Dramaturgie parfaite digne des plus grands cinéastes.
D'abord le son.
Hors champ, la voix de François Gelez qui hurle à Bousquet de prendre son temps.
Ensuite, le public agenais qui a compris et qui gronde.
Enfin, l'image télévisuelle.
A la télévision, on ne voit rien de la pénalité qui...