance , un espece de rugby total avec avancée à chaque impact et gregory tutard à la finition , l'un des plus gros match en terme d'intensité joué par l'usap et là la preparation physique semblait etre au top et si belot ne s'était pas blessé on aurait plus esperé plus en finale cette année .
ce qui me plait dans ce discours , c'est l impression qu'on va se refocaliser sur les forces de l'usap et notamment la formation , le combat (meme si je suis convaincu que cela ne suffit pas ) et la defense ( gros secteur à travailler à mes yeux )
manque plus qu'à savoir avec quels hommes on va aller au combat pour savoir si on peut esperer ou déchanter
moi il me tarde déjà la saison prochaine , pour assister à la renaissance de l'usap qui semble avoir retrouver un GPS pour progresser dans la bonne direction .
Je m'en souviens aussi. C'était un quart-de-finale joué à Gilbert Brutus. Ce jour-là, l'USAP est entré dans une nouvelle dimension. Le jeu correspondait parfaitement à notre identité : Une défense très agressive, une jeu très physique. Ils jouaient un peu comme une équipe de XIII en essayant de marquer physiquement l'adversaire avant de lâcher les gaz et d'envoyer du jeu. Je me souviens exactement comme toi des charges de Grégory Tutard (ancien treiziste) justement. Cette année-là, on avait également battu Colomiers à Mîmes en demi-finale et on avait trouvé notre maître en finale (Le Stade français, unique club 100% pro de l'époque, avec une pléiade d'internationaux et qui mettait 40 points à toutes les équipes, Toulouse y compris). Une autre époque.
Il est passé par Béziers, Montpellier et Marseille où il aura connu des fortunes diverses :
- A Montpellier, je crois que c'est lui qui stabilise le club en Top 16, puis Top 14 et qui lance dans le grand bain François Trinh-Duc, Fulgence Ouedraogo, Louis Picamoles et Julien Thomas. Il sera viré par le président Thierry Pérez suite à une grosse déculottée subie par Montpellier face à... l'Usap ! Encore une autre époque !
- A Marseille, cela s'est plutôt mal passé. Malgré un effectif pléthorique qui ressemblait à une grosse équipe de Pro D2... le Marseille-Vitrolles n'obtient pas sa monté en ProD2 et reste en Fédérale I avant de connaître de gros soucis financiers.
- A Montferrand, son club évite la relégation de peu (7ème d'une poule de 8) avant de se reprendre dans la phase de play-down.
- Idem à Béziers où il me semble que le club a été relégué une première fois alors qu'il était aux commandes du club.
Comme quoi, l'entraîneur est tout de même dépendant des équipiers, de son staff, de beaucoup de paramètres, il maîtrise beaucoup de choses, mais ils ne maîtrise pas tout et ses résultats dépendront de beaucoup de facteurs. Il faut donc espérer que ces facteurs seront justement réunis à l'Usap pour repartir sur des bases saines.