****** de merte A QUOI CA SERT.
La difficulté est souvent de concilier les entrainements physiques ou mentaux avec les horaires des entrainements dans sa discipline pour augmenter ses performances sans faire non plus un surentrainement. Car pour arriver à un haut niveau, les blessures sont un facteur déterminant. Sur 100 athlètes qui commence une discipline, il n'y en a qu'un qui parviendra à arriver au top. Les autres auront abandonné ou ne voudront pas aller plus haut, conscients ou pas de leurs limites, ou plus simplement se seront blessés et se verront refuser l'accès à la haute compétition. Beaucoup d'entraineurs n'hésitent donc pas à mettre leurs poulains sous pression dès leur plus jeune âge pour recréer au plus vite les conditions stressantes de la compétition, au risque d'en dégoûter plus d'un... Mais dans ce milieu, la fin justifie parfois les moyens. Le but n'est pas ici de prendre parti pour cette pratique mais juste d'aborder le sujet.
Pour pouvoir augmenter ses performances physiques, la base est l'endurance, c'est à dire sa capacité à exercer un effort d'une intensité relative pendant une durée prolongée. En endurance, on suppose que l'apport en oxygène est égal à sa consommation. Bien sûr cette capacité doit s'exprimer dans le sport de prédilection de l'athlète, mais la plupart du temps, on l'exerce grâce au jogging... Une fois par semaine semble suffisant pour espérer avoir une augmentation significative de l'endurance de base. Si on parvient à courir une heure non-stop, puis à augmenter progressivement le distance parcourue, l'endurance peut progresser assez rapidement.
Au delà de cela on rajoute la musculation, la vitesse, et le travail sur le mental. Puis Kiné Docteur etc etc . Puis le rugby . Et cerise le mental. A ne pas oublier la récupération.
En fait si les garçons arrivaient aux entrainements avec au minimum le foncier déjà fait il y aurait pas besoin de le travailler aux entrainements ((mal bien Français)).
C'est la suite...
Pour pouvoir augmenter ses performances physiques, la base est l'endurance, c'est à dire sa capacité à exercer un effort d'une intensité relative pendant une durée prolongée. En endurance, on suppose que l'apport en oxygène est égal à sa consommation. Bien sûr cette capacité doit s'exprimer dans le sport de prédilection de l'athlète, mais la plupart du temps, on l'exerce grâce au jogging... Une fois par semaine semble suffisant pour espérer avoir une augmentation significative de l'endurance de base. Si on parvient à courir une heure non-stop, puis à augmenter progressivement le distance parcourue, l'endurance peut progresser assez rapidement.
Il ne faut pas non plus oublier d'entraîner la résistance anaérobie. C'est à dire sa capacité à produire un effort sans oxygène et de plus haute intensité que les efforts d'endurance. On retrouve l'entraînement anaérobique dans des efforts tels que le 400 m , le 800 m, le 1500 m. Donc on peut espérer une amélioration de ces qualités par un entrainement hebdomadaire et progressif. Toujours être attentif aux améliorations des performances pour bien progresser et ne pas se tromper.
La vitesse est aussi un facteur important. Des efforts plus courts mais plus intenses encore tels que lors d'un 100 m peuvent améliorer la coordination, le recrutement et le relâchement des fibres musculaires. L'entrainement de cette capacité, comme tout entraînement de force ou de puissance peut être traumatisant, il est donc important de ne pas oublier un echauffement adapté préalable et un retour au calme avec des exercices de moindre intensité. Si on l'insère aussi une fois par semaine, cet entraînement peut donner de bons résultats.
Les étirements sont très importants pour tout sportif qui ne veut pas se retrouver avec des problèmes au dos ou des blessures musculaires à répétition. Un muscle souple est moins sujet à la rupture qu'un muscle raide. Après chaque entraînement, il est important de consacrer un peu de temps à la souplesse.
La musculation fait partie intégrante de la plupart des préparations sportives de haut niveau. Être plus fort, plus puissant peut aider le sportif à augmenter ses performances dans son sport de prédilection. Elle doit bien sûr être adaptée à l'objectif particulier et personnel du sportif et aussi intégrée dans sa semaine de programme.
Dans beaucoup de sports, la concentration est un facteur déterminant pour la réussite d'un objectif ou d'une compétition. Le meilleur exemple est le tennis, où le sort d'un match peut basculer rapidement en faveur de l'un ou l'autre des participants simplement à la suite d'une perte ou d'une prise de confiance. La relaxation, le yoga, le coaching mental peuvent aider tout sportif qui veut parvenir à contrôler ses émotions.
Vous vous rendez bien compte que pour être sportif de haut niveau, avec toutes ces activités prévues pour augmenter les performances, cela devient un métier à temps plein. Que les efforts déployés dans ces entraînements auxiliaires doivent bien sûr servir l'activité principale et donc être remis dans un contexte particulier qui va dépendre du sport et du sportif. Qu'il faudra aussi prévoir des cycles de travail en fonction des dates de compétitions pour espérer obtenir un transfert maximum des capacités travaillées en activité auxiliaire dans le sport de prédilection. Il faudra aussi prévoir une mesure des performances pour être sûr de se trouver sur la route du progrès. Alors ? Ça vous tente ?