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A force de le Titiller

Pas toi ******! Tu crois honnêtement que je me chie dans le calçe devant Riri?
Juste pour info il est venu 1 fois à ma table, nous avons eu un échange plutôt vif (ma femme me pincer la cuisse pour que je me taise haha) depuis il vient même plus me dire bonjour.

Par contre quand il y a besoin de blé, la je reçois un mail sympa. haha
je dis ce que je pense mais si ca t a blessé ,tu en as vu d autres et moi aussi...on ne peut pas toujours etre d accord ,c est la vie.. par contre je t aime bien ,ca fait des lustres et tu auras toujours mon amitié car tu es vrai .tu dis ce que tu penses comme moi et des fois meme souvent ca derange les autres....on n est pas des flamands qui se mettent la tete sous l eau...:raison:
 
180ME effectivement ça me paraît beaucoup... De mémoire il n'était pas dans le classement des 500, et le 500ème émarge à environ 80ME, mais j'ai peut-être mal cherché

ce montant que j'ai lâché ici , vient d'un article du 26/07/2013 du site Ouillade.eu dont le titre :


PERPIGNAN : François Rivière, qui veut « racheter » l’Usap, est-il à la tête d’une fortune… virtuelle ?
qui dit ceci :
Le magazine ChallengeS vient de publier son classement annuel des 500 premières fortunes françaises et, oh surprise !, François Rivière, malgré ses 180 millions d’euros, n’y figure pas…

Pourtant, avec un tel magot, l’homme d’affaires qui vise les commandes du célèbre club de rugby perpignanais, l’Usap, aurait dû entrer dans ce Top 500, plus particulièrement au 220ème rang, aux côtés de Patrick Ballu (Exel Industrie Mécanique), d’ Olivier Bertrand (Groupe de restauration), Jean-François Janoueix (Vins) ou encore Pierre-Antoine Casteja (Vins).

Soit il s’agit-là d’un oubli fâcheux de la rédaction du très séreux magazine économiqueChallengeS, soit la rédaction de celui-ci a considéré les euros de François Rivière comme des roupies de sansonnet… Dans les deux cas, ChallengeS devra remettre les pendules à l’heure.

En tout cas, aux yeux des observateurs roussillonnais, cela ne fera qu’accentuer – et semer le trouble ? – le côté énigmatique de François Rivière… et sa soif de devenir un N°1 à Perpignan, au plan sportif, économique ou politique ?
 
A force de vouloir son départ peut être est il en train de le préparer..
François Rivière vient de vendre ESPI.....pourtant il en était fier....
est ce le commencement de la fin ou alors une recherche de fond propre....

En ce qui me concerne j'espère la deuxième hypothèse mais j'ai un mauvais pressentiment...
Beaucoup souhaitant son départ.......

Se retirer , se casser , en a-t-il la possibilité sans perdre ses billes?
Les actions de la holding qui voudra lui acheter?
Les sommes mises dans les fonds propres de la SASP peut-il les retirer simplement avant de partirtir?
Qu'est-ce qu'il fera de l'ancienne brasserie lui qui a échoué 20 m plus loin avec une bonne enseigne?


Sa chemise ...et son pantalon:content::content::content:
 
Se retirer , se casser , en a-t-il la possibilité sans perdre ses billes?
Les actions de la holding qui voudra lui acheter?
Les sommes mises dans les fonds propres de la SASP peut-il les retirer simplement avant de partirtir?
Qu'est-ce qu'il fera de l'ancienne brasserie lui qui a échoué 20 m plus loin avec une bonne enseigne?


Sa chemise ...et son pantalon:content::content::content:
vendre ses actions : impossible ou alors a l euro symbolique , pour memoire les anciens actionnaires n ont pas vendu leur actions , Riviere a augmente le capital et a pris la majorite au niveau du club , les actions des anciens actionnaires ont ete diluees . Il peut retirer de l argent des comptes courant , tout le monde sera au courant de cette procedure . L ancienne brasserie n appartient plus au club , elle appartient a une de ses societes ( il faut au moins lui reconnaitre ça )
 
Si seulement la famille poirier s intéressait à l usap ....
Pourtant dans le rugby y a bien l expression " celui là, il aime le chocolat "
 
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