• Rentre dans la mêlée des discussions enflammées ! :) Inscris toi en 2 minutes, et même en 10 secondes grâce à ton compte Facebook ! Les supporters t'attendent pour partager des avis ! JE M'INSCRIS ›››

Top 14 - USAP : le président François Rivière a la volonté de "moderniser et investir dans...

Articles de presse

Passe sa vie sur le forum
Inscrit
16 Février 2013
Messages
7 907
Réactions
285
Dans ce nouveau volet de l'interview du président de l'USAP, François Rivière, accordée à L'Indépendant, un focus est réalisé sur les infrastructures dans lesquelles évoluent les joueurs, le staff et les équipes...

Lire la suite ...
 

cazac

Passe du temps sur le forum
Inscrit
12 Septembre 2012
Messages
2 232
Réactions
2 596
Top 14 - USAP : le président François Rivière a la volonté de "moderniser et investir dans des structures de haut niveau"
ABONNÉS
  • image.jpg

    François Rivière espère, la Coupe du monde de rugby approchant, que les modulaires du Parc des sports seront améliorés d'ici un an. Nicolas Parent
Rugby à XV, USAP, Top 14
Publié le 10/03/2022 à 16:21 , mis à jour à 16:33
Dans ce nouveau volet de l'interview du président de l'USAP, François Rivière, accordée à L'Indépendant, un focus est réalisé sur les infrastructures dans lesquelles évoluent les joueurs, le staff et les équipes administratives.

Convaincre et trouver des moyens le plus rapidement possible. Le président de l'USAP, François Rivière, défend ces idées car "à Perpignan, il est temps de réfléchir à la performance de haut niveau et à l'élite du sport en général." "J'ai toujours donné mon accord pour foisonner les moyens", insiste-t-il en pensant notamment à des mises en commun avec les Espoirs, les féminines de l'USAP, et les clubs d'autres disciplines. Car, pour ce qui le concerne, "si on n'a pas les moyens de haut niveau, on n'aura pas l'équipe pour se battre en Top 14." C'est pourquoi, il confesse : "Ma raison d'être c'est de moderniser et d'investir dans des structures de haut niveau pour ce territoire."



  • À Aimé-Giral : vers plus de places hospitalités
"Je sais qu'il faut continuer à investir dans Aimé-Giral", reconnaît l'homme à la présidence du club de l'USAP. L'enveloppe dans son ensemble s'élèverait à 25 voire 30 millions d'euros. Pour ce qui est du fonctionnel, il fait référence aux buvettes, aux urinoirs : "Il faut remettre tout ça au goût du jour." Pour ce qui est de l'accueil, "pour avoir des ambitions, il faut avoir des moyens développés par des produits, un accueil public, un accueil partenaire", poursuit Bruno Rolland, le directeur général du club. Si à ce jour, dans les espaces partenaires de l'USAP, 1400 places hospitalités sont décomptées (avec 24 loges en tribune Chevalier, 300 personnes du côté de la tribune Desclaux, 200 de plus à l'espace Lafage, 250 en moyenne au Prestige, ainsi qu'avec les deux salles Can USAP et Club 1902), 2000 sont envisagées : "Pour grandir, si notre objectif est de faire rejoindre des partenaires nationaux supplémentaires, nous avons notre base de partenaires locaux, des entreprises fidèles. Ils sont plus de 350 et constituent une particularité et une force à l'USAP."

Sauf qu'en parallèle, la municipalité de Perpignan a rouvert le débat lors de son conseil municipal le 4 novembre dernier de réunir en un seul et même stade l'USAP et les Dragons Catalans. Avec le stade Aimé-Giral en partage : "La mairie et les collectivités territoriales savent que j'ai toujours été très attentif à leurs arguments, rappelle François Rivière. J'ai dit, depuis longtemps, que les Dragons doivent avoir quelques matches dans l'année où ils sont plus de 10 000. On a un stade Aimé-Giral de 14 500 personnes, autant le leur mettre à disposition." Mais le stade commun : "C'est un sujet sur lequel il ne m'appartient pas de trancher." Dans son édition du 27 novembre, L'Indépendant soulignait que "la municipalité est déterminée à concentrer sur Aimé-Giral tous les investissements, dont la création de loges le long de la tribune Vaquer et Desclaux et de nouveaux espaces commerciaux et administratifs au parallèle de la tribune Chevalier. L’idée de créer un portail d’entrée Gilbert-Brutus, du côté gymnase Pons, est même imaginée."


  • Au Parc des sports : la Coupe du monde 2023 comme rampe de lancement
"Il est important que Perpignan et le territoire catalan se dotent d'un centre d'entraînement et de performances de haut niveau, insiste le président de l'USAP, François Rivière. Les enjeux sont importants dans les années qui viennent en France avec la Coupe du monde de rugby en 2023, puis les Jeux Olympiques et la Coupe du monde de rugby à XIII. Ça dépasse de très loin le seul sujet de l'USAP. L'USAP, c'est juste le marqueur dont on parle le plus." Dans ce sens, toutes les améliorations qui pourraient être apportées aux équipements seraient utilisables "d'ici un an. Et l'USAP les récupère après la Coupe du monde." Il y a quatre ans, le club de l'USAP via le président François Rivière a investi dans des installations au Parc des sports du Moulin-à-Vent. Là où le centre d'entraînement est niché au fond de cet espace entièrement dédié au sport à Perpignan. "1,2 million a été dépensé", précise le président, pour installer notamment des modulaires contenant salle de musculation, bureaux, espaces de vie... "Ils sont de qualité", du point de vue de François Rivière, "mais ils commencent à être vieux." C'est pourquoi il a "proposé aux collectivités locales pour la Coupe du monde de rugby 2023 en France de transformer ces équipements et de les rendre encore plus adaptés." Pour deux raisons : "Un, ça nous permettrait pour cette compétition de convaincre la meilleure équipe possible de venir à Perpignan et au Parc des sports pour s'y préparer. Deux, ça serait profitable à l'USAP." L'équipe de rugby à XV de Perpignan a besoin "de plus de confort et de plus de moyens pour les kinésithérapeutes, les aptitudes sportives, et d'installations pour les sanitaires, les douches. Pas en termes de capacité mais de qualité." Par ailleurs, en vue de l'accueil d'une sélection nationale pendant la Coupe du monde de rugby à XV, "j'espère que plus de moyens seront donnés pour les espaces médias et les modules de réception sur le site même."



"Discussion" et "réflexion" du côté de la mairie
Sur les sujets concernant les infrastructures liées aux clubs de sport de Perpignan, les présidents des clubs ne sont pas les seuls décisionnaires en la matière. La mairie y est partie prenante bien évidemment. Ainsi, pour voir évoluer le centre d'entraînement de l'USAP, la municipalité a fort à faire. A ce jour, et vu les dires du président de l'USAP, les modulaires seront-ils pour la Coupe du monde de rugby à XV 2023 ? Selon François Rivière, "la mairie de Perpignan consulterait plusieurs marchés." De plus, "elle ajouterait avec l'aide de collectivités territoriales des modules de réception sur le site même pour l'accueil des médias." A un endroit aussi, "où la Ville réfléchit à faire un centre de formation en dur, et où trois à quatre ans supplémentaires seraient nécessaires pour construire les salles de classe, de réception, d'hôtellerie. Des terrains on en a mais la difficulté, c'est le temps et les contraintes urbanistiques."

Contactée par L'Indépendant, la mairie assure que la situation du Parc des sports "est en cours de discussion et de réflexion." Aucun commentaire de plus n'a été livré "pour le moment."





Laura Causanillas
 

Ramball84

Passe sa vie sur le forum
Inscrit
16 Mars 2018
Messages
7 653
Réactions
6 594
Contactée par L'Indépendant, la mairie assure que la situation du Parc des sports "est en cours de discussion et de réflexion." Aucun commentaire de plus n'a été livré "pour le moment."

USAP 2026 ! :D
 

elchico66

Passe du temps sur le forum
Inscrit
5 Août 2012
Messages
3 314
Réactions
1 992
Moi j'ai lu blabla blablablas blabla 1.2millions, moi je blablablabla. François "tramontane" rivière. Ca souffle ca climatise mais y a pares qui arrive.
 

planxot

USAPiste sérieux
Inscrit
25 Août 2012
Messages
1 249
Réactions
1 485
2026, plutôt 2030 ou jamais.C’est vraiment du foutage de gueule.Ce petit président, aime jouer au politicien, il parle beaucoup, fait le vrai Pinocchio, mais il fait très peu, et il veut encore rester des années.Quelle mascarade ce type.Alors que l’Usap doit grandir pour exister, et la Riviere devrait devenir fleuve, elle va finir comme un petit ruisseau.Oun rec, comme on dit en catalan.Au bout de 9 ans, il va chercher des sponsors nationaux.Mdr
 
Haut Bas