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USAP - Bilan à la trêve : on a aimé, on n’a pas aimé - Lindependant.fr
- Auteur du sujet Articles de presse
- Date de début
USAP - Bilan à la trêve : on a aimé, on n’a pas aimé
Publié le 30/12/2021 à 12:09 , mis à jour le 29/12/2021 à 20:56
L'Indépendant distribue les bons points (ou pas), à la trêve.
Une bonne surprise
Il était l’un des paris tentés par l’USAP cet été. Le deuxième ligne moldave Andreï Mahu arrivait de Sibérie, avec des états de service exotiques, estampillés Krasnoïarsk.
Timide à ses débuts, Mahu s’est affirmé au fil des matches (7 feuilles de match, 373’), trouvant sa place dans le groupe et démontrant une agressivité que l’on ne soupçonnait pas. Il est sur la bonne voie pour prouver qu’il peut jouer au plus haut niveau du rugby.
Une révélation
"Freddy", Alivereti Duguivalu (11 matchs, 683’, un essai) pour l’état-civil, a éclaté en ce début de saison alors que son éclosion était attendue depuis une ou deux saisons. Mais des blessures à répétition, notamment une sérieuse à l’épaule, ont freiné son éclosion.
Débarrassé de ces pépins physiques, il justifie tout le bien que l’on pense des attaquants fidjiens, rapides, puissants et capables de jouer dans la défense adverse.
Une confirmation
La formation catalane peut être fière. Sacha Lotrian (11 matches, 452’, un carton jaune) est l’un de ses plus beaux fleurons. L’an passé déjà, il avait épaté la galerie en réalisant de solides prestations en équipe première. Le passage en Top 14 ne l’a pas inhibé, au contraire. Il est solide au poste, ne semble pas intimidé par l’adversité, la plus relevée qu’il ait jamais eu à affronter. On lui prédit un bel avenir, surtout si l’on se fie à sa marge de progression, immense.
Une déception
On attendait beaucoup de l’arrivée du demi de mêlée international argentin Martin Landajo (84 sélections, 7 essais, Coupe du monde 2015). En provenance des Harlequins londoniens, avec lesquels il a gagné la Premiership la saison dernière, et même s’il n’était que le numéro 2 du poste derrière Danny Care, l’espoir de voir débarquer un vrai taulier était grand du côté d’Aimé-Giral. Pour l’heure, on est resté sur notre faim (6 matches, 222’). Il se doit une revanche…
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Sacha Lotrian est un des fleurons de la formation de l'USAP. Independant - Clementz Michel
Publié le 30/12/2021 à 12:09 , mis à jour le 29/12/2021 à 20:56
L'Indépendant distribue les bons points (ou pas), à la trêve.
Une bonne surprise
Il était l’un des paris tentés par l’USAP cet été. Le deuxième ligne moldave Andreï Mahu arrivait de Sibérie, avec des états de service exotiques, estampillés Krasnoïarsk.
Timide à ses débuts, Mahu s’est affirmé au fil des matches (7 feuilles de match, 373’), trouvant sa place dans le groupe et démontrant une agressivité que l’on ne soupçonnait pas. Il est sur la bonne voie pour prouver qu’il peut jouer au plus haut niveau du rugby.
Une révélation
"Freddy", Alivereti Duguivalu (11 matchs, 683’, un essai) pour l’état-civil, a éclaté en ce début de saison alors que son éclosion était attendue depuis une ou deux saisons. Mais des blessures à répétition, notamment une sérieuse à l’épaule, ont freiné son éclosion.
Débarrassé de ces pépins physiques, il justifie tout le bien que l’on pense des attaquants fidjiens, rapides, puissants et capables de jouer dans la défense adverse.
Une confirmation
La formation catalane peut être fière. Sacha Lotrian (11 matches, 452’, un carton jaune) est l’un de ses plus beaux fleurons. L’an passé déjà, il avait épaté la galerie en réalisant de solides prestations en équipe première. Le passage en Top 14 ne l’a pas inhibé, au contraire. Il est solide au poste, ne semble pas intimidé par l’adversité, la plus relevée qu’il ait jamais eu à affronter. On lui prédit un bel avenir, surtout si l’on se fie à sa marge de progression, immense.
Une déception
On attendait beaucoup de l’arrivée du demi de mêlée international argentin Martin Landajo (84 sélections, 7 essais, Coupe du monde 2015). En provenance des Harlequins londoniens, avec lesquels il a gagné la Premiership la saison dernière, et même s’il n’était que le numéro 2 du poste derrière Danny Care, l’espoir de voir débarquer un vrai taulier était grand du côté d’Aimé-Giral. Pour l’heure, on est resté sur notre faim (6 matches, 222’). Il se doit une revanche…
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