pourquoi un jeune qui voudrait faire du sport son métier le saurait mieux qu'un autre jeune qui voudrait, disons, être architecte ? A moins, bien sûr, d'avoir été conditionné par le système comme du temps de l'URSS ou par ses parents ou son entourage comme ça continue à se voir.
Houlala on s'éloigne du sujet d'un jeune pro à l'USAP et des écueils à éviter pour mettre tous ses atouts de son côté pour faire carrière.
Je ne parle bien évidemment que de ce cas de figure, le reste osef, je pensais avoir bien fait la part des choses pourtant.
Toutes mes connaissances familiale et amicale ayant fait carrière ou pas d'ailleurs dans le sport professionnel au cours des 2 dernières décennies, en rentrant à l'INSEP, Aigle, au bataillon de Joinville à Bleau, n'avaient qu'un but et cela dès l'adolescence faire de leur passion un métier.
Certains y sont arrivés et sont connus et reconnus (Jalabert, Plumenail, Aus+, Hushovd..), d'autres se sont cassés les dents mais sont dans des staffs.
Je confirme qu'être ado à l'INSEP dans un centre de formation c'est du conditionnement type URSS.
Je confirme qu'être espoir dans un team à des centaines de bornes de chez toi où tu ne fais que ton sport où tu vis parfois avec 2 ou 3 compagnons, parfois même chez l’entraîneur c'est du conditionnement type URSS.
Je confirme qu'être espoir et étranger dans un team ce n'est pas facile tous les jours.
Dans un centre de formation au rugby, je n'en sais rien, peut-être pas finalement. Est-ce pour cela que nous sommes ridicule depuis près de 10 ans sur la scène internationale ?
Le conditionnement parental au rugby plus que dans d'autres sports fait la maille visiblement avec tous les "fils de" :
Dumoulin, Penaud, NTM, Sella, Carbonel, Roumat, Rétière, Bonneval etc.............