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Agen-USAP. Victime de blessures en série, l’USAP a vu ses solutions se réduire drastiquement en première ligne.
Deux piliers droits, deux piliers gauches: les choix se simplifient en première ligne à quelques jours du déplacement à Agen, dimanche (12h30). Il n’aura pas fallu patienter longtemps avant que l’USAP se confronte à des problèmes d’effectifs. «Je ne veux pas dire qu’on est habitué à ça, mais l’année dernière on a connu l’enfer et on n’a pas pleuré», relativise Perry Freshwater, en charge de la conquête.
Après le droitier Alex Brown dès le premier match amical (ligaments croisés du genou), l’autre droitier Gert Muller (œil), puis le polyvalent Eric Sione (aponévrose plantaire) et enfin le talonneur Manu Leiataua (cervicales) se sont rajoutés à la liste des blessés en première ligne. Et pourtant, lorsqu’il bouclait son recrutement au 30 juin dernier, le staff catalan pouvait se satisfaire d’un nombre confortable de solutions à ces postes: sept piliers professionnels, mais aussi deux Espoirs déjà intégrés et quatre talonneurs. Deux mois plus tard, Charlet et Lemaire à droite, Forletta et Boutemmani à gauche, se trouvent déjà bien esseulés. «On essaye de gérer ça entre nous, réagit Forletta. Il faut que les joueurs qui sont à leur place se mettent à leur niveau et c’est comme ça qu’on avancera.»
Sur le fil à Agen
Lunettes noires vissées sur le nez, Gert Muller assurait jeudi qu’il pourrait postuler dès la prochaine journée (réception de Lyon le samedi 8 septembre). D’ici-là, sur l’importantissime côté droit de la mêlée, l’USAP compte sur Sylvain Charlet et Nicolas Lemaire. Le «vieux» (33 ans) et le jeune (23 ans) disputeront leurs premières minutes cette saison. «Sylvain, on l’a pris parce que c’est vraiment le prototype du pilier droit, avec une réelle expérience de la mêlée à faire valoir», décrypte Christian Lanta, le directeur sportif.
Revanchard, le Palois n’a pris part qu’à sept rencontres la saison passée. «On a un peu plus d’effectif cette année, souligne Freshwater. Ces joueurs doivent lever la main pour nous montrer qu’ils comptent.» Le choix est simple: il ne reste plus beaucoup de candidats.
Pierre Cribeillet
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Deux piliers droits, deux piliers gauches: les choix se simplifient en première ligne à quelques jours du déplacement à Agen, dimanche (12h30). Il n’aura pas fallu patienter longtemps avant que l’USAP se confronte à des problèmes d’effectifs. «Je ne veux pas dire qu’on est habitué à ça, mais l’année dernière on a connu l’enfer et on n’a pas pleuré», relativise Perry Freshwater, en charge de la conquête.
Après le droitier Alex Brown dès le premier match amical (ligaments croisés du genou), l’autre droitier Gert Muller (œil), puis le polyvalent Eric Sione (aponévrose plantaire) et enfin le talonneur Manu Leiataua (cervicales) se sont rajoutés à la liste des blessés en première ligne. Et pourtant, lorsqu’il bouclait son recrutement au 30 juin dernier, le staff catalan pouvait se satisfaire d’un nombre confortable de solutions à ces postes: sept piliers professionnels, mais aussi deux Espoirs déjà intégrés et quatre talonneurs. Deux mois plus tard, Charlet et Lemaire à droite, Forletta et Boutemmani à gauche, se trouvent déjà bien esseulés. «On essaye de gérer ça entre nous, réagit Forletta. Il faut que les joueurs qui sont à leur place se mettent à leur niveau et c’est comme ça qu’on avancera.»
Sur le fil à Agen
Lunettes noires vissées sur le nez, Gert Muller assurait jeudi qu’il pourrait postuler dès la prochaine journée (réception de Lyon le samedi 8 septembre). D’ici-là, sur l’importantissime côté droit de la mêlée, l’USAP compte sur Sylvain Charlet et Nicolas Lemaire. Le «vieux» (33 ans) et le jeune (23 ans) disputeront leurs premières minutes cette saison. «Sylvain, on l’a pris parce que c’est vraiment le prototype du pilier droit, avec une réelle expérience de la mêlée à faire valoir», décrypte Christian Lanta, le directeur sportif.
Revanchard, le Palois n’a pris part qu’à sept rencontres la saison passée. «On a un peu plus d’effectif cette année, souligne Freshwater. Ces joueurs doivent lever la main pour nous montrer qu’ils comptent.» Le choix est simple: il ne reste plus beaucoup de candidats.
Pierre Cribeillet
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